Joyeux anniversaire au régime totalitaire !

1er décembre 2019 : de toute évidence, Russia Today est le seul journal ce jour à nous rappeler, avec raison, que le dogme européiste a commencé à virer au totalitarisme il y a 10 ans de cela, avec la trahison ouverte d’un certain Nicolas Sarkozy, signant le Traité de Lisbonne la bave aux lèvres, en faisant un bras d’honneur à la démocratie et aux 55% de français qui avaient rejeté le même texte par référendum 3 ans plus tôt.

Il est étonnnant que cette information, pourtant intéressante, notamment pour les jeunes générations, provienne d’un journal russe certes financé par le Kremlin – merci encore aux crétins de google de bien nous le rappeler – alors que nos propres grands médias sont désormais sous la coupe d’une mafia de milliardaires français, laquelle n’a vraiment plus rien à envier aux mafias russe et baltes réunies…

Arrêtons de critiquer la source, et regardons les faits. Alors que le dogme se défend en fabricant des opposants de pacotille, grands mangeurs de soupe, on interdit toujours à notre parti, seul opposant politique réel au régime fasciste de l’UE en France, de s’exprimer dans les médias pour expliquer ses analyses aux français !

Car chez les collabos, l’UE est une religion intouchable. Un idéal de paradis (fiscal?) à atteindre à tout prix, même s’il faut ruiner et écraser les peuples grecs, français, et même allemands ! Aucune importance : l’UE, c’est la religion du fric avec pour seul credo « toujours plus » ! Pour ces enfoirés, tuer les services publics, l’éducation, la santé, les infrastructures, la planète, etc n’a aucune importance : il faut à tout prix vendre le plus vite possible le patrimoine des peuples avant qu’ils ne réagissent. Le projet UE ? C’est la spoliation et la mise à sac généralisée des pays européens, en volant aux peuples le patrimoine que leur parents leurs avaient légué.

Quant aux opposants non-politisés, de type gilets jaunes, bon nombre n’ont toujours pas compris que le locataire de l’élysée n’est que le toutou de Bruxelles (et accessoirement de Trump quand l’occasion se présente), parachuté pour appliquer sagement les GOPÉ annuelles.

Il y a quelque chose d’assez cocasse et de triste à voir encore ces gens courageux, au bout d’un an de manifestations hebdomadaires, viser l’élysée et son usurpateur, quand leurs bourreaux réels se trouvent tous à Bruxelles, dans des locaux feutrés ! Bravo encore aux syndicats, payés par la Confédération Européenne des Syndicats (donc par Bruxelles) pour détourner la colère populaire vers l’élysée, épargnant les coupables réels !

Il est vraiment dommage que les gilets jaunes n’aient pas plus soutenu l’UPR lors des dernières européennes, histoire d’envoyer la gifle qui s’imposait naturellement aux partis collaborationnistes, LREM en tête.

Les gilets jaunes ont manqué là un coche important qui aurait donné du poids au RIC. Au lieu de cela, c’est le bide. Et les gilets jaunes d’avouer eux-mêmes que rien n’a bougé depuis 1 an, ce qui était prévisible.

Soyons réalistes : rien ne bougera en France, tant que l’UPR ne sera pas aux affaires, et ne sortira pas la France de cette merde européiste qui nous jurait, en 1992, le retour au plein emploi et une UE forte face aux autres blocs.

25 ans de délicalisations ont ruiné le tissu industriel de notre pays. Nous avons déjà laissé des centaines de milliards d’euros partis en fumée pour que les pays de l’Est viennent nous concurrencer (en 2017, on en était à 500 000 travailleurs détachés, donc autant d’emplois en moins pour les français).

Quant à faire bloc contre les trois grands, l’UE a été incapable de créer sa propre armée, et n’a donc aucun poids stratégique, et pour cause : les traités nous lient à l’OTAN de fait (article 42 du TUE), en nous menant à des guerres toujours plus illégales !

Bref, entre arnaque au départ, hypocrisie et cynisme permanents de tous les partis politiques concurrents sur 25 ans, et maintenant religion intouchable, cet enfer a assez duré. Il serait temps que les gilets jaunes arrêtent de rêver de leur chimère constituante : à moins de faire une guerre civile pour renverser réellement le système en place, il faut faire avec ce qu’on a.

Et ce qu’on a, c’est un parti nommé UPR, avec à sa tête quelqu’un qui a réellement la volonté de libérer ce pays du joug européiste, et surtout un programme politique qui ne laisse plâner aucun doute : c’est sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN, et pas de blabla, d’hésitations, de semblants, d’intentions verbales. Avec l’UPR, on est dans le concret, le réaliste et le réalisable.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Un pont trop cher ? Un pont coulé !

19 novembre 2019 : face à l’accident du pont de Mirepoix-sur-Tarn, ruiné après le passage d’un camion, je tiens d’abord à adresser mes condoléances aux familles des victimes.

Rappel des faits : il y a 2 jours, un camion de 20T, transportant une foreuse de 30,8T, soit prêt de 51T au total, s’est engagé sur ce pont, limité à 19T. Pas la peine d’être un génie en maths pour comprendre que même avec un coefficient de sécurité de 1,5 sur l’ouvrage, la probabilité de finir dans le Tarn était plus qu’élevée.

Quant à s’acharner sur la responsabilité du chauffeur, décédé dans l’accident, c’est oublié que de témoignages publics, beaucoup d’autres camions avaient pris la mauvaise habitude de franchir ce pont avec un tonnage dépassant la limite autorisée. La justice tranchera sur les responsabilités – mais quelle que soit sa conclusion, il est déjà évident ici que l’ouvrage d’art était sous-dimensionné par rapport aux besoins réels.

En clair : un agrandissement du pont ou un nouvel ouvrage auraient du être à l’oeuvre depuis longtemps sur cette portion de départementale. Et la puissance publique d’avoir clairement failli à son devoir dans le cas présent.

Comme mes autres amis upéristes, je suis bien forcé de rejoindre notre président, qui dénonçait les quelques centaines de millions manquants chaque année pour entretenir correctement nos ponts & chaussées. Pire encore, puisque des 10 milliards d’€ que nous laissons chaque année dans la machine à broyer nommée « UE », d’autres pays, bénéficiaires nets, se construisent des ouvrages d’art avec nos impôts, via des maîtres d’œuvres… chinois !

Comme nos amis polonais et tchèques, également bénéficiaires nets de l’UE sur notre dos de contribuables, et qui se payent respectivement des F35 américains ou des trains chinois, le retour d’ascenseur n’existe pas dans l’UE. Il n’y a pas de peuple européen, pas de fraternité européenne : juste des pays qui défendent chacun leurs intérêts nationaux, et se sont eux-mêmes enchaînés à de mauvais traités, irréformables et suicidaires, dictés par les américains dans l’après-guerre, trop heureux d’enchaîner entre eux ces européens stupides et corruptibles.

Nous, les contribuables français, sommes juste de parfaits pigeons que l’on plume pour aller nourrir pour les pays de l’Est et du Sud, depuis 1992, en nous ruinant chaque jour un peu plus, et sans aucune contre-partie de ceux à qui nous avons déjà versé des centaines de milliards d’€ cumulés, et qui nous prennent à juste titre pour les cocus que nous sommes.

Ne confondons pas non plus l’effondrement de ce pont avec celui du viaduc de Gênes l’an passé, car comme dit plus haut, même avec un pont parfaitement entretenu, l’accident de Mirepoix-sur-Tarn aurait sûrement eu lieu, au regard des chiffres.

En revanche, on peut légitimement craindre que d’autres ouvrages d’art français et européens soient actuellement sous-dimensionnés, comme le fût ce pont, et que les conséquences soient demain les mêmes. Et là on ne parle même pas des défauts d’entretiens connus sur les ponts et chaussées existants

À chacun donc de savoir s’il veut demain mourir comme ce pauvre chauffeur, au nom d’une idéologie totalitaire, défendue par une mafia de banquiers, de politiques et de milliardaires, seuls bénéficiaires de la chimère européiste.

Pour nous, il est évident que tant nous ne sortirons pas de l’UE, et que nous ne redonnerons pas la priorité aux intérêts nationaux évidents, nous continuerons de voir nos infrastructures mis à mal, chacun pouvant être demain la victime innocente du dogme fasciste qu’est devenue la construction européenne.

L’UPR est le seul parti dont le programme politique est sans ambiguité : on sort d’abord de l’UE, de l’euro et de l’OTAN, en se regroupant et en évitant les sujets trop clivants, puis on utilise le RIC/RIP pour demander aux français ce qu’ils veulent.

C’est la seule stratégie réaliste, juridiquement fiable et donc inattaquable, respectant également nos partenaires et amis, et libérant le peuple français des voyous de tous bords qui nous trompent depuis plus de 25 ans !

Nous n’avons pas besoin de l’UE : nous avons très bien vécu sans. Et une fois encore, force est de constater que l’UE mène naturellement au désastre total ; dans les transports ici concernés, mais également dans tous les autres domaines, sans exception !

Il est temps d’en tirer les conclusions qui s’imposent, et d’arrêter de croire au Père Noël et à une sempiternelle « autre europe » qu’on nous bassine depuis les années 60 !

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

Crotte de caniche !

28 septembre 2019 : on a donc appris le décès de J. Chirac cette semaine. Pour ma part, je tenais ici à rappeler certains faits largement ignorés de la jeune génération sur le personnage.

En 1986 déjà, le 1er ministre J. Chirac privatisait la chaîne publique TF1, prenant 6 bonnes années d’avance sur le Traité de Maastricht, lequel a marqué le début de la grande braderie de la France par ses pairs.

Les jeunes générations ne peuvent évidemment pas le savoir, mais la télévision était à ses débuts un outil public essentiellement culturel et plutôt intellectuel. On y trafiquait certes déjà des informations au 20h, avec des nuages radioactifs qui s’arrêtaient aux frontières, et un professeur Pellerin qui nous mentait chaque soir sur la question (et qui ne fût jamais condamné pour). Mais globalement, la télévision de l’époque, qui venait toute juste de passer à la couleur, était d’une qualité qui n’a rien à voir avec la merde actuelle, et on pouvait effectivement y trouver des choses intéressantes à des heures de grande écoute.

Côté politique, qu’ils sont loin les « Droits de Réponses » de Michel Pollac, où les invités se saoûlaient sur le plateau, clope au bec, avant d’en venir systématiquement aux mains en fin d’émission – et en direct, devant des millions de téléspectateurs ! Impossible d’imaginer des scènes aussi « brutes de décofrage » aujourd’hui, tant les filtres de la censure et de la pensée unique ont pris d’assault le medium.

Et c’est normal : les maîtres de Bruxelles viennent tout juste d’imposer leur sale drapeau fasciste dans nos écoles, où l’enfant est déjà surveillé en permanence ET par le système ET par ses parents, et sanctionné au moindre écart de conduite ou envie d’école buissonière. Comment voulez-vous créer des hommes libres et souverains, quand le système scolaire est formaté pour produire de la viande fraîche sans cervelle ?

Mais revenons-en à J. Chirac, qui après s’être fait remballé une première fois face au rusé Mitterand (on se souviendra longtemps de la phrase culte « Mais vous avez parfaitement raison, M. le premier Ministre »), finit par parvenir à l’élysée, en utilisant évidemment le renvoi d’ascenseur des copains de TF1

Première action du nouveau président fraîchement élu ? Juste une dernière campagne d’essai nucléaire à Mururoa, avec un tir de 120 mégatonnes, plus par prestige que par réelle nécessité. On a souvent présenté dans les merdias J. Chirac comme un ami des agriculteurs, en lui collant une étiquette « d’écolo » gentil et de bon vivant qu’il était, certes. Mais il serait quand même bien avisé de demander aux polynésiens concernés ce qu’ils pensent 24 ans après…

J. Chirac ne revint pas non plus sur la médiatisation essentiellement télévisuelle du FN, initiée par Mitterand et Attali pour perdre le second tour des présidentielles à coup sûr, en neutralisant 20% d’un électorat trop naïf, pendant que Bruxelles continuait tranquillement de dicter sa politique migratoire à la France et aux autres pays de l’UE !

Il avait parfaitement compris tous les bénéfices de cette diabolisation du FN, que l’on retrouve systématiquement à chaque élection depuis lors. Et, Mitterand décédé, il ne se gêna pas pour continuer d’utiliser à fond la carte de « la bête immonde » (et non : ce n’est pas Dieudonné – dont certains sketchs et spectacles continuent de bien me faire rire) pour s’offrir un second mandat dans un fauteuil.

Maintenant comme le souligne à juste titre notre président François Asselineau dans son hommage vidéo, le jeune J. Chirac, était au départ un eurosceptique convaincu, dont certains propos étaient assez proches du fabuleux discours de Philippe Séguin à l’Assemblée (une référence !).

Et là, vous aurez remarqué, comme nous, qu’aucun média ne se fait l’écho de cette réalité, malgré les centaines (milliers ?) heures déjà réalisées en hommages et analyses du personnage. Une fois encore, la censure et l’omerta règnent donc en maître !

Le revirement de J. Chirac du côté des européistes visait certes à se faire des alliés pour briguer un second mandat. Mais ce faisant, en privilégiant son intérêt personnel, J. Chirac a quand même renier la souveraineté et les intérêts du peuple français, comme tous nos politicards actuels (et bon nombre passé), à une exception près.

Le fait d’avoir tenu tête aux américains en 2003 redora certes un peu le blason du personnage, face aux fils de p.t.s de Washington qui nous agitaient leur fiole de pisse devant les caméras du monde entier. Cela étant, ce n’est pas Chirac qui alla à l’ONU taper du poing sur la table, mais son obscure ministre de l’Intérieur, alors peu connu du grand public ! Face à un enjeu aussi stratégique que politique, De Gaulle se serait déplacé, et n’aurait pas hésité une seule seconde à dénoncer ouvertement l’imposture des américains.

Il est certain que face à nos trois derniers résidus de présidents, parachutés pour brader les derniers bijoux de la maison France à des intérêts privés étrangers, en nous spoliant de nos acquis sociaux et services publics via GOPÉ interposés, on ne pourra pas stricto sensu qualifier J. Chirac de traître à la nation. Mais on ne pourra pas non plus le qualifier de défenseur de la nation à la « De Gaulle », fonction qu’il avait clairement et objectivement oublié d’être sur la fin de son mandat.

On gardera donc du personnage un souvenir en mi-teinte, avec le regret d’une époque où la France avait encore la tête haute, était un exemple pour le monde civilisé, et se donnaient les moyens de ses ambitions.

Plus rien à voir avec les larves actuelles de Bruxelles, nourries à l’€ allemand, suivant docilement l’OTAN vers la 3ème guerre mondiale contre les affreux jojos russes, chinois, iraniens, syriens, … . L’éternité c’est long. Surtout vers la fin.

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

Le Père Noël est une…

21 septembre 2019 : Comme disait feu Pierre Desproges, « l’enfant croit au Père Noël. L’adulte non. L’adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote. ».

C’est assez cruellement ce qui vient de se passer avec M. Onfray, qui quelques heures plutôt, soutenait publiquement les analyses de l’UPR et de son président dans une réunion publique, et qui moins de 24h plus tard, nous traitait de « raëliens » – donc de secte – et de complotistes, rejoignant en cela les chiens de « l’empire Maastrichtien » qu’il dénoncait tantôt.

Mais soyons sérieux un moment. Quand un frère du résidu philosophique BHL, qui a eu 12 ans pour vous découvrir et analyser vos propos, se décide comme ça, sans prévenir, de vous soutenir, vous pouvez quand même vous poser des questions, et attendre quelques jours la confirmation de sa position officielle, au lieu de sauter sur le net comme il vous y invite pour diffuser sa « pensée » (enfin, celle que son AVC lui a laissé…), et lui faire accessoirement toute la publicité qu’il attend de l’opération !

Car disons les choses ouvertement : M. Onfray s’est bien ici payé notre tête. Il n’y a pas le moindre doute sur le sujet. Et quelque part, cela devrait nous amener à réfléchir un peu plus sur nos modes de communication dans le futur. On fait tous des erreurs dans le domaine, et on apprend chaque jour – le tout est d’en tirer les leçons qui s’imposent.

Quant au « détestable » M. Onfray, si fervent à défendre constamment le CRIF à la moindre occasion, son attitude et son hostilité à notre égard nous prouve une fois encore que les philosophes médiatisés par le système sont des veaux comme les autres, dans la plus pure tradition du « je pense mais je ne me mouille pas ». Raison principale pour laquelle je ne supporte pas ces lâches

Face aux conférences en ligne de M. Asselineau, qui durent certes plusieurs heures, mais visent clairement l’éducation populaire, je ne vois en outre aucune intelligence à écouter des pseudo-philosophes qui n’ont ni honneur, ni patrie, et qui passent leur temps à enfumer leurs auditoires respectifs, avec toujours la même technique de base : dénoncer l’UE et ses méfaits, mais ne jamais vouloir la quitter, et agiter copieusement la chimère d’une « autre europe », mathématiquement irréaliste et irréalisable !

Que les français en soient encore à écouter ces collabos au bout de 50 ans est bien le signe d’un lavage de cerveau collectif, par médias interposés. Rappelez-vous ces images subliminales à la télévision, durant la campagne de Mitterand, et vous comprendrez mieux pourquoi l’état envoie régulièrement ces inspecteurs du fisc vérifier les foyers qui déclarent ne pas posséder de poste de télé, et qui échappent donc à l’emprise du côté obscur !

Pour en revenir aux faux-philosophes, attendre de ces gens un acte de courage ou de résistance réel, face à une UE totalitaire qui est en train de massacrer notre pays, est aussi vain que d’attendre la démission du locataire de l’élysée avant la fin de son mandat !

Si feu Pierre Desproges avait survécu, il en aurait sûrement fait un bon sketch sur la race canine, toujours si prompte à lever la queue, et becqueter à la moindre gamelle qui se présente. Car telles ont toujours été les allées du pouvoir : un chenil où chacun lève la patte et fait le beau devant son maître, même quand le maître est con comme ses pieds !

La seule question réellement digne d’intérêt, au final, est donc de savoir qui tient véritablement la laisse de M. Onfray ? Car pour bien philosopher, il faut d’abord être libre de penser, chose qui, de toute évidence, n’est pas le cas de l’intéressé. Il serait donc temps que les soutiens de M. Onfray comprennent qu’ils n’écoutent pas le discours d’un Roi, mais celui d’un simple pion !

Sur ce, vite le Frexit, et vive la France Libre !

Et mon courroux… coucou !

5 juillet 2019 : deux tristes nouvelles ce jour : primo la suspension d’Alexandre Langlois, patron du syndicat de police Vigi, pour avoir osé dénoncé de nombreux scandales dans son milieu, et s’être posé en lanceur d’alerte contre sa hiérarchie – et secundo la condamnation de l’humoriste Dieudonné à deux ans de prison ferme (+1 avec sursis) soit disant pour détournement de plus d’un million d’€ de recettes, le tout sans être atteint de phobie fiscale, ce qui est parfaitement impardonnable côté fisc !

Personne n’est dupe : dans les deux cas, nous sommes bien en face de condamnations politiques, orchestrées par une mafia de voyoux politiques, eux-mêmes soutenus par nos députés et sénateurs, pour mutiler, éborgner, tuer, et gazer impunément, semaine après semaine, tout manifestant qui oserait revendiquer un bout de pain ou un peu plus d’écologie, en s’imaginant tous invulnérables derrière leurs cordons de CRS et leur petite garde perso.

On le sait bien à l’UPR : la vérité fait peur. Et il est vrai que le lanceur d’alerte, qu’il soit policier, professeur, médecin, informaticien, avocat ou pire : humoriste – est le cauchemar de tout dictateur qui se respecte. On a viré le fou du Roi : il coutait trop cher – maintenant le Roi est fou – c’est plus économique et plus simple pour tout le monde !

Pour ma part, j’avais été très choqué par un reportage de M. Lapierre où l’on voyait clairement une armée de flics mobilisée pour interdire au public l’accès à un spectable de Dieudonné. Voir ainsi le fric de mes impôts gaspillé par des cons (je ne parle évidemment pas des flics mais de leurs commanditaires) pour empêcher la libre expression d’un artiste, est parfaitement débile.

Personnellement, j’aime bien les spectacles de Dieudonné, qui « pique » finalement tout le monde avec un talent certain dans ses personnages. Mais même si je ne les aimais pas, l’histoire a prouvé que les morts d’Hitler ou de Mussolini n’ont pas miraculeusement fait disparaître le nazisme ou le fascisme, n’en déplaise au CRIF et à ses toutous politiques.

L’allemagne a beau avoir voté une loi interdisant les slogans de type « Sieg Heil ! », les neo-nazis allemands ont survécu, et tendent même à revenir sur le devant de la scène. Et quand on regarde le reste de l’UE, et notamment la Lettonie qui célèbre ouvertement les Waffen-SS chaque année, il faut être lucide : rien n’arrête l’esprit humain et les idées, qu’elles soient bonnes ou mauvaises.

Tout ceux qui s’acharnent ainsi à vouloir faire taire les gens en votant des lois ubuesques dignes de la Stasi, en tapant sur les lanceurs d’alerte, en pratiquant l’omerta médiatique, en émettant des fausses nouvelles toujours plus grotesques et ridicules, sont en fait de parfaits malades mentaux en puissance, des gens qui devraient d’urgence aller consulter des psys et se faire soigner !

Dieudonné a bien raison de se foutre ouvertement de leur gueule, et de les envoyer littéralement chier, car c’est bien tout ce qu’ils méritent !

Personnellement, insultes vraiment injurieuses ou raciales à part, je pense que la liberté d’expression devrait être totale et sans aucun taboux religieux. Après tout : si Dieu a créé un univers de 90 milliards d’années lumières de diamètre (en expansion), je ne pense pas qu’il en voudra à une bande de primates dégénérés et infidèles, tout juste sortie de sa forêt, de faire un peu d’humour noir sur sa personne. Ou alors Dieu est con, et comme il est Dieu, il l’est forcément beaucoup plus que nous… En tout cas, ça ne valait pas une visite guidée du World Trade Center en boeing, et en aller-simple.

Mais revenons sur cette bonne vieille terre qui nous sert de caillou.

Comme la chasse aux sorcières du Moyen-Âge ayant conduit nos ancêtres à des attrocités collectives au nom d’une religion, il n’est pas paradoxal aujourd’hui qu’une bande d’incontinents, voulant interdire la fessée à coup de lois Pampers, soient les premiers à utiliser la violence étatique, tant physique que psychique, contre ceux qui osent leur résister.

Il faut certes être un peu fou pour vouloir le pouvoir. Mais pour ceux qui l’obtiennent, il n’y a ensuite que deux types d’issues : soit un caractère trempé, avec une personne capable d’arbitrer réellement des décisions et de résister aux pressions, travaillant pour le peuple, soit une brêle suiveuse, trahissant son pays, sans aucune envergure, dont la seule qualité est de savoir mentir devant les caméras, et dont la folie intérieure ne fait que grandir au fil du temps.

Et la perquisition de Mediapart ou la condamnation de M. Langlois de nous prouver que nos gouvernants actuels et plus anciens ont bien perdu leurs esprits et le sens commun, en plus de s’asseoir sur la séparation des pouvoirs. Dont acte.

Quant à savoir si l’enrôlement de la jeune génération à coup de drapeau européen dans les classes produira bien de futurs SS européistes, prêt à saluer l’hymne à la joie, pour aller se faire tuer en Russie, en Iran, ou au Vénézuela, au nom du capitalisme, j’ai quand même un petit doute.

Les mois passent. Les gilets jaunes résistent et se diversifient. La grogne monte. La situation devient chaque jour plus intenable pour bon nombre de nos concitoyens. On sent bien que tout cela finira mal, d’une façon ou d’une autre.

La seule bonne nouvelle en attendant, c’est que ça n’empêchera pas M. Langlois de nourrir sa famille via une cagnotte créée pour l’occasion, et ça n’empêchera pas non plus Dieudonné de tenir son spectacle Gilets Jaunes dans l’année qui vient. Quant à savoir si la France existera encore l’an prochain sous le régime de l’éborgneur eurofasciste…

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France libre !

Européennes 2019

26 mai 2019 : les résultats tombent, et autant le dire, ils ne sont pas bons pour l’UPR, qui tournerait autour de 1,2%.

Il faut préciser que pour ces élections, on attendait quand même, à l’UPR, un soutien massif des gilets jaunes pour la simple raison logique qu’il ne peut y avoir de RIC sans une sortie préalable de l’UE. Même Étienne Chouard l’a reconnu. Et là, force est de constater que les gilets n’ont pas été au rendez-vous.

Parmi les explications, la première qui me vient à l’esprit est qu’un bon nombre de gilets jaunes ne nous connaîssent toujours pas, après 8 mois passés à manifester – pardon : à se faire gazer et mutiler- dans les rues de France ! Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls, puisqu’il n’est pas rare de rencontrer encore fréquemment des concitoyens qui ne connaissent toujours pas François Asselineau, malgré le fait que notre président ait été candidat officiel à la dernière présidentielle ! C’est à ce genre de découverte qu’on se rend compte à quel point les gens sont conditionnés.

Comme toujours, les merdias ont une bonne part de responsabilité dans l’affaire. Ça fait 12 ans que les français n’ont pas le droit de savoir comment fonctionne réellement l’UE, et il faut bien avouer qu’entre la présidentielle et les européennes, personne n’a vu les lieutenants et le président de l’UPR sur les plateaux aux ordres du CSA, à quelques exceptions près sur Sud Radio.

On a aussi pu observer dans cette campagne des hérésies merdiatiques, comme organiser un débat passé 22h. Débile et parfaitement volontaire, puisque les organisateurs ont refusé la présence d’un autre membre que la tête de liste, laquelle a donc été menée à rude épreuve jusqu’à épuisement (extinction de voix). Le procédé est tout simplement honteux, et témoigne bien d’une volonté de nuisance affichée de la part des collabos du pouvoir.

On rappellera encore que l’UPR a du se battre juridiquement pour avoir le droit de participer au débat de France 2 avant le début officiel de la campagne, et que le dernier débat organisé par BFM a vu l’absence de l’UPR, non invité par la chaîne, avec un conseil du CSA qui a balayé la plainte légitime de notre président, soulignant de plus belle le totalitarisme d’état devenu la norme dans ce pays ! Faut-il être stupide ou demeuré pour ne pas comprendre et accepter le fait que nous sommes déjà dans une dictature qui ne dit pas son nom ?

La seconde explication à notre faible résultat est peut-être tout simplement d’avoir trop compté sur nos amis GJ, et sur leur capacité de communication interne. Ainsi plus d’un reportage web laissait à penser que sur les rond-points, les langues commençaient à se délier, et que de nombreux GJ commençaient à faire enfin le rapprochement logique entre notre appartenance à l’UE et leurs fins de mois difficiles. Fake news ? Cas particuliers ? En tout cas, les urnes n’ont pas suivi ce qui était censé être une prise de conscience collective et salvatrice !

Peut-être aussi avons nous été aveuglés par le fait que si 70% de français ont soutenu le mouvement des GJ à ses débuts, la vraie part des gilets jaunes « actifs » dans la population reste faible. Et même si de nombreux GJ auront appris ces dernières semaines que l’UE est la cause principale de leurs problèmes, il n’en reste pas moins qu’avec des porte-parole pro-LFI, comme M. Boulo, les informations pro-Frexit n’ont peut-être pas circulé aussi librement qu’elles auraient du.

Quoi qu’il en soit, ce soir, ce n’est pas l’UPR qui a perdu. Ce sont les gilets jaunes et leurs nombreux supporters, qui viennent de « snobber » la seule solution politique qui aurait oeuvré activement à répondre à leurs desiderata !

De ce fait, j’ai bien peur que les gilets jaunes ne se soient eux-mêmes fait harakiri ce soir, car il faut bien comprendre une chose : tous ceux et celles qui sont allés voter pour les opposants de pacotille, copains comme cochons du pouvoir en place, n’ont pas compris qu’ils faisaient exactement le jeu de l’élysée !

Il n’y avait qu’un seul parti qui faisait réellement peur à l’oligarchie, et qui n’était pas soumis aux banques : le notre !

Le vote UPR était la seule solution logique pour sortir de l’impasse, et envoyer un signal fort de rébellion envers Bruxelles, Francfort et Washington. Les électeurs ont clairement raté l’occasion de se faire plaisir, en plus de se faire du bien.

La seule bonne nouvelle de la soirée nous vient du Royaume Uni, ou le parti pro-Brexit de Nigel Farage vient de pulvériser haut-la-main les élections européennes ! Déjà le départ de Mme May cette semaine avait été une excellente nouvelle. Et cette information de nous indiquer clairement que contrairement aux électeurs français, les électeurs britanniques ne se laisseront donc pas voler « leur » vote démocratique par une mafia de sales traîtres et de collabos de service ! Nul doute que M. Farage se fera une joie d’aller littéralement « pourrir » au maximum la vie des technocrates bruxellois ayant mené au repport du Brexit, ce qui en réjouira plus d’un dans nos rangs, et devrait rendre les prochaines semaines particulièrement croustillantes !

Sur ce, vive le Frexit et vive la France Libre !

Marchands de rêves

13 mai 2019 : alors que les européennes approchent, je tombe par hasard sur l’interview de Mme Coralie Delaume, faite par la chaîne Thinkerview. L’intéréssée, qui a déjà participé à au moins une université d’automne de l’UPR, est co-auteure avec l’économiste David Ceyla de « la Fin de l’Union Européenne », paru chez Michalon. Un livre intéressant, bien connu à l’UPR, qui analyse pourquoi l’UE va se casser la figure, plus sur des considérations économiques que politiques – mais passons.

Ce qui m’intéresse plus dans cette interview est l’analyse des propos de la personne, qui est – rappelons le, une essayiste, et non une économiste. Il n’est donc pas trop étonnant qu’elle ait du mal à répondre à certaines questions de l’interviewer, qui soit dit en passant, semble étrangement fâché avec le nom de notre président.

Rapidement, on retrouve dans l’interview le double discours classique des mélenchonistes (Mme Delaume ayant publiquement avoué sa préférence), à pester avec de bons arguments sur l’UE, pour ensuite fuir systématiquement dans des espoirs de re/négociations entre pays, aussi irréalistes qu’irréalisables.

Je n’ai ainsi pu m’empêcher de bien rigoler devant l’espoir futile de Mme Delaume à s’imaginer un mouvement collectif des autres pays de l’UE contre l’Allemagne. Pour une ancienne militaire, c’est un peu détonnant.

Quoi qu’il en soit, les rêves (ou les démons ?) de Mme Delaume semblent bien décider à nier la réalité du fonctionnement de l’UE, à commencer par l’unanimité des états membres pour modifier la moindre virgule des traités, la pression des pairs, ou la stratégie des chaînes, particulièrement efficace à 27.

Comme toujours dans ce cas, le sentimentalisme baveux d’une « autre europe » l’emporte sur la raison mathématique, laquelle dicterait à toute personne soucieuse de sa survie, et connaissant les mécanismes suicidaires de l’UE, de littéralement foutre le camp le plus vite possible du navire – et de préférence en premier !

Car s’imaginer qu’on puisse renégocier quelque chose avec des dictateurs de la CE (non élus – faut-il le rappeler), qui émettent leurs GOPÉ totalitaires chaque année, détruisant/vendant nos biens et nos vies au plus offrant, est hallucinant de naïveté enfantile, et presque débordant de sectarisme gratuit !

L’enfer, ce n’est pas toujours les autres. Parfois (et même souvent), c’est soi-même. Et je pense sincèrement que comme beaucoup de mélenchonistes, Mme Delaume se complaît dans sa prison mentale, fabriquée et entretenue par un serpent à lunette, accessoirement parlementaire européen, et grand mangeur de soupe devant le -presque- éternel boit-sans-soif.

Il est vrai qu’en 1992, les marchands de rêves nous avaient promis un « monde meilleur », avec le retour du plein emploi, une UE forte et sociale qui allait tenir tête aux autres blocs, américains, russes et chinois.

Mais 25 ans plus tard, nous sommes bien esclaves de Bruxelles, Francfort et Washington. Et les mélenchonistes, comme les frontistes, ne semblent jamais se poser la question de savoir pourquoi leurs dealers respectifs ne leur ont jamais expliqué les mécanismes réels des traités européens toutes ces années, avant qu’Asselineau ne brise l’omerta, et ne vienne avec ses nombreuses vidéos internet jouer cartes sur table !

Mme Delaume me fait ainsi penser à ces gens qui dorment debout / ne veulent pas dormir / font semblant de dormir, mais qui dorment finalement peu et mal, coincés dans leurs paradoxes dont ils ont conscience quand ils sont éveillés, mais nourris finalement du rêve d’un autre, un peu comme un parasite dans leur esprit, qui les pousse à renier des réalités certes cruelles, mais malheureusement intangibles.

Et on sent bien, en dehors du stress de l’interview, cette lutte interne de la personne à peser chaque phrase et chaque mot, refusant de céder à la solution logique du Frexit, et de se remettre en plein accord avec soi-même. Une ex-militaire sait se contenir en public, certes, mais le langage non verbal fini toujours par l’emporter, et ici, il crève particulièrement les yeux !

Il faudra bien pourtant que les 20% de drogués mélenchonistes et les 20% de drogués frontistes finissent un jour par comprendre que l’UE n’est qu’un piège à cons dessiné et dirigé par des riches et nantis pour spolier les peuples de leur démocratie et de leurs biens collectifs. Ils ont déjà foutu les grecs à poil. Maintenant, c’est notre tour !

L’UE, il ne faut pas avoir peur de la quitter : il faut avoir peur d’y rester ! Et malheureusement pour Mme Delaume, personne ne viendra nous sauver. Si nous voulons que l’UE « disparaisse », alors il faudra nous sauver nous-mêmes !

Le Frexit, c’est juste le début de la reprise de contrôle de notre destinée commune, et juridiquement, c’est effectivement la seule solution pour foutre le camp par la grande porte, sans se brouiller avec autrui, ce qui nous permettra aussi de négocier nos accords bilatéraux par la suite sur des bases saines et respectueuses de nos partenaires et voisins.

Ma conclusion est que F.I. est bien une secte. Elle en a bien toutes les caractéristiques sur ses militants, contrairement à l’UPR, qui est un mouvement de libération, composé de gens critiques et logiques, sains et libres d’esprit !

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Inception

19 avril 2019 : la réalité dépasse bien souvent la fiction, mais pas toujours pour les mêmes raisons.

Suite au désastre historique de Notre-Dame de Paris, qui, loin des convictions religieuses de chacun, était avant tout un monument historique emblématique de notre pays, tout français est en droit de demander des comptes à l’état.

Pourquoi ? Tout simplement parce que ce monument rapportait à lui seul des millions d’euros chaque année, et qu’il est hallucinant, alors qu’au moins un rapport avait soulevé le danger omniprésent de la toiture face au feu en 2016, que rien n’ait jamais été fait pour sécuriser l’édifice, avec notamment un système anti-incendie, qui était techniquement réaliste et réalisable !

C’est même pire que cela, puisqu’on a appris que la première alarme indiquait un mauvais lieu ! 23 mn plus tard, quand la seconde alarme a enfin indiqué le bon, il était déjà trop tard… Donc même là, le système de sécurité en place était en défaut !

Quand on sait à quel point l’état s’amuse à changer régulièrement les normes de sécurité en France, bien plus strictes que dans beaucoup de pays limitrophes, en appliquant un contrôle annuel obligatoire des établissements privés, avec des fonctionnaires zélés payés pour coller un maximum d’amendes et ramener un « pognon de dingues » à Bercy, on se dit qu’il y a clairement des têtes à couper, à la fois au niveau des monuments historiques, et à la fois au niveau de l’état lui-même, qui reste le premier responsable de cette catastrophe pour notre patrimoine.

Seconde indécence, et de taille : alors que nous arrivons à l’acte XXIII des gilets jaunes ce samedi, voilà soudainement que les riches milliardaires français annoncent d’un seul coup des centaines de millions d’euros pour la reconstruction de l’édifice ! Ben oui : les dons aux œuvres, c’est des impôts en moins… Déjà qu’ils ne doivent pas en payer beaucoup, on imagine que cet incendie tombe à pic, pour en grappiller encore un peu plus, en se rachetant des indulgences au fisc, à défaut de racheter des indulgences aux religieux !

Les gilets jaunes apprécieront sans aucun doute de voir tout cet argent sortir miraculeusement des poches des premiers bénéficiaires de l’UE, lesquels se sont fait un joli coup de pub gratuite en passant – merci encore aux médias complices du service public !

Enfin, et M. Asselineau l’a maintes fois évoqué : alors qu’on donne des milliards aux polonais pour s’acheter des F35 américains, le nombre de monuments d’arts et de monuments historiques délabrés et dangereux ne cesse de croître en France et en Europe. L’effondrement du viaduc Morandini à Gênes, en 2018, ayant entraîné la mort de 43 civils, dont des français, résonnait déjà comme un funeste avertissement. Avec cet incendie, le danger qui nous guette est désormais public et évident.

Mettons les choses au clair : si un seul français succombe demain à cause d’un ouvrage d’art défectueux, ceux qui auront laissé faire seront directement responsables de meurtre avec préméditation. Il n’y aura aucun pardon possible envers ceux qui auront préféré nourrir leurs copains européistes, en laissant tuer des français innocents. Nos députés et sénateurs feraient bien de s’en souvenir : les français n’oublieront rien, ni personne, et il n’y aura aucune décharge de responsabilité possible, ni aucun fusible de circonstance, qui calmeront la juste colère du peuple !

Dernière indécence eurofasciste avec la spoliation merdiatique du « Notre-Dame d’Europe« , expression qui restera là encore gravée à jamais dans notre mémoire. Le seul fait d’avoir oser est une insulte envers tous les français, et tout spécialement envers les parisiens !

Il est plus que jamais temps de sortir de cette prison des peuples qu’est devenue l’UE, de récupérer notre fric, et de nous occuper sérieusement de nos affaires internes, plutôt que d’aller gaspiller le denier public à offrir des retraites dorées à nos fonctionnaires européens non élus, qui dictent leurs lois et ruinent notre pays.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Propaganda

15 avril 2019 : pour la première en fois en 12 ans, le journal « l’immonde » a donc gratifié l’UPR d’un article que nous allons prendre plaisir à décortiquer.

Il commence déjà dans son titre par une association gratuite entre gilets jaunes et UPR, donc par une fake news.

Rappelons que les gilets jaunes se revendiquent apolitiques, et que les responsables UPR n’ont jamais cherché à récupérer ce mouvement populaire.

Depuis plusieurs mois, l’UPR a certes proposé aux gilets jaunes qui le souhaitent de venir librement s’exprimer sur le plateau web d’UPR TV, gracieusement mis à disposition et anonymisé de toute référence à l’UPR pour ne faire aucun amalgame. Il est bien précisé, à chaque émission, que les propos tenus n’engagent que leurs auteurs respectifs, ni l’UPR, ni l’ensemble des gilets jaunes.

Nous aurions nous-mêmes aimé pouvoir disposer de ces ressources bien plus tôt, afin d’éviter les 12 ans de censure féroce et continue des eurofascistes, et nous savons à quel point il est devenu difficile de faire passer des messages et idées politiques démocratiques dans ce pays qui bafoue désormais les Droits de l’Homme et les droits des peuples.

Donc même si nous ne sommes pas d’accord sur tout, il est clair que nous dénonçons autant la censure des gilets jaunes que la censure de notre propre mouvement. Nous sommes donc particulièrement fiers et heureux de pouvoir mettre à disposition ces quelques ressources à la disposition des gilets jaunes, histoire de bien emmerder les braves toutous eurofascistes et leurs maîtres !

Si ensuite les idées de l’UPR font leur chemin dans les rangs des gilets jaunes, tant mieux ! Mais l’UPR ne va chercher personne : l’invitation est ouverte à tous les GJ, et nous avons bien deux mouvements distincts.

Ce point étant fait, revenons à notre article. La manipulation du lecteur continue avec le sous-titre « les tendances complotistes de l’UPR ». Un classique devenu culte chez les eurofascistes. Il faut dire que quand on ne peut pas salir son adversaire ou lui chercher des poux dans la tête, il faut bien inventer quelque chose, et tant pis pour la diffamation gratuite !

Allez, on continue encore avec « un gilet jaune grisonnant ». Oui, parce qu’à l’UPR, c’est bien connu, on est tous des vieux (cons – je force le sous-entendu) ! Ben oui : le jeune con, lui, il vote LREM et pense printemps ! Ça tombe bien : c’est la saison des imbéciles heureux !

On arrive au quidam qui « brandit ses réflexions » – oulà ! Stop ! Arrêtez tout avant qu’il ne brandisse autre chose que ses réflexions ! Un peu de décence, enfin, Mesdames les journalistes : il y a des enfants qui lisent vos conneries !

Allez : on saute quelques lignes plus loin pour arriver au fameux « petit parti de François Asselineau ». Quoi de plus normal en effet pour un PETIT article, écrit par des PETITS journalistes, cloisonnés dans leur PETITE rédaction immonde ?

Et bien entendu, le final de la première partie avec son magnifique « …dont le mouvement est connu pour ses tendances complotistes », prouvant définitivement que nous avons bien à faire à deux sottes sans aucune imagination !

Arrive l’expression « les Frexit » pour décrire les partisans pro-Frexit. J’ai relu 2x pour essayer de comprendre ce nouveau terme, mais là, je capitule : seule l’autopsie pourra peut-être nous révéler un jour pourquoi nos deux nénettes n’ont même pas eu l’intelligence d’utiliser le terme « Frexiters », alors que le terme « Brexiters » est utilisé partout depuis au moins 3 ans ! Sont-elles stupides à ce point ? Apparemment, oui.

On continue avec « le mouvement des gilets jaunes auquel s’est accroché dès le début le parti de François Asselineau ». Juste au cas où le lecteur aurait raté le premier amalgame gratuit. Et toujours pas de séchage entre les deux couches de peinture – tant pis pour les taches !

Dernière affirmation gratuite : « Nombre de militants sont également allés semer leurs idées pro-Frexit autour des braseros, sans jamais se revendiquer ouvertement de l’UPR ». Jolie fable qui insulte primo l’intelligence des gilets jaunes, et secundo celle des militants UPR concernés !

Entendons-nous bien : par respect du mouvement apolitique, les militants UPR qui participent aux manifestations des gilets jaunes n’affichent pas ostensiblement les couleurs du parti, et c’est aussi le cas de tous les autres militants encartés dans des partis adverses.

C’est bien normal : les gilets jaunes tiennent à leur neutralité politique, et l’impose à tous, sans exception. Maintenant ça n’empêche pas de discuter entre participants, d’échanger ses idées dans les deux sens, de parler de l’UPR à des gilets jaunes qui ne connaissent pas notre mouvement, et d’expliquer aux gilets jaunes qui le souhaitent nos analyses. Libre ensuite à eux d’y adhérer ou non.

En tout cas, face à l’omerta merdiatique de l’immonde et de ses copains, aux mains de 9 milliardaires véreux proches du pouvoir, interdisant tout débat sur la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN depuis 12 ans, il est vrai que le discours de l’UPR semble avoir trouvé un certain écho chez les gilets jaunes.

Mais une fois encore, si des gilets jaunes rejoignent massivement les analyses de l’UPR, c’est tout simplement parce que ces analyses sont les bonnes. Il n’y a rien à expliquer de plus.

Soyons réalistes : sans Frexit préalable, le RIC n’a aucune chance d’exister. Notre problème de base commun, c’est l’UE, au-dessus de tous les clivages. Et en se posant comme un parti temporaire de libération nationale, l’UPR affiche clairement la seul voie logique à suivre, pour sortir par la grande porte, sans aucune ambiguïté, et en ne froissant pas nos voisins et partenaries.

Quant à l’immonde feuille de chou ici concernée, qui au bout de 12 ans, nous pond un subtil mélange infâme et nauséabond de désinformation et de diffamation, la seule existence de cet article pose soudainement question. Le journal prendrait-il soudain ses précautions, au cas où le résultat des européennes marquerait la montée en flèche de l’UPR ?

La question est posée. Cela étant, ceux qui ont trahi leur pays devront un jour en payer les conséquences. Et cela vaut autant pour les journalistes complices que pour les politiques, hommes ou femmes, sans exception.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Fascisme bleu – mon amour !

4 avril 2019 : Suite au référé liberté, déposé par l’UPR en urgence, lequel a forcé France 2 à inviter M. Asselineau au débat organisé par la chaîne entre têtes de liste aux européennes, voilà qu’on apprend que France Télévision, qui avait fait appel de la décision de justice, a obtenu ce jour l’annulation de la décision du Conseil d’État, lequel se range bien évidemment aux côtés des fascistes bleus de Bruxelles, en précisant que hors période électorale, France 2 est libre d’inviter qui elle veut sur ses plateaux !

Comme pour les présidentielles, où tout le monde avait pu observer la petite thérapie de groupe entre copains européistes sur TF1, voilà donc que la télé nazi-onale nous refait le coup pour les européennes, en ignorant superbement le parti du Frexit, et ses 35500 adhérents – pardonnez du peu !

Rappelons que pour FT, la récente soirée organisée par l’UPR à Londres, qui a été la plus importante manifestation politique française depuis la fin de la guerre au R.U., et où 700 militants et partisans se sont retrouvés avec nos voisins britanniques pour fêter ensemble les 12 ans de l’UPR et surtout le Brexit (initialement prévu le 29 mars et finalement reporté au 12 avril aux dernières nouvelles parce que les fascistes britanniques refusent comme les fascistes français le résultat des urnes), cette soirée là n’a jamais existé, malgré la présence d’anciens ministres et lords britanniques !

Et ce n’est pas la première fois que France Télévision et Radio France brillent par leur propagande et leur désinformation abjecte des français, à snobber les idées et les dirigeants de l’UPR. Dans les 12 ans de boycott, on pourra citer :

  • 0 invitation de l’UPR et de M. Asselineau depuis la fin du 1er tour de la présidentielle, et ce dans tous les médias aux ordres du CSA, à l’exception de quelques interventions sur Sud Radio.
  • 0 mention de la manifestation UPR du 1er mai 2018, qui avait rassemblé quelques 3500 (!) militants à Paris, en marge du cortège officiel, le tout dans une ambiance sympathique ET SANS LA MOINDRE CASSE !
  • 0 mention nationale de la dernière université d’automne de l’UPR en 2018, malgré quelques 1200 (!) participants, et le fait qu’à part F.I. et l’UPR, plus aucun parti politique français n’arrive à rassembler autant de monde dans une université !

J’arrête là : même un enfant de 8 ans comprendra que les médias français aux ordres du CSA sont devenus des usines à fake-news et à désinformation !

Et le pire, c’est qu’on nous parle même de supprimer la redevance audiovisuelle avec la taxe d’habitation, histoire que ceux qui ne payent pas la redevance aujourd’hui, la payeront quand même demain, via un autre impôt indirect créé pour l’occasion. Et oui : financer les collabos du système à un coût évident, que le régime facture logiquement à ses esclaves soumis !

Comme pour les gilets jaunes, qui découvrent les joies de la désinformation d’état, du détournement des propos, la mafia de sales petits dictateurs en costume cravate s’octroie publiquement le droit imaginaire de décider de ce que nous avons le droit de voir ou d’entendre !

Et pendant que le « régime de Paris », qui n’a même plus confiance dans sa flicaille obéissante, en appelle désormais à l’armée pour mater la rébellion des gilets jaunes, le monde entier hallucine de voir ce que la France est devenue en seulement 15 ans !

Pour ma part, je reste pour le moment étonné de la bienséance actuelle du peuple vis à vis de ses députés et sénateurs successifs, premiers responsables de ce désastre commun !

A moins évidemment que là encore, on nous cache soigneusement des actions militantes visant à faire comprendre aux gus dans leur assemblée que l’article 68 de la Constitution est la seule et dernière solution logique et légale pour éviter une violence qui va s’amplifier, à n’en pas douter. Quand des gens n’ont plus rien à perdre, le désespoir ne peut que pousser à l’inévitable.

L’UE a déjà perdu. Le fait est qu’elle refuse sa fin, et que ceux qui participent encore à cette mascarade le paieront bien plus que ceux qui nous l’ont vendu au départ.

Vive l’UPR et vive la France Libre !