Valse de ploucs

22 juillet 2023 : que faire après un dîner de Judas à l’élysée, soulignant une fois encore tout le sadisme entretenu du leader ? Et bien remanier un peu les ploucs de service bien sûr ! Mais parmi les chaises musicales du remaniement, il y a une qui est particulièrement gratinée : celle de la joyeuse saucisse allal – vous savez : ce petit jeune sans expérience de la vie, qui n’a connu que les allée feutrée du pouvoir, parachuté à ne rien foutre où qu’il aille.

Quel métier merveilleux que celui d’acteur, sans aucun compte à rendre, et ce quels que soient les résultats de la série télé !

Déjà son prédécesseur avait brillé par le fait d’avoir mis ses gamins dans le privé, dans l’école alsacienne du 6ème pour ne pas la nommée, ce qui fait quand même salement tâche quand vous êtes ministre de l’éducation publique…

Mais dans cet intéressant article, on apprend donc que notre saucisse de paris n’a jamais connu les bancs publics, et est passé lui aussi dans le même établissement scolaire sus-nommé.

Il est surprenant que l’immonde, journal relayant la propagande euronazie parmi bien d’autres, ose ainsi soudainement dénoncer la fabrique des élites françaises.

Attention : j’utilise ici le mot « élite », mais dans la nullité profonde, le manque total d’imagination (sauf pour nous emmerder, nous gazer/nasser/tuer, nous coller de nouvelles taxe…), et bien entendu : élite dans la soumission totale au reste de l’euroreich-en-marche forcée. Autant parler d’une pure fabrique de dictateurs minables, élevés aux grain et plus tard à la French American Foundation.

On ignore si dans l’établissement visé, les profs se reproduisent entre eux ou baisent leurs élèves, comme dans certains établissements catholiques ou à science-porcs. Mais vous aurez compris qu’il y a clairement un problème de reproduction de la caste dévergondée, qui ne s’en cache même plus.

C’est toute l’horreur d’un pays dans lequel les politiques ne sont pas mis en place sur leurs capacités de travail réelles et surtout : sur leur engagement à défendre les intérêts de leur pays, mais parachutés par l’UESS et les américains pour nous détruire, nous spolier à la Grec, nous escroquer, nous injecter avec une potion pas magique du tout, et parfois même nous tuer avec le grand sourire du parfait assassin.

Voir ainsi débarquer une petite saucisse de Paris sans envergure ni expérience, dans un milieu comme l’éducation nationale qui aurait bien besoin d’un remède cheval, n’a vraiment rien de rassurant, surtout avec un BAC déjà largement truqué et affaiblit, via un grand oral qui est une farce grotesque.

Car désormais, on donne le BAC aux beaux parleurs sachant présenter un sujet, et non plus sur la capacité réelle et testée dans une matière ! C’est honteux.

Mais c’est encore pire dans les matières scientifiques, avec un crétin fini de ministre qui nous avait supprimé les maths du tronc commun pendant quelques années. Dans le but d’économiser des profs de Sciences, bien sûr, et de bien sucer l’UE, qui demande toujours plus d’économies publiques à coup de GOPÉ !

Le résultat a été tellement catastrophique que pour une fois, ils ont été forcés de revenir en arrière ! C’est dire à quel point ces cons ne réfléchissent même plus aux conséquences désastreuses de leurs petites magouilles comptables !

Vous rajoutez à cela la baisse de candidats au concours (800 contre 5000 il y a encore quelques années) et vous comprenez que le plus beau métier du monde n’attire plus.

C’est même pire : nombre de profs pourtant sérieux et bien notés finissent par abandonner devant le manque totale de soutien de leur hiérarchie, des contraintes administratives de plus en plus lourdes et débiles, des parents aux abonnés absents qui deviennent aussi cons que leur progéniture, une mobilité professionnelle particulièrement infâme et sans scrupules du ministère, une vision de l’éducation de plus en plus fermée et absurde, et enfin un salaire vraiment minable face au travail réel exigé.

On n’attire pas les mouches avec du vinaigre. Surtout les plus compétentes. Donc on se retrouve fatalement avec de plus en plus de profs qui n’ont pas le niveau, pas l’envie, qui n’en peuvent plus, et qui iront logiquement trouver une bien meilleure place dans le privé…

Au final, arrivés au BAC dans l’école publique, nos jeunes de 18 ans ne maîtrisent toujours pas leur table de 10, et vous alignent 4 fautes de grammaire ou d’orthographe à la ligne. Et ça se retrouve en post-BAC : nos jeunes ont quelques 4 ans de retard mental bien comptés. On pourrait croire que les filles, généralement plus en avance à cet âge, sortent un peu du lot. Mais en fait, plus vraiment.

L’internet, la triche à coup de smartphones ou de chatgpt, les a tous rendu paresseux, et surtout : incapables de se concentrer plus d’1h30 sur un problème. L’absence de réflexion, de recherche de solutions, aboutit logiquement sur l’absence d’imagination. En clair : ils savent singer et reproduire comme des robots, mais ils ne savent plus inventer. Et ça, c’est extrêmement grave pour de futurs ingénieurs ou chercheurs – sans parler des métiers de conception en informatique.

Déjà aujourd’hui, les employeurs ont de plus en plus de mal à recruter des gens sérieux, motivés, et capables. Mais ce n’est rien à côté de ce qui les attend dans les 20 prochaines années. Parce qu’il va bien falloir trouver du boulot à ces jeunes ! Et quand ceux là voient leurs parents s’offrir deux mois par an de congés supplémentaires à coup d’arrêts de maladie, en abusant clairement de tout ce que le système peut leur offrir sans rien foutre, inutile de dire que côté motivation, le compte n’y est pas.

Le COVID enfin aura sûrement aussi joué son rôle dans la fuite des profs et plus globalement dans tous les métiers de cadres, lesquels se sont bien rendus compte qu’on les tuait pour quelques billets de plus, et que mourir pour la gloire de leur employeur ne nourrira pas leur famille.

Maintenant ne soyons pas dupes : pour notre saucisse allal fraîchement sortie de sa boîte, et surtout pour ses copains mondialistes, le but a toujours été de tuer l’éducation publique, et de privatiser tous les établissements. Seuls les riches doivent réussir. Les pauvres n’existent que pour payer et glisser le bon bulletin dans l’urne. Et si on pouvait les faire veauter à 16 ans, quand ils sont encore bien cons, n’ont aucune culture politique, et sont nourris aux illusions de l’euroreich, ce serait vraiment top !

Bref, le poudré aura parachuté sa marionnette la plus minable, la plus jeune et la plus servile, à un poste clé, pour détruire ce qu’il reste encore des forces vives, et tuer ceux qui résistent et se battent courageusement contre l’envahisseur américain.

Il ne lui manque finalement que la moustache et les bottes de cuir noires.

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