La putain des européistes

MAJ 10 février 2021 : la magistrale réponse en vidéo (ci-dessus) de M. Asselineau à cette putain de justice eurofasciste, aux ordres des puissances d’argent, restera sûrement dans l’histoire politique de ce pays, pour démontrer à quel point les assassins de la République auront tout fait pour couvrir leurs trop nombreux crimes impardonnables.

Il est en outre édifiant d’apprendre que le domicile de M. Asselineau a été perquisitionné dans l’affaire, ce qui est bien un viol politique à 1,5 an de la prochaine présidentielle, histoire de cerner le réseau privé du personnage !

Si certains pouvaient encore hésiter sur la question, le traitement judiciaire particulier fait à la famille Asselineau n’offre plus aucun doute : on est bien dans un assassinat politique commandité. Au moins les choses sont claires, et les sécessionnistes du printemps en seront pour leurs frais.

La pression faite ici rejoint d’ailleurs dignement les méthodes de la Stasi d’antan, ce qui n’est guère étonnant connaisssant l’affection du locataire de l’élysée pour les « boches » européistes d’outre-rhin… On connaissait déjà la torture et la mutilation de nos braves gilets jaunes dans les rues de France, par brassard interposé, avec – fait agravant – couverture des bâtards employés sous faux drapeau, et érigés en milice personnelle !

On peut clairement dénoncer ici une torture psychologique, et même physique, les joies de la fouille d’une garde à vue étant bien une atteinte à l’intimité, humiliant forcément celui qui la subie. Cela se paiera un jour.

Sinon faudra t’il ressortir la guillotine pour faire le ménage qui s’impose ? C’est une question que beaucoup de français doivent sûrement commencer à se poser en leur fort intérieur, l’ignominie ayant largement dépassée la ligne rouge. Et historiquement parlant, le fait est qu’on en a fusillé et pendu pour moins que ça dans l’après-guerre !

Cela étant, si la peine de mort devait un jour revenir pour les traîtres à la nation, seul un RIC populaire serait enclin à la légitimer : c’est bien aux français de savoir ce qu’ils veulent ! Mais ce n’est plus un sujet tabou à mettre sous la table, n’en déplaise à M. Badinter. L’époque a changé, certes, mais la bête immonde est bien revenue : elle a juste changé de forme et de drapeau, et utilise désormais l’argent pour acheter nos terres et nous spolier de nos biens !

Je ne peux que souhaiter courage à la famille Asselineau qui subit comme bien d’autres ce pouvoir totalitaire devenu fou à lier.

Et je partage entièrement la conclusion du quidam : si l’UPR était aussi ridicule que nos adversaires le prétendent, elle ne gênerait personne. C’est précisément parce que notre mouvement réussi à convaincre toujours davantage de français qu’il en devient dangereux ! En soi, c’est bien une marque de reconnaissance que viennent d’offrir les eurofascistes à notre mouvement, ce qui ne manquera pas d’amplifier notre détermination.

3 février 2021 : j’apprends donc ce soir la garde à vue de notre président François Asselineau, suite à des accusations qui me semblent clairement infondées.

Soyons réalistes : M. Asselineau est le premier à savoir parfairement que les chiens eurofascistes ne lui feront absolument aucun cadeau.

Rappelons également que M. Asselineau lutte contre vents et marées depuis maintenant 14 ans, alors qu’il aurait pu rester peinard chez lui, et toucher du fric à gogo comme ses anciens collègues de l’ENA devenus patrons de banque.

Quand vous êtes un tel sacrifice de carrière, ce n’est pas pour tomber dans le grivois ou le harcèlement, même si sur ce dernier point, et uniquement celui-là, le personnage est connu pour être effectivement exigeant avec ses collaborateurs. C’est une réalité, ok. Mais ce n’est pas une preuve de harcèlement moral par défaut. Quand vous êtes le patron, vous attendez une certaine qualité de vos employés. Et si nos deux anciens salariés ont été éconduits, il y a aussi une raison…

Quant aux accusations grivoises, elles ont surtout servies à faire sortir les loups du bois, démontrant les dents longues de certains dans le mouvement. Et là, quels que soient les faits réels ou supposés, cette affaire aurait du logiquement être traitée en interne par le CA et le bureau, et non pas fuiter dans la presse comme ça a été le cas, prouvant bien la présence d’au moins une taupe au sein du mouvement.

Maintenant au vu de l’ensemble des signataires de la lettre qui a mis le feu aux poudres, les mots de « conspiration » et de « trahison » sonnent plus justes, ces gens se permettant de demander l’éviction d’un président en exercice, en court-circuitant les adhérents qui l’ont voté !

Désolé, mais si quelqu’un doit demain « foutre dehors » M. Asselineau du mouvement qu’il a créé, ce sont bien les seuls adhérents, et non pas des lieutenants qui étaient censés le soutenir !

Mais raisonnons maintenant par l’absurde : admettons un instant que les accusations soient vraies, et que notre président soit coupable.

Si on prend le seul cas du sieur Darmanin, accusé de viol depuis des mois, sans parler d’autres anciens ministres dépravés et donc les mœurs délirantes sont connues depuis des lustres, pourquoi la justice n’a t’elle pas encore mis tous ces autres personnages en garde à vue ?! (et même en prison ?)

Le traitement particulier fait ici au président de l’UPR démontre bien qu’il devient dérangeant, à un an environ de la prochaine présidentielle. Et de toute évidence, le rapprochement avec Cheminade et d’autres souverainistes n’y est sûrement pas étranger, et commence à donner des sueurs froides aux traîtres.

Cette garde à vue est juste une preuve de plus de l’instrumentalisation de la justice depuis l’élysée, justice devenue donc officiellement ce jour « la putain des européistes » !

Enfin, n’oublions pas que notre équipe de « bras cassés » compte dans ses rangs un ancien avocat qui jurait devant les caméras, comme Bachelot, de ne jamais (re)briguer un jour un poste ministériel si on le lui proposait. On a vu la suite…

Je ne peux que souhaiter courage à notre président dans cette épreuve, clairement destinée à casser son image et sa réputation.

Quant à ceux qui jouent à ce petit jeu dangereux, qu’ils soient bien assurer que nous n’oublierons pas, et que nous ne pardonnerons rien.

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

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