10/11/2024 : alors que les affaires de drogue et de viol n’arrêtent plus d’éclabousser des députés et sénateurs, et que tous ces braves gens font tout pour ne surtout pas lier leur fonction de mange-soupe à un casier judiciaire vierge pourtant obligatoire dans nombre de « petites » professions, voilà ce jour que c’est au tour d’un majordome de 26 ans de Matignon de se faire prendre la main dans le sac, non pas en tant que consommateur, mais bien en tant que dealer…
Et l’article de bien pleurer sur ses petits problèmes conjugaux persos pour tenter de le blanchir. Comme si un couple lambda n’avait pas aussi parfois ses petites humeurs à gérer !
La drogue, c’est un choix.
Il faut arrêter de plaindre ces gens qui par faiblesse ou par confort consomment et se foutent en l’air.
Et ce d’autant plus que beaucoup le font de manière culturelle, parce que dans leur petit milieu, c’est courant, tout le monde le fait, que beaucoup s’en vantent ouvertement, qu’il y a un effet de groupe et de mode comme chez les ados pommés, et qu’au final, dans leur tête, et malgré le fait qu’ils connaissant parfaitement les dangers des produits qu’ils consomment, ils restent sur le mode : « planer » un moment ne peut pas faire de mal…
S’ils veulent vraiment se suicider, il y a bien plus rapide : la pendaison, la chute, le train, s’ouvrir les veines, … Ce ne sont pas les moyens qui manquent – même pas besoin d’acheter une arme et de se tirer une balle dans la tête !
La seule vision défendable de la drogue est celle de gens en fin de vie, qui savent qu’ils n’ont plus rien à perdre, et pour qui une drogue peut les soulager de la douleur.
Dans une vision thérapeutique, ça peut encore se défendre. Mais c’est tout.
Quand vous regardez les dégâts monstrueux du fentanyl et autres opioïdes aux USA, et sûrement aussi chez nous en plus discret, vous comprenez à quel point les drogues actuelles ne laissent plus aucune chance aux consommateurs.
Car là est finalement le fond du problème. On a désormais des drogues de synthèse d’une puissance et d’une addiction telles qu’il est quasi-impossible d’en sortir. Une fois le doigt dans l’engrenage, c’est fini : vous ne récupérerez pas ces « zombis » paralysés debouts, recroquevillés sur eux-mêmes, dans un tableau de fin du monde ou de damnation éternelle.
Alors certes : ce n’était « que » de la beuh côté élysée ce coup-ci pour ce majordome. Mais les affaires se multipliant, on imagine bien que de plus en plus de députés et sénateurs se droguent alors que ce milieu est très loin d’être « défavorisé »…
Il est intolérable que ceux qui pètent dans la soie avec l’argent public n’aient pas à minima la décence de se tenir à carreau et d’être irréprochable à ce niveau, ne serait-ce que pour l’exemple.
Quel que soit son bord politique supposé, un élu même par la triche, devrait être foutu dehors à la moindre consommation de drogue, et sans indemnités ou avantages.
On nous a emmerdé sur des tests de dépistage COVID pendant des mois.
Où sont les tests quotidiens de dépistage de drogue à l’élysée, matignon, au sénat et au CC ?
Qu’on fasse déjà le ménage minimal, qu’on foute dehors les adeptes de « farine », et qu’on arrête de leur trouver de fausses excuses : ils savent parfaitement ce qu’ils font !
Là encore, un Frexit permettra sûrement de remettre de l’ordre dans un milieu politique dépravé et disons-le : de plus en plus dégénéré et à l’ouest des réalités.