Vox populi

1er mai 2018 : en politique comme ailleurs, on ne peut gagner tout le temps, mais on ne peut pas perdre tout le temps non plus. Et ce jour est clairement une victoire pour l’UPR, qui a réussi un splendide tour de force.

Car le moins que l’on puisse dire, c’est que pour sa première participation aux manifestations du 1er mai, l’UPR a frappé particulièrement fort !

D’abord en nombre – il suffit de regarder la vidéo du cortège de l’UPR, avec plus de 3450 manifestants, qui ont couvert le pavé sur des centaines de mètres de rue, soit quand même plus de 10% (!) du total des manifestants parisiens ce jour, ce qui, pour un parti censuré par les fascistes du CSA et leurs maîtres de l’élysée et de matignon depuis 11 ans, est tout simplement remarquable !

Qui plus est, la manifestation de l’UPR s’est déroulée sans heurts ni casses, sous une météo agréable, dans une excellente ambiance générale ! Bref, que du bonheur !

Quant à ceux qui découvriraient l’UPR, et qui se demanderaient pourquoi notre cortège n’a pas défilé avec les syndicats, rappelons que les syndicats français, et européens, sont tous payés par l’UE, via la Confédération Européenne des Syndicats, pour entretenir la colère populaire contre les dirigeants des pays respectifs, en oubliant de préciser que les lois travail, les délocalisations, ou la mort des acquis sociaux, sont toutes issues du même moule bruxellois

Saluons en passant nos amis syndicalistes « réalistes », adhérents UPR, qui s’emploient à faire éclater la vérité, face à leurs dirigeants syndicaux qui manipulent leurs bases respectives, exactement comme les médias du CSA manipulent et formatent l’opinion publique, en faisant croire que le Frexit serait un replis sur soi, empreint d’abominable extrémisme latent ou  de regret du monde passé.

Que nenni : c’est l’UE qui est une dictature des peuples, menée par 16 commissaires européens non élus, qui dictent leurs GOPÉ derrière leurs bureaux, et jouent les shérifs à coup de prunes quand un pays met trop de temps à s’aligner sur la volonté de l’empire banquier européiste  tout puissant et son modèle ultra-libéral.

Quant au petit con d’ex-extrême droite, récupéré et médiatisé par l’oligarchie pour singer le discours de l’UPR, et lui donner un accent extrémiste qu’il n’a pas (et qu’il n’aura jamais, l’UPR étant classé « Divers » par le Ministère de l’Intérieur lui-même), personne n’a vu ses manifestants aujourd’hui – pas la peine de demander pourquoi !

En attendant, le compteur UPR vient de dépasser les 31100 adhérents, et continue d’augmenter jour après jour !

Et comme d’habitude, les journaux de ce soir font l’impasse totale sur notre manifestation, en manipulant les drogués à coup d’articles sur les casseurs de l’autre défilé, sûrement  payés par Soros & Cie pour foutre la merde, agrémentés de quelques politicards véreux habituels pour s’en offusquer. On aurait du faire une minute de silence, à la mémoire de la presse française autrefois libre et indépendante, que les européistes ont littéralement assassiné en 10 ans seulement. Car ainsi va la manipulation des foules dans ce pays : tant que les niais continueront d’écouter leur télé, leur radio, ou liront le torchon d’un crétin à écharpe rouge, ils ne seront toujours que les esclaves dociles et corvéables d’un système qui les baise depuis plus d’un quart de siècle maintenant.

Petit détail qui fera sourire : le squatteur de l’élysée n’a pas eu le courage de rester en France ce jour, et d’affronter la vindicte populaire. Il s’est donc réfugié en Australie, soit quand même de l’autre côté de la planète.

Ça n’a l’air de rien comme détail, mais ça souligne quand même bien tout le courage du banquier.

 

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