Le seul parti d’opposition

2 octobre 2017 : depuis la fin du premier tour, le blacklistage médiatique de l’UPR et de son président M. François Asselineau a donc repris de plus belle, ce qui prouve bien que l’UPR est finalement le seul et unique parti d’opposition réel face aux traîtres et aux collabos en place, lesquels ont réussi à diviser les français en tranches de 20%, pour faire passer leur marionnette minable, dont l’incompétence, le ridicule et le narcissisme maladif soulève l’indignation et la critique ouverte, non seulement en France, mais dans tous les pays où il a l’outrecuidance de poser son séant.

C’est un fait : le système a peur de l’UPR, et ce n’est pas pour rien qu’il s’emploie à se fabriquer un opposant sur-mesure, via le tartuffe Mélenchon actuellement médiatisé comme jamais. Une blague pour qui a lu mon article précédent sur le personnage – et même sans l’avoir lu, la seule présence de M. Mélenchon au club des 5 de TF1, durant la présidentielle, suffit à prouver sa complicité et duplicité évidentes avec la dictature en place.

Les seuls « insoumis » réels en France, ce sont bien les militants UPR, qui se battent jour après jour pour faire comprendre à leurs proches qu’on ne pourra absolument rien faire tant que le contrôle du pays restera dans les mains de Bruxelles, Washington et Francfort.

Vous voulez du social ? Vous n’obtiendrez jamais rien avec Mélenchon, parce que ce type travaille pour l’Europe, contre nos intérêts.

Vous voulez lutter contre l’immigration ? Vous n’obtiendrez jamais rien avec le FN, parce que la smala Le Pen travaille pour l’Europe, contre nos intérêts.

Tant que les insoumis et les frontistes n’auront pas compris l’illusion même de leur partis respectifs, Attali et sa clique continueront tranquillement de les mener en bateau, comme ils le font avec succès depuis 20 ans.

C’est cela la triste vérité.

On ne parle même pas de ceux qui ont osé voté pour le parti du présidu actuel – ceux là ne méritent que le plus profond mépris. Le terme de collaborationniste me paraît bien trop doux pour ces gens qui ont choisi de trahir ouvertement l’état nation France. Il fut un temps d’ailleurs pas si éloigné que cela, où ces gens auraient été passés par les armes pour haute trahison.

Mais je m’interroge.

Une fois que toute l’industrie française aura été bradée aux américains, aux chinois et aux allemands, que le pays ne sera plus qu’un zoo vide, sans emploi, sans sécu, sans protection des travailleurs, que les industries seront mortes, et que tous les problèmes sociaux exploseront, que restera t’il à nos enfants ?

Entendons-nous bien : ce n’est pas un crime d’être riche si on a bien gagné sa vie, et qu’on a travaillé pour le devenir. C’est même un destin à encourager.

En revanche, cela devient un crime quand on passe son temps à voler autrui, en vendant des biens qui ne vous appartiennent pas.

Or nous sommes bien dans ce cas depuis l’ère Sarkozy, qui a bradé 20% de notre or alors qu’il n’était même pas encore président, ou avec M. Macron qui continue dignement son travail de sape, en bradant une seconde tranche d’Alsthom à Siemens, avec les chantiers naval STX en prime côté italien.

Je n’arrive d’ailleurs plus à comprendre ces gens de droite, souvent encartés depuis des années, qui se plaignent constamment de subir, à juste titre, l’assassinat de l’industrie française par leurs élites, avec des normes et des changements à outrance de direction à 180°.

Avec la fin de toutes les professions réglementées, exigée par Bruxelles pour nous ramener au niveau de salaire polonais, croient-ils sérieusement que leur petit réseau chétif les sauvera miraculeusement du déluge, ou que leur ténor leur tendra la main à la première grosse vague venue ? Il les enverra tous balader, et se tirera avec leur fric en sus !

Sérieusement : encore combien de « macronismes » débiles faudra t’il, pour qu’ils comprennent enfin que l’article 50, qui permet le « Frexit », est la seule et unique porte de sortie possible pour sauver notre pays de la merde européiste dans laquelle Maastricht l’a enfoncé ?

 

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