Comme dit dans les pages précédentes, l’informatique est aujourd’hui le pilier de nos économies. Et si nos machines et réseaux ont largement gagné en rapidité et mobilité, notre droit à la vie privée et notre souveraineté en revanche, ont été complètement bradés aux dirigeants américains, lesquels se servent également de l’outil informatique contre leurs propres citoyens !
Car derrière l’informatique bon enfant de l’internet ou des logiciels « libres », se cache une véritable arme de destruction massive, à la fois politique, économique et stratégique.
Et cette dangereuse dérive ne date pas d’hier, comme le verrons plus loin.
En apéritif, une petit vidéo de Cash Investigation d’octobre 2016, nommée « Comment Microsoft a conquis le réseau informatique du ministère de la Défense », et qui souligne parfaitement l’utilisation du Cheval de Troie de l’OTAN pour nous forcer la main et détruire notre souveraineté :
Suivie d’une autre vidéo qui dénonce, entre autres, la décision hallucinante de la Cour de Justice de l’Union Européenne en 2016, laquelle a sanctuarisé le principe de la vente liée des systèmes d’exploitation ! En résumé : pour la CJUE, il est absolument normal que les multinationales américaines nous imposent leurs logiciels à l’achat d’un ordinateur, et ce au moment où nombre de consommateurs dénoncent les abus répétés de ces firmes, et s’orientent massivement vers des solutions alternatives. On ne pourra s’empêcher de noter le parallèle évident entre l’omerta pratiquée sur ces logiciels « libres », côte magasin, et l’omerta sur l’UPR par les grands média, car dans les deux cas, il s’agit bien de cacher à tout prix ces solutions que le peuple doit ignorer !
Bien entendu, tout ce qui suit n’engage que moi et en aucun cas l’UPR et son programme.
Ce blog est un peu une « politesse » que je voulais rendre à M. Asselineau, lequel m’a beaucoup appris déjà sur l’histoire de France, des monnaies, de la géopolitique, etc.
Comme tous les hommes et femmes politiques, M. Asselineau n’est pas un spécialiste de l’informatique ou du numérique, et j’espère donc que ce blog contribuera à faire découvrir aux adhérents UPR, mais aussi aux internautes curieux, la face cachée de l’Europe du point de vue numérique !
Bonne lecture !