17 septembre 2023 : encore un énième article dénonçant la crise des vocations, cette fois sur l’armée.
On connaissait déjà les effets désastreux de la gestion de la crise COVID, qui a exclu et découragé nombre de soignants dans un hôpital qui était déjà en flux tendu avant la crise. On ne parle même pas de ceux traités d’antivax qui ont été littéralement traînés dans la boue par le poudré et ses sbires, sans aucune compensation financière pendant des mois. Pas la peine de s’imaginer que ces gens retourneront dans un hôpital sous ce régime euronazi qui ne dit pas son nom.
On ne parle pas de la crise des enseignants en cette rentrée 2023, avec nombre de profs titularisés qui ont déjà jeté l’éponge ou envisagent de le faire, quand ils ne sont pas sous médication pour tenter de supporter une hiérarchie lâche et infâme, doublée d’un manque chronique de soutien parental, de moyens techniques et de reconnaissance pécuniaire et sociale.
On pourrait encore parler des flics, lâchés eux aussi par la racaille à cols blancs qui parachute ses délinquants, ordonnant aux subalternes de jeter de la lachrymo sur une foule défilant pacifiquement, laquelle exerçait juste son droit légitime à manifester, face à la politique de crevards qui consiste à laisser le peuple français crever dans la rue, en envoyant des milliards à l’Ukraine pour nourrir quotidiennement les ukronazis de Washington !
Chaque jour des fonctionnaires se suicident dans le silence, épuisés jusqu’à l’os, dans un burn out entretenu. Et ce n’est pas pour rien qu’ils s’emploient à fermer les guichets ou les caisses de supermarché, remplacées par des machines : il faut déshumaniser toute relation humaine, faire en sorte que les gens ne se parlent plus, ne se regardent plus, s’en foutent les uns des autres. Parce qu’un peuple brisé et séparé ne peut plus s’organiser et se liguer contre un pouvoir totalitaire.
En outre, nos euronazis sont avant tout des gestionnaires serviles. Des robots qui obéissent à Washington, Berlin et Bruxelles, et qui n’en ont rien à foutre des êtres humains. Notre vie ne vaut rien pour eux. Dans leur tête pourrie, nous devons travailler pour eux, jusqu’à en crever, pour les enrichir encore un peu plus, toujours un peu plus – parce qu’ils n’en n’ont jamais assez !
Même les avocats n’arrivent plus à cacher la corruption d’un garde des sceaux mis en examen, et pestent devant leur impuissance, face à des euronazis toujours plus nombreux et organisés, ayant pris le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif, et le pouvoir judiciaire.
C’est toute la France et même l’Europe qui n’en peut plus de se faire trahir, battre, gazer, nasser, mutiler, museler, surveiller et finalement tuer.
Parce que leur plan est là : il ne s’agit pas juste de reculer la retraite de 2 ans tous les 5 ans pour faire passer la pilule, et faire croire aux imbéciles qu’un jour on leur donnera un petit pécule pour vieillir et mourir décemment en paix. Non : il s’agit bel et bien de supprimer toute retraite ! De faire en sorte qu’une fois que vous ne produisez plus, vous creviez le plus vite possible, avant de vivre aux crochets de la société.
Nous en revenons au fonctionnement tribal encore en cours en Amazonie, où le vieux qui ne veut pas mourir est traité comme un paria par le reste de la tribu, parce qu’il ne rapporte pas de nourriture au clan, et qu’il n’est plus capable de faire des travaux annexes. Il doit donc mourir. Et le plus rapidement possible. C’est ça, le 21è siècle à la sauce UE !
Il ne faut pas non plus que les gens puissent se soigner et avoir rapidement des professionnels de santé sous la main. Il faut que ceux qui pourraient être soignés et sauvés crèvent le plus vite possible face à la maladie, et ce dès qu’ils ne produisent plus ! Vous avez un cancer ? Pas grave : vous aurez un rendez-vous dans 6 mois ou 1 an – si la tumeur ne vous a pas déjà tué jusque là !
En fait, nous sommes en train de vivre un véritable génocide, un crime contre l’humanité, qui va renvoyer les 5 millions de morts de la Shoah à des « détails de l’histoire », comme disait un certain jean-marie.
Ils sont littéralement en train de nous tuer. Ce n’est plus le pays qui est juste visé dans le but évident d’être démantelé, mais ils s’en prennent désormais ouvertement aux habitants.
Et là, devant ce qu’il faut bien appeler une tentative de meurtre préméditée en bande organisée, le droit de légitime défense doit nous réveiller et nous faire réagir, parce que eux n’hésiteront pas à envoyer leur milice nous tuer en toute impunité.
Ce n’est pas pour rien qu’ils recrutent des ripoux avec un examen pour du beurre, avant de leur offrir des camions avec mitrailleuse réelle sur le toit, destinée « au maintien de l’ordre »…
C’est tous les métiers dans le public qui affichent désormais un non sens absolu. Avec un but à peine voiler : faire en sorte de rendre les gens malades, avant de les pousser au suicide assisté !
C’est oublié que ceux qui ont un cerveau – et ils sont de plus en plus nombreux – iront régler leurs comptes avec ces quidams avant de se donner la mort. Parce que de tout temps dans l’histoire, il y a des gens biens, des « justes », qui ont eu les couilles de faire le ménage pour les suivants, en s’offrant en sacrifice ultime.
Nos cimetières militaires sont pleins de ces héros anonymes d’un jour, qui ont donné leur vie pour défendre leur patrie, la liberté et cette démocratie aujourd’hui trahie, bafouée et piétinée par ceux qui en avaient la charge.
Il faut maintenant que cette UE corrompue jusqu’à l’os crève. Et que ceux qui nous ont mené à ce désastre payent leur forfaiture avec les intérêts qui seront, il faut bien le dire, particulièrement salés pour certains ! On entend de plus en plus de gens réclamer le retour de la peine de mort pour les politiques et les journalistes. Ça annonce la couleur future…
Comprenez que les quelques sifflets contre le locataire de l’élysée avant un récent match de foot n’ont calmé personne. Les français ne sont plus dupes. Beaucoup commencent à comprendre, malgré l’omerta médiatique infâme sur l’UPR ou d’autres opposants de bonne foi à ce régime eurofasciste, qu’on se fout de leur gueule depuis bien trop longtemps.
Ils parlent. Les langues se délient. Ils échangent entre eux malgré toutes les tentatives de les faire taire et de les contrôler. Et le pouvoir a bien raison de trembler, parce qu’il n’y aura ni pardon, ni pitié !
On sent une furieuse envie du peuple d’en découdre de plus en plus avec cette classe politique qui n’a cessé de faire n’importe quoi avec notre argent. J’ai toujours dit que les gilets jaunes, c’étaient les gentils désarmés, les niais qui croient encore aux manifestations pacifiques, et qu’on pouvait tuer en toute impunité, en couvrant les benallah et Cie.
Mais ceux qui arrivent, eux, auront des armes à feu, et ils ne feront pas de gentille manifestation avec trajet déposé en préfecture, aval de cette dernière, et service d’ordre obligatoire : ils tireront dans le tas, à l’aveugle, dans l’espoir d’éliminer un maximum de politiques dans leurs rafales automatiques, famille comprise, comme on l’a déjà vu !
L’appauvrissement généralisé de la population va logiquement conduire les désespérés à partir « bien accompagnés », en faisant ressortir les armes en surface. Et tant pis pour ceux qui tenteront de s’interposer.
Bien entendu : nos journalauds et journalopes pro-UE planqueront les règlements de compte sous le tapis, comme ils le font déjà. Mais tout le problème de la vérité, c’est qu’elle dure… Et tôt ou tard, elle resurgira, parce qu’on ne peut pas museler un peuple qui parle et échange…
C’est même l’absurdité de leur raisonnement. Plus ils serreront la vis, et plus les gens communiqueront et se soutiendront entre eux. L’issue est donc déjà écrite. Mais c’est le propre des dictateurs de ne jamais voir quand le vent tourne.
Tôt ou tard, nos eurotraîtres redécouvriront à leurs dépens qu’il n’y a toujours qu’un seul souverain légitime : le peuple français ! Et il aura bien des cris et des grincements de dents.