La sortie de l’UE (ou « Frexit »)

Le pouvoir n’est plus dans les mains de nos dirigeants : il est dans les mains de Bruxelles, de Francfort et de Washington.

Mais avant de passer au vif du sujet, je vous conseille d’abord la vidéo de l’UPR « Qui gouverne la France et l’Europe » du 27 avril 2012 :

à laquelle il faut rajouter la conférence « Les origines cachées de la construction européenne » de 2014 :

1 / Mon triste (mais nécessaire) bilan :

L’europe de Maastricht (1992) nous a trahi. Les promesses de retour au plein emploi, d’une europe forte et sociale, capable d’imposer sa vision économique, sociale et politique aux autres blocs, sont mortes et enterrées depuis longtemps.

Le référendum de 2005, où 55% de français ont dit NON à une europe fédérale, n’a pas non plus empêché un ex-président de droite d’aller signer le traité de Lisbonne en 2007, le sourire aux lèvres devant les photographes, histoire de bien nous narguer. Un doigt d’honneur aurait été plus simple et plus explicite, surtout avec un 48-6 qui a supprimé la nécessité des référendums populaires, et court-circuité majestueusement le parlement européen. Le parallèle avec notre 49-3 nord-coréen est tellement évident qu’on devine immédiatement la nationalité des auteurs de ce torchon.

Fort heureusement, le « Brexit » de 2016 a démontré aux français ce que M. Asselineau clame haut et fort depuis 12 ans : nous pouvons quitter l’europe via l’article 50 du TUE (Traité de l’Union Européenne), et l’europe n’est donc pas une fatalité à subir « ad vitam eternam ».

Ce « Brexit » est d’autant plus cocasse qu’après avoir emmerdé les autres pays pendant des années, en exigeant par exemple une contribution financière nulle (« i want my money back » dixit feu Margaret Thatcher, surnommée « la Dame de Fer »), les anglais abandonnent finalement le titanic europe en premier. Difficile de les blâmer vu le naufrage annoncé…

On remarquera aussi que tous ceux et celles qui annonçaient « la fin du monde » en cas de « Brexit » ont depuis fermé leur grande gueule. Et pour cause : après une dépréciation attendue de 10 à 15% de la livre, les investisseurs se ruent désormais chez nos amis anglais, et le FMI de remonter sa prévision de croissance de 0,5% !

Autre fait étrange : tous les pays européens hors UE se portent économiquement mieux que nous, à commencer par la Suisse. Même constat pour les pays de l’UE qui n’ont pas adopté l’euro.

Pendant ce temps, nous perdons désormais chaque année 9,5 milliards d’€ minimum entre ce que nous versons à l’UE, et ce qui nous en revient. À ce coût direct s’ajoutent bien entendu tous les coûts indirects, à commencer par l’évasion fiscale, estimée à 100 milliards d’€ de pertes annuelles pour notre seul pays !

En 27 ans, ce sont ainsi des centaines de milliards d’€ cumulés que nous avons perdu, à construire une prison des peuples, au bénéfice des banksters de Bruxelles et des milliardaires.

Pendant qu’en octobre 2017, notre parlement augmentait encore notre contribution nette au budget de l’UE d’1,5 milliards d’euros, Paris « lâchait » financièrement nos régions, avec les résultats désastreux que certains maires commencent enfin à mesurer. On ne pourra pas dire que M. Asselineau ne les avaient pas prévenus lors de son allocution devant l’AMF (Association des Maires de France) en 2017, pendant la campagne présidentielle.

Mieux encore : notre pays est celui qui laisse le plus de plumes dans la construction européenne, l’Allemagne ayant réussi à se faire rembourser une bonne partie de ses versements, comme le « Royaume désuni ».

Et même s’il est exact que nos voisins d’outre-Rhin restent les premiers contributeurs nets au budget de l’UE, il faut bien comprendre que les allemands sont les premiers bénéficiaires d’un euro fort qui avantage leur économie depuis des années, tout en détruisant petit à petit la notre. Comprenez que les allemands ont un intérêt dans le construction européenne, là les français n’en n’ont aucun. En fait, nous sommes les parfaits « idiots utiles » de l’UE, comme nous le rappellent souvent les polonais, en allant acheter américain ou chinois avec l’argent de nos impôts !

Comprenez également qu’à chaque fois que vous voyez une propagande européiste dans la rue, du type « Ici l’Europe fait ou construit quelque chose », ce n’est pas l’UE qui construit ou qui fait, mais bel et bien NOS impôts ! L’UE ne produit rien : elle ne fait que consommer l’argent qu’on lui verse, en ponctionnant une bonne partie pour couvrir ses retraites, ses avantages et les salaires indécents d’une bande de voyous en col blanc !

Sur plus de 25 ans, le bilan est sans appel : l’UE n’a servi qu’à fragiliser et détruire nos acquis sociaux, à abaisser notre niveau de vie, à nous aligner sur un fonctionnement américain libéraliste à tout va (du moins en façade), dont on rappellera que derrière la façade brillante de Dallas (ou Sallad), ou de ces fantastiques héros de Marvell sensés nous servir de modèles et d’inspiration, se cache en fait le pire système militaro-industriel de la planète, avec l’un des pires systèmes de santé au monde ! Est-ce bien cela que nous voulons pour nos enfants ?

2 / Comment en sommes-nous arrivés là ?

Les réponses sont dans les vidéos de M. Asselineau sur la construction européenne, et elles sont tout simplement stupéfiantes.

D’abord il faut savoir que l’europe est un projet débuté par les nazis.

En effet, Hitler voulait « unir » les peuples européens sous une même bannière, et ce ne sont pas les documents de propagande de l’époque qui manquent pour le prouver. Nommé responsable de la construction européenne par le Führer, le nazi Wallter Hallstein va ainsi s’employer à faire rentrer cette idéologie du troisième Reich dans la tête des vaincus.

Fait prisonnier en fin de guerre, Wallter Hallstein va bénéficier d’un traitement de faveur sans précédent. D’abord envoyé dans les camps de prisonniers américains, il en revient quelques années plus tard, et se retrouve projeté, en un temps record, en principal responsable de l’office des Affaire Etrangères allemand.

En quelques années donc, voilà comment un nazi de la première heure a été « reconverti » par Washington en démocrate bien sous tous rapports. Mais là où cela devient intenable, c’est de savoir que ce même Wallter Hallstein a ensuite été le premier président de la Commission de la Communauté Économique Européenne !

Oui, vous avez bien lu : l’UE a été dirigée dès son origine par un nazi !

Je me permets ici une petite parenthèse sur le sujet. Il y a actuellement de forts débats sur la question de savoir si Hallstein était un nazi convaincu ou juste un collabo zélé. Personnellement, je pense que tout le monde s’en tape royalement. Le fait est que s’il avait été un résistant dans l’âme, jamais il n’aurait occupé le poste qu’il a occupé sous Hitler. Donc qu’il fût ou non racialiste, au courant ou non de la « solution finale », ne change rien à l’affaire : ce type a bien adhéré au parti nazi, et est donc à qualifier comme tel – fin de la parenthèse.

En parallèle, on apprend également, dans les vidéos de M. Asselineau, que Robert Schuman et Jean Monnet, qu’on nous présente depuis des dizaines d’années comme les pères fondateurs « intouchables » de la construction européenne, étaient en fait des salariés « fantômes » de la CIA, comme le prouvent les archives déclassifiées de l’organisme américain.

A noter sur ce point que pendant la campagne présidentielle, M. Asselineau a présenté sur un plateau télé l’article du magazine Historia qui faisait précisément référence à ces faits, et aussitôt, ce magazine, tombé dans les mains d’un tiers proche d’un autre candidat à la présidentielle, a censuré son propre article (!), et l’a retiré de son site internet ! Ce genre d’anecdote est bien la marque avérée d’une dictature européiste, prête à réécrire l’histoire pour imposer sa vérité. CQFD.

Bien entendu, les américains présentèrent la construction européenne comme destinée à « forcer » la paix en europe, puisque les états-nations européens étaient incapables d’éviter les guerres entre eux. Mais de Gaulle avait compris depuis longtemps le double-jeu des américains, qui recherchaient surtout le contrôle absolu du continent, en bénéficiant de l’effet de souffle du vainqueur.

Ce contrôle absolu sur l’europe occidentale n’a depuis lors jamais cessé, jusqu’à nos dirigeants actuels, tous adoubés par la French-American Foundation France – comprenez une structure de Washington pour « former » (aux deux sens du terme) les futurs administrateurs américains sur le sol français. Ainsi, tous nos pantins de gauche comme de droite (extrêmes compris) sont, ou ont été « adoubés » par cette même fondation !

Non contentes de vendre le peuple français à une puissance étrangère depuis des années, ces mêmes élites ont fait retirer le crime de haute trahison en 2007 de notre constitution pour s’auto-protéger de leurs méfaits, en se mettant tous les grands média français dans la poche – ce qui explique la « doxa » (pensée unique) que l’on constate dans tous les grands médias du système depuis des années, et bien entendu l’omerta médiatique totale sur l’UPR et son président M. Asselineau depuis plus de 10 ans !

En fait, l’UE ne sert qu’à imposer aux européens des lois d’Outre-Atlantique, en particulier via des traités négociés dans notre dos, le CETA actuel avec le Canada, n’étant que la prémisse du TAFTA plus large à venir. On rappellera que le CETA permet désormais aux multinationales d’attaquer nos états, et que le tribunal de 15 juges sensé régler les litiges se composera de 5 européens, 5 canadiens et 5 juges de pays tiers dont on se doute déjà de la nationalité !

L’empressement inhabituel de la gauche, en octobre 2016, visant à faire passer en catimini le CETA avant la fin du mandat quinquennal de M. Hollande n’est pas le fruit du hasard : il ne fallait surtout pas faire attendre les petits copains !

Le projet de soumission de l’europe occidentale par les américains est également visible dans la dernière campagne présidentielle américaine.

Dans une fuite d’emails du directeur de campagne de Mme Clinton via Wikileaks, on apprenait ainsi que Ms Bill Gates et Tim Cook, étaient pressentis comme possibles vice-présidents en cas de victoire. En clair : les grands industriels de l’informatique, dont M. Edward Snowden a démontré les liens évidents avec la CIA, sont en passe de prendre le contrôle absolu sur les politiques. Quand à ceux qui douteraient de cette affirmation, je leur conseille d’aller consulter la liste des milliardaires les plus riches de la planète : vous y trouverez bon nombre de dirigeants informatiques bien connus !

On appréciera également le fait que l’UE n’ait pas donné asile à ce même M. Snowden, malgré sa contribution évidente à nos libertés et à notre souveraineté. De même avec M. Julian Assange, prisonnier politique de 2012 à 2018 dans l’ambassade de l’Équateur à Londres, puis excommunié du lieu par le nouveau président équatorien proche de Washington, et actuellement prisonner des anglais, tout cela pour avoir osé exposer les petits secrets inavouables de nos diplomates ! Rappelons qu’Assange n’a même pas eu droit à un sauf-conduit pour se faire examiner temporairement dans un hôpital – qui peut dès lors encore parler d’humanité, face à une véritable meute de chiens enragés ? Comme l’UPR, les lanceurs d’alerte sont pourchassés pour un crime de lèse-majesté : oser simplement dire la vérité aux gens, et dénoncer les dérives de ce qu’il faut bien nommer une dictature.

En fait, les américains ne pouvant imposer directement leur volonté par la force dans l’après-guerre, ils ont créé l’UE pour faire le sale boulot à leur place ! Ainsi, les VIP français qui collaborent avec l’ennemi (je parle bien des dirigeants américains, et non du peuple américain qui subit autant la médiocrité et la corruption de ses élites que nous) s’auto-protègent dans l’affaire, puisque ce n’est pas leur faute s’ils doivent nous imposer des lois débiles : c’est la faute de l’UE… Admirez la pirouette !

Maintenant avec un peu de recul, on se rend bien compte que quel que soit le système politique en place, c’est toujours la corruption des élites qui finit par le ronger et le détruire. Nous sommes aujourd’hui en plein dans ce cas de figure. Et l’omerta médiatique sur l’UPR de le démontrer clairement.

Tout système politique tend naturellement vers la dictature à partir du moment où ses dirigeants n’ont plus de compte à rendre, ce qui est le cas depuis longtemps en France et dans nombre d’autres pays européens.

Entre M. José Manuel Baroso, ancien président de la C.E., qui a rejoint Goldman Sachs en 2016, ou Mme Nelly Kroes, ancien commissaire à la concurrence, dont on a soudain déterré les petits secrets fiscaux juste après la fin de son mandat, sans compter les autres reportages et articles visant explicitement des commissaires en fonction, dont le manque total de déontologie donne envie de vomir ses tripes, la sortie de l’UE permettra sans nul doute de faire beaucoup d’économies, en arrêtant de payer les salaires honteux, les retraites et les parapluies dorés d’une belle brochette de fonctionnaires corrompus jusqu’à l’os !

3 / Une autre UE est-elle possible ? Pouvons-nous sauver le navire ?

La réponse est clairement non, et ce pour une raison bassement structurelle : pour bouger les lignes des traités européens, il faut l’unanimité des états membres, impossible à obtenir dans un ménage à 28-1=27, et cela, tout le monde le sait parfaitement.

Donc déjà, quand quelqu’un vient vous proposer « une autre europe », vous savez que vous avez un escroc en face de vous !

Quant à ceux et celles qui vous promettent un référendum s’ils sont élus, il ne faut pas oublier que ces gens là font parti du système en place : le support médiatique dont ils font l’objet depuis des années, malgré des idées largement plus polémiques et moins honorables que celles de l’UPR pour certains, en est la preuve la plus fragrante. Ces gens n’iront jamais demain mordre la main de leur maître – c’est évident. Il suffit de regarder tous les mangeurs de soupe de parlement qui critiquent l’UE, mais se gardent bien se s’engager fermement et sans ambiguïté dans un Frexit salvateur.

Entre le FN/RN, médiatisé par Mitterand et Attali dans les années 80 pour perdre le second tour à coup sûr, et les plans foireux de FI qui ne peuvent mener qu’à des amendes salées de la CJUE, ou au pire à la guerre ouverte avec nos voisins, il faut bien comprendre que ces lieutenants sont payés par l’UE pour neutraliser 50% de l’électorat français dans des espoirs vains et stériles. Et 2017 d’avoir prouvé, une fois encore, que ce (sale) stratagème des européistes a parfaitement fonctionné !

On rappellera aussi que l’Union Populaire Républicaine n’est ni raciste, ni xénophobe, ni antisémite. L’UPR s’emploie à rassembler les français de toutes les origines et de toutes les confessions, et a été classée sous l’étiquette « Divers » par le Ministère de l’Intérieur.

Cette précision importante met donc un terme final à ceux et celles qui seraient tenter de classer l’UPR comme un parti extrémiste, ce qu’elle n’est pas – et ne sera jamais !

Le but de l’UPR est de rassembler des gens de tous horizons sous une même bannière, le temps de libérer notre pays du joug de l’UE, et de reprendre les rennes de notre destin commun. Ensuite, on pourra de nouveau se taper dessus entre tribus gauloises « traditionnelles » – extrêmistes compris. Mais sans Frexit préalable, on se raconte des histoires – il faut donc maintenant cesser de penser à son nombril, et viser au-dessus des clivages entretenus !

Sans sortie préalable de l’UE, la France se condamne elle-même à mort !

4 / Faut-il avoir peur de sortir de l’UE ?

C’est vrai que sortir de l’UE au départ peut faire peur à certains, pour un tas de raisons. On nous a vendu le/la marié(e) qui devait aboutir au couple idéal, et les divorces sont rarement des parties de plaisir, surtout que dans le cas présent, nous avons été particulièrement naïfs de faire confiance à une bande organisée de bonimenteurs et de criminels pour certains.

Mais en fait, il n’y a aucune raison logique d’avoir peur.

D’abord entre le traité de Maastricht de 1992 qui nous promettait la lune, et ce que nous avons réellement obtenu, il est impossible de nier que la construction européenne est un échec complet dans tous les domaines ! Jamais un projet politique n’aura foiré à ce point !

Et ce n’est pas juste que ça n’a pas marché sur plus d’un quart de siècle : c’est qu’il n’y a pas eu la moindre amélioration tout ce temps ! On constate même une accélération de la destruction programmée des états nations, avec par exemple la mise en place des grandes régions imposée par Bruxelles, ou l’assassinat pur et simple de 20000 communes françaises, qui a lieu en ce moment même, dans un silence médiatique assourdissant !

Pendant que nos grands média s’appliquent à enfumer les français avec des sujets stériles et secondaires, l’UE continue tranquillement de tuer l’âme même de notre pays, avec le complicité de tous les partis politiques traditionnels ! Comprenez donc ici qu’il ne s’agit plus seulement de sauver la France, mais bien de sauver la démocratie !

Après un état d’urgence qui a duré 2 ans, remplacé en 2017 par une loi anti-terroriste qui « normalise » les violations de nos droits et de nos libertés,  la loi Urvoas de 2015 a offert tout le temps de parole des élections aux grands partis, en tuant les fondements de la Vème République. N’ayons pas peur de le dire : l’élection présidentielle de 2017 a été truquée du début à la fin, avec la complicité évidente des grands médias, devenus la propriété de 9 milliardaires proches du pouvoir, et bien entendu : tous européistes…

D’autres part, le « Frexit » n’est pas la fin du monde, mais le début d’un nouveau. Avec le « Brexit », le Royaume Uni n’a pas disparu de la carte du monde, et la « city » n’a pas été balayée par une tornade financière, contrairement à l’apocalypse annoncée dans tous les grands « merdias ». C’est même exactement le contraire qui est en train de se produire : l’économie du R.U. n’a cessé de s’améliorer depuis le vote du Brexit, même si, soyons réalistes, la protection des salariés, mais aussi les salaires parfois indécents des travailleurs anglais, ne sont clairement pas des modèles à suivre pour nous.

Comprenez également que tous les médias et partis politiques aux ordres de l’oncle Sam ne chercheront toujours qu’une seule chose : vous faire peur, et vous manipuler. Je vous renvoie à la vidéo de M. Asselineau en ligne sur le cas suédois, où l’on a atteint des sommets dans la propagande européiste, allant même jusqu’à récupérer l’assassinat d’une militante pro-UE, quelques jours avant le scrutin, pour essayer d’infléchir les opposants. Non seulement les suédois ont su résister, en envoyant un bras d’honneur aux européistes, mais depuis lors, comme tous les autres pays hors C.E., ils affichent un taux de croissance bien supérieur au notre !

Le « Frexit » n’est en rien un replis sur soi ou une nostalgie mal placée. Il part d’un constat logique et argumenté. Le but n’est pas de s’isoler de monde, bien au contraire : il s’agit de revenir simplement à un mode de fonctionnement normal – celui d’un grand pays « ouvert », négociant lui-même ses traités commerciaux, juridiques et stratégiques, comme nous le faisions très bien avant l’UE et l’euro !

Nous n’avons pas besoin des fascistes de Bruxelles ou du Bilderberg pour nous dicter notre conduite ! Et cela est d’autant plus vrai que ces gens ont considérablement miné l’image de la patrie des droits de l’homme aux yeux du monde, avec les va-t’en-guerre de l’Otan qui n’arrêtent plus de nous précipiter dans des guerres illégales ! Le monde entier pleure la France de jadis : voilà où nous en sommes à l’international !

Enfin ce n’est pas au peuple français d’avoir peur, mais à tous ces mafieux, élus ou non, qui n’ont cessé de trahir nos valeurs républicaines, notre souveraineté et notre indépendance ! Arrêtons d’inverser les rôles : ces collabos là auront des comptes à rendre – et j’espère personnellement que les intérêts seront salés !

Sortir de l’UE permettra aussi, comme on l’a vu plus haut, de récupérer beaucoup d’argent à terme, et nul doute, vu ses racines financières et son savoir-faire éprouvé en la matière, que M. Asselineau saura parfaitement l’utiliser en bon père de famille.

5 / Conclusion

En résumé : la construction européenne est l’ennemie même de la démocratie. Elle est fascisante, irréaliste, et travaille contre l’auto-détermination et le bonheur des peuples. Pas la peine d’attendre un miracle : le malade UE est en phase terminale, gangrené par les lobbies et la corruption des élites. Et le Brexit de prouver que les anglais l’ont juste compris avant nous !

M. Asselineau n’a peut-être pas toutes les réponses dans son sac, mais au moins, il en a, contrairement à ses opposants qui racontent n’importe quoi, changent de versions comme de chemises, et dont certains vont jusqu’à s’inventer un parti imaginaire (il est vrai que les catacombes de Paris recèlent d’un bon nombre d’électeurs potentiels dont il serait dommage de se priver), ou polluer les grands média de leurs primaires débiles, lamentables et vides de sens.

À l’inverse, le succès grandissant des nombreuses conférences, meetings, et autres interventions de M. Asselineau, de M. Brousseau (responsable des questions monétaires et du retour au franc) et de M. Charles-Henri Gallois (responsable en charge des questions économiques), disponibles sur la Toile, démontrent l’intérêt croissant de notre mouvement.

Avec l’UPR, les français sont heureux de retrouver un vrai mouvement politique, qui fait l’effort d’expliquer les choses aux gens, avec des analyses fines et complètes de la situation, et des arguments irréfutables, très loin de la propagande quotidienne et insupportable des petits « collabos » de Bruxelles.

On rappellera aussi que bien avant le « Brexit » de 2016, M. Asselineau était le seul à parler publiquement de l’article 50 du Traité de l’Union Européenne, qui est le seul moyen juridique de sortir de l’UE par la grande porte. Et là où son discours dissident passait pour fantaisiste en 2007, il faut bien avouer que les faits et les trahisons successives des partis traditionnels lui ont donné pleinement raison !

L’apparition récente de petits salopards venant récupérer le discours et les arguments de l’UPR à leur compte est une autre preuve évidente de la lucidité de notre parti et de la justesse de ses arguments.

Cela étant, nos « pigistes » se gardent bien de s’engager dans le Frexit, la sortie de l’€, et la sortie de l’OTAN, en bon vassaux de Washington qu’ils sont, tous passés par la French American Foundation pour lever la patte !

À l’inverse, l’UPR a inscrit ces trois objectifs principaux dans sa charte fondatrice. Adhérer à l’UPR, c’est donc adhérer à un programme sans ambiguïté, sans langue de « Blois » ni possibilité de retour de veste des instances dirigeantes, comme on l’observe régulièrement dans les vieux partis « traditionnels », ou les lieutenants sont payés pour noyer le poisson, dire tout et son contraire, et manger à tous les râteliers  ! De ce simple fait, l’UPR peut donc se targuer d’être le parti le plus honnête de France.

En outre, l’UPR affiche toujours 0€ d’emprunt et 0€ de dettes ! Pourquoi est-ce si important ? Parce qu’un parti qui est couvert de dettes et d’emprunts  appartient aux banques, et doit donc leur obéir ! Les partis traditionnels concernés ayant largement prouvé leur incapacité à gérer leur propre denier, il est indécent que ces gens soient encore autorisés à se présenter à une élection quelle qu’elle soit !

Saluons en passant nos nombreux et courageux bénévoles, qui ont permis à l’UPR d’arriver où elle est, et dont la hargne fait si peur à nos opposants – avec raison. L’UPR regroupe en fait beaucoup de gens de talents, avec de réelles expériences professionnelles, et plein de bonne volonté pour libérer la France du cancer qui la ronge.

Malgré l’omerta médiatique féroce et totalitaire du système mafieux qui tente de s’auto-protéger par tous les moyens, la progression insolente du nombre d’adhérents témoigne à elle seule qu’un nombre croissant de français et françaises qui ont compris que l’UE est une arme de destruction massive des peuples européens.

Pas encore convaincus ? Allez seulement voir les vidéos de l’UPR. Quelle que soit votre sensibilité politique, vous y apprendrez de toute façon un tas d’informations et d’anecdotes intéressantes !

Sinon n’oubliez pas de rejoindre l’UPR, et de militer partout où vous pouvez, notamment dans votre entourage.

Plus nous serons nombreux, plus vite l’omerta médiatique sur l’UPR finira pas voler en éclat, et les traîtres de passer pour ce qu’ils sont réellement : une bande de fascistes aux ordres de quelques milliardaires euro-atlantistes tirant les ficelles.

Chassons la racaille de nos palais, et reprenons les rênes de notre pays et de notre destin, en quittant au plus vite cette construction européenne bancale et croulante qu’on continue de nous imposer de force, et qui nous mène droit à notre perte !