L’Union Populaire Républicaine

Si vous n’avez jamais entendu parler de l’UPR  jusqu’à ce blog, c’est que vous êtes comme 99% des français : désinformés quotidiennement par les « merdias » du CSA, et leurs complices sur internet (pages wikipedia en tête) !

Rassurez-vous : nous étions exactement comme vous, il y a encore quelques années en arrière : déçus des politiques et de leurs promesses, écœurés des partis traditionnels, et voyant bien que la fabuleuse construction européenne qu’on nous avait vendu en 1992, via le Traité de Maastricht, produisait l’inverse de ce qu’elle était sensée faire : plus de chômage, plus d’inégalités, plus de destruction des acquis et services publics, etc.

On voyait bien le désastre. Mais personne, ni homme politique « traditionnel », ni grand média d’information, ne nous expliquait le pourquoi de ce dernier.

Nombre d’entre nous avaient ainsi choisi la voie de l’abstentionnisme en guise de protestation, et ne se gênaient pas de dénoncer le « un pour tous, tous pourris » de la classe politique, avec un clivage droite-gauche complètement dépassé.

Et puis un beau jour, nous avons découvert, au hasard de l’internet, un certain François Asselineau, nous expliquant via des conférences (très) longues, mais explicites, les mensonges honteux de la construction européenne, de l’euro et de l’OTAN.

Curieux d’en savoir plus sur le personnage, nous avons découvert que ce M. Asselineau avait fondé un parti politique en 2007, nommé UPR, parti classé « Divers » par le Ministère de l’Intérieur (comprenez : au-dessus du clivage traditionnel gauche-droite), dans le but de rassembler temporairement tous les français, de toutes les sensibilités, et de libérer enfin le pays du joug de l’UE, de l’euro et de l’OTAN !

Trouvant très étrange qu’aucun média ne nous ait informé sur l’existence de ce parti d’opposition, et ce alors qu’en 2005, 55% des français rejettaient la construction d’une UE fédérale par référendum (lequel sera trahit par Sarkozy en 2007 avec le Traité de Lisbonne – mais c’est une autre histoire), il devenait impérieux de se renseigner un peu plus sur l’UPR.

Première surprise – et non la moindre – la taille de ce parti. Il y a eu des polémiques en la matière en 2020, mais – et je ne pense pas être loin du bon chiffre – on peut l’estimer à  quelques 15000 adhérents à jour de cotisation début 2021, – et c’est la fourchette basse, car il faut ajouter à ce chiffre les nombreux sympathisants qui hésitent à s’encarter, ou les « anciens » qui n’ont par renouvellé leur adhésion, mais qui continuent de soutenir le Frexit. Quel que soit le chiffre réel, de toute façon, si l’UPR a réussi à présenter M. Asselineau à la présidentielle de 2017, et donc à obtenir le parrainage de 500 maires, c’est bien qu’elle représente une force politique non négligeable. Et ce n’est pas pour rien que le site officiel https://upr.fr est le plus visité de France, selon Alexa ranking.

L’UPR donc un parti de taille fort respectable, en pleine expansion, qui se développe essentiellement via les réseaux sociaux et l’internet.

Seconde surprise : le dynamisme impressionnant de ce parti, dont la dernière université d’automne (2019) a rassemblé quelques 1200 (!) adhérents et curieux, et qui a déjà participé à deux européennes et une présidentielle, sans compter l’annonce en 2020 de candidats dans une quarantaine de mairies !

Dans ces conditions, et vu la taille du parti, validée par la Commission Nationale des Comptes de Campagne et des Financements Politiques, l’UPR devrait logiquement avoir accès aux grands médias publics pour pouvoir présenter ses analyses et solutions aux français, et ce d’autant plus que l’UPR remplit toutes les conditions nécessaires pour, et s’est fendue d’une lettre ouverte au CSA en septembre 2016, réclamant la place médiatique qui devait légitimement être la sienne.

Deux mois plus tard, en novembre 2016, les réponses du CSA, et de M. Toubon, défenseur des droits, sont -enfin- tombées et ont été explicites : le CSA s’est mis définitivement hors la loi, en bafouant ouvertement les règles qu’il avait lui-même édicté ! Quant à M. Toubon, ayant botté en touche, il a bien prouvé sa parfaite – et désormais publique – inutilité.

Il est donc avéré, officiellement, que ce pays est sous le joug d’une oligarchie eurofasciste d’hommes d’affaires et de banques, prônant la construction européiste comme un dogme consacré, et tenant d’une main de fer tous les grands médias du pays, pour empêcher les opposants politiques réels, et les mouvements populaires de contestation, de s’exprimer démocratiquement, comme l’ont découvert plus tardivement nos amis gilets jaunes, victimes comme nous de la propagande d’état, et du « pensez printemps » !

Ainsi nous avons pu observer en 2017 le truquage complet de l’élection présidentielle, rendant pour ma part le résultat des urnes caduque et illégitime de fait !

Dès 2016 en effet, la loi Urvoas remplaçait l’égalité de temps de parole des condidats ayant obtenus leurs 500 parrainages, par une soit-disante « équité » qui n’a finalement laissé qu’un pauvre 1% de temps de parole au parti du Frexit ! 

Or la corrélation entre temps de parole et résultat électoraux est connue de tous les spécialistes politiques.

Priver ainsi l’opposition de son temps de parole légitime est bien un acte anti-démocratique et ouvertement fasciste, visant à cacher au grand public la montée des opposants à la construction européenne partout en Europe, et pas seulement au Royaume Uni !

Après la haute-trahison de cette loi Urvoas infâme et scélérate, rappelez-vous en 2017 ces « primaires spectacles » des vieux partis, dignes des pires bouffons vaudevilliens, dans le seul but d’occuper le terrain médiatique pendant des mois, en occultant tout débat politique réel et débat d’idées devant les français !

Une mascarade honteuse que ces charlatans ont heureusement payé en partie dans les urnes, et ce alors que l’oligarchie nous parachutait son « fils de Rothschild » comme le prochain sauveur providentiel du pays, à grand coup de premières de magazines et de méthode Coué, et ce dès 2015  !

Pas un mot alors, dans les médias complices, sur le formidable scandale Alstom, ou ce traître à la nation, alors qu’il était encore ministre, a vendu notre fleuron aux américains qui n’en demandaient pas tant, avec les brevets de la turbine Arabelle de nos centrales nucléaires, et des réacteurs nucléaires de nos sous-marins !

Face à la désinformation généralisée et au parti pris des médias, tout le monde aura également constaté, dans cette même campagne de 2017, le dénigrement systématique du candidat UPR sur les plateaux aux ordres du CSA, uniformément présenté comme « complotiste » et « conspirationniste » !

Dans ce simulacre d’élection de 2017, nous sommes ainsi rentrés officiellement dans l’ère de la triche, où la pluralité politique et le débat démocratique ont été replacés par le dogme de la construction européenne « à tout prix » ! 

Et comme l’a largement démontré le cas du Brexit au Royaume-Uni, dès qu’ils se sentent en danger, les charlatans européistes nous refont le coup des prophéties apocalyptiques à tout va, pour décourager les peuples de se libérer de leur joug !

Le contrôle absolu des médias n’a qu’un but : instiller la peur chez tous ceux qui s’opposent à « l’UESS » ! Et si jamais un peuple à l’audace de s’opposer aux 12 dictateurs non élus de Bruxelles, alors ces derniers font tout ce qu’ils peuvent pour faire revoter ces imbéciles qui n’ont rien compris à leur génie (sur)naturel !

La conclusion est sans appel : l’UE est bien devenue une dictature qui ne dit pas son nom !

Pire encore : pendant que l’UPR continue de subir l’omerta médiatique infâme et illégale du CSA, ses opposants politiques ne se gênent pas pour venir régulièrement piocher dans ses analyses et arguments, qu’ils reprennent à leur compte devant leurs partisans, mais avec toujours une différence fondamentale : car s’ils font semblant de partager les analyses et diagnostics développés par le parti du Frexit depuis 2007, tous ces braves gens se gardent bien de vouloir quitter l’UE qui les nourris !

Entre les plans A, B (et surtout Q) des jean-foutres ou plus personne ne comprend rien (pas même les partisans !), les girouettes qui changent de programme chaque jour avec la marée, les cas pathologiques qui appellent à une confrontation directe et conflictuelle avec nos voisins, dans le but de leur faire accepter ce que nous-mêmes nous refusons, ou encore la stratégie des lieutenants sauce RN qui vont chacun raconter une autre histoire devant les caméras, afin d’enfumer un maximum d’électeurs possibles, le fait est que beaucoup de français se laissent avoir par ces complices de l’UE, qui n’existent que pour neutraliser l’électorat, en menant leurs adhérents dans des impasses de fait !

Car quelles que soient leurs couleurs réelles ou supposées, le fait est que  tous ces braves gens utilisent la même fable d’une « autre europe » depuis 60 ans – mais jamais la même que celle du voisin ! 

Rien de cela à l’UPR, où les objectifs du mouvement sont écrits noir sur blanc dans la Charte Fondatrice ! 

Pas d’enfumage. Pas de retour en arrière possible. Pas de palabres inutiles. Avec l’UPR, l’objectif est clair et sans concession : d’abord on se rassemble et on sort de l’UE, de l’euro et de l’OTAN, et ensuite on pourra à nouveau se cogner entre bons gaulois de gauche ou de droite !

Mais tant qu’on reste dans l’UE, on se raconte des histoires ! Et ce quelles que soient les affinités politiques de chacun :

  • Vous voulez plus d’écologie ? Tant qu’on reste dans cette UE qui délocalise et produit à des dizaines de milliers de kms, on continuera de détruire ET la planète ET nos emplois de proximité. Parce que les traités européens nous imposent le productivisme forcé, et merde pour l’écologie.
  • Vous voulez lutter contre l’immigration ? Tant qu’on restera dans l’UE, la politique migratoire de la France sera dictée par Bruxelles, et l’on continuera d’accueillir plus de 500 000 travailleurs détachés (chiffre 2017 – on estime le chiffre à 1 million en 2019 !). Mais ça bien entendu, le RN se garde bien de vous l’expliquer…
  • Vous voulez plus de justice fiscale et sociale ? Tant qu’on restera dans l’UE, les traités nous interdiront tout contrôle des capitaux et protectionnisme, en favorisant encore l’évasion fiscale, et la vente du pays (terre comprise) à des étrangers – et toujours en sens unique !

Pire encore : non contente de détruire et de miner notre économie et notre industrie qui étaient encore correctes avant 1992, l’UE n’a cessé de nous spolier tous les biens que nos parents nous ont légués, et s’attaque désormais à privatiser nos retraites, nos moyens de production d’eau /  de gaz / d’électricité, et notre système de santé unique au monde !

La construction européenne, c’est la mort à coup sûr de tous les services publics et sociaux à la française !

Comme dans tous les autres dossiers visant à spolier les français, la loi actuelle sur les retraites est ainsi une exigence de Bruxelles, dictée par les Grandes Orientations de Politiques Économiques (GOPÉ) annuelles, textes qui valent pour Loi dans l’UE, et auxquels les états membres doivent se soumettre sous peine de sanctions économiques de la CJUE (Cour de Justice de l’Union Européenne).

En clair : les locataires successifs de l’élysée ne sont plus que des pantins sans pouvoir réel, des administrateurs de la province France qui ont juré allégeance à leurs amis banquiers européistes de Bruxelles et aux lobbies, contre la volonté souveraine du peuple français.

Il faudra bien que nos amis gilets jaunes le comprennent : il ne sert à rien de s’acharner sur l’élysée ou matignon qui ne sont que des sous-fifres ! C’est l’UE qu’il faut viser, et donc l’UPR qu’il faut soutenir, en arrêtant de croire que l’abstentionnisme est une solution, alors qu’elle ne fait que nourrir les européistes !

Ce ne sont là que quelques exemples concrets, tirés parmi bien d’autres. Mais vous aurez compris que la particularité de l’UPR est d’expliquer déjà aux gens comment l’UE, l’euro et l’OTAN ont mené la France au désastre que nous observons.

L’UPR est le seul parti qui propose le Frexit, via l’article 50, qui est la seule porte de sortie légale et respectueuse de nos partenaires et voisins – ce qu’ont bien compris nos voisins britanniques, avec, comme toujours, des années d’avance sur nous – pragmatisme anglais oblige.

Le Frexit n’est pas un programme en soi, mais le moyen indispensable pour pouvoir ensuite appliquer le véritable programme de l’UPR, présenté aux français en 2017, et couvrant tous les domaines !

Je vous recommande tout particulièrement les vidéos sur la construction européenne, qui m’ont convaincu qu’un « Frexit » est désormais inévitable. Mais vous trouverez bien entendu des informations sur de nombreux autres sujets et actualités, avec des analyses géopolitiques très fines, et surtout très dérangeantes pour les vieux partis.

francois-asselineau

Un mot enfin sur le président et fondateur de l’UPR : M. François Asselineau. Énarque 2ème de promo, diplômé HEC, il a travaillé au ministère de l’économie et des finances sous plusieurs gouvernements, accompagné plusieurs ministres dans leurs déplacements, a habité au Japon, et possède de toute évidence un très large bagage historique et culturel.

Mais ce qui distingue, à mon sens, le personnage, c’est son intégrité humaine et politique.

Il est par exemple le seul à demander que tous les candidats publient leur casier judiciaire, ce qui peut paraître anodin de prime abord, mais n’est pas si idiot que cela. Il y a un tas de professions en France que vous ne pouvez exercer sans un casier vierge, alors en quoi la fonction présidentielle devrait-elle s’abstenir de ce minimum de transparence ?

De par son expérience à Bercy, en tant qu’Inspecteur Général des Finances, M. Asselineau s’emploie également à gérer les finances de son parti d’une main de fer, et c’est tout en son honneur, considérant les dettes actuelles de nombreux partis politiques français, dont un qui n’a même pas été foutu de gérer ses propres comptes de campagne ! Plus que jamais, nous avons besoin de quelqu’un qui arrête de confondre argent public et trésor du Roi, et qui ait de réelles compétences financières, éprouvées et indiscutables.

Quant à ceux qui pestent contre l’ENA, et accusent ouvertement les hauts-fonctionnaires de la situation actuelle, ils se trompent de cible pour au moins trois raisons :

  • l’ENA forme de nombreux haut-fonctionnaires dans tous les domaines, dont très peu s’engagent en politique. Quant à ceux qui choisissent de servir l’état, ils doivent bien entendu obéir à leurs supérieurs. Comprenez qu’un haut-fonctionnaire ne décide pas au final des orientations politiques de ses patrons, même s’il peut parfois émettre un avis ou une opinion sur un dossier dont il a la charge.
  • de nombreux hommes et femmes politiques, actuels et anciens, ne sont jamais passé à l’ENA (dont le locataire actuel de l’élysée, avec le résultat qu’on connaît), ce qui n’a pas empêché ces gens de prendre de mauvaises décisions et de nous manipuler. En outre, tout le monde aura remarqué le niveau intellectuel lamentable offert par la basse-cour LREM. Quant à rêver d’une assemblée Constituante, arrêtons la plaisanterie : un pays ne peut pas être dirigé par des incompétents tirés au hasard – ce n’est tout simplement pas réaliste !
  • en refusant d’enclencher l’article 68 de la Constitution pour mettre fin au règne du fils de Rothschild,  nos députés et sénateurs ont librement choisi de protéger celui qui éborgne et gaze sa population. Et si on trouve bien des énarques dans le lot, il faut rester réaliste : en proportion, cela reste marginal, surtout côté députés !

Dans l’histoire du monde, les véritables traîtres et collabos n’ont jamais « d’étiquettes ». C’est toujours une mafia de gens crapuleux qui se cooptent entre eux. Le problème de notre époque, c’est que ces gens ont également réussi à neutraliser le 4ème pouvoir qu’était la presse, laquelle est devenue leur outil de propagande favori, digne du roman 1984 ! Viser les énarques est juste un argument démagogique, vendu par des naïfs ou des collabos du système pour protéger leurs patrons.

M. Asselineau l’avoue lui-même : il aurait très bien pu garder pour lui ses analyses avant-gardistes, ne pas fonder de parti politique, et gagner peinard un confortable salaire de haut-fonctionnaire en centaines de milliers d’€ par mois, comme l’a fait un de ses anciens camarades de promotion.

Mais il a choisi au contraire de se battre et de défendre le peuple français, en révélant publiquement les rouages de ce système corrompu et fasciste qu’est devenue l’UE, en expliquant pourquoi l’euro est un suicide pour l’économie française, et en dénonçant l’OTAN qui nous mène dans des guerres toujours plus illégales, au profit de l’état profond américain et de ses vendeurs d’armes associés.

Comprenez que M. Asselineau est non seulement quelqu’un d’intègre et de courageux, mais aussi et surtout quelqu’un de décidé, qui brigue ouvertement la fonction présidentielle, dispose de collaborateurs compétents et convaincus, se veut rassembleur, et n’a clairement pas sa langue dans la poche. Rien à voir avec les guignols d’un jour que l’on nous rabâche à coup de média, et dont on sait impunément qu’ils ne sont toujours qu’un écran de fumée qui disparaîtra au premier coup de vent venu.

Ces points étant fait, reprenons maintenant le programme de base de l’UPR et rentrons dans les détails :

1 / La sortie de l’UE

2 / La sortie de l’€

3 / La sortie de l’OTAN

Et pour finir bien sûr, la vidéo « le Jour d’après », qui explique exactement ce qui se passera après l’élection de M. Asselineau :