Suite à un vol d’emails du responsable de campagne de Mme Clinton, nous avons appris, via Wikileaks, que Ms Bill Gates (Microsoft) et Tim Cook (Apple) étaient pressentis pour devenir vice-président en cas de victoire de Mme Clinton.
Les deux personnages ayant refusé l’invitation, Mme Clinton a finalement choisi un autre colistier, mais imaginez maintenant le scénario suivant : Mme Clinton gagne les élections américaines, l’un des deux personnages accepte le poste puis, pour une raison ou une autre, Mme Clinton ne peut finir son mandat, et laisse la place à son vice-président.
C’est donc un capitaine d’industrie informatique qui se retrouverait à la tête d’un des pays les plus puissants du monde, avec toutes les conséquences néfastes que l’on imagine pour la planète et pour nos libertés !
Nous abordons ici le danger ultime : celui de multinationales informatiques en passe de diriger le monde, via leurs « huîtres numériques » respectives, logicielles ou matérielles. Bientôt nous ne serons plus français, allemands, italiens, ou espagnols etc : nous serons Google, Apple, Facebook, Amazon ou Microsoft. L’invasion culturelle « d’hallowood » ou « d’holiween » n’est que la prémisse d’un plan d’invasion bien plus vaste, car il s’agit bien, à terme, de tuer les états-nations européens et la culture européenne, comprenez l’âme des peuples européens.
Ce discours peut paraître alarmiste, voire conspirationniste, mais – on le voit même aux USA – les industriels de l’informatique sont en train de grignoter petit à petit le pouvoir politique, et les dirigeants américains ne contrôlent déjà plus leurs propres firmes, qui font ce qu’elles veulent avec leur armée d’avocats en soutien.
Quand vous voulez envahir un pays, vous commencez par contrôler les communications de l’ennemi – et c’est exactement ce que font ces firmes : après avoir fait main basse sur les terminaux, elles « s’offrent » désormais les tuyaux, en tirant elles-mêmes les câbles d’un pays à un autre, en lançant des satellites, en couvrant des zones via des ballons-sondes, etc !
Ce n’est pas un scénario de science-fiction, mais bien la réalité, car ces industriels ont accumulé un tel pactole de fric dans les paradis fiscaux de la planète, qu’ils ont désormais le pouvoir financier d’un état, au point d’inquiéter sérieusement les politiques de leur propre pays, dont ils se contentent encore, pour le moment, d’arroser la campagne électorale.