Prédateurs humains

29 janvier 2021 : encore un domaine où l’on a bien du mal à comprendre de quoi se mêle l’UE dans les affaires de la France : celui de la réintroduction des ours dans les Pyrénées.

Entendons-nous bien : on ne parle pas de réintroduire des espèces locales, généralement « suicidées » par la connerie humaine, mais bien d’introduire une espèce d’un autre pays, pour mieux la butter ensuite.

Pour ma part, dans ce dossier comme dans bien d’autres, c’est aux gens qui habitent les Pyrénées de se prononcer s’ils veulent ou non de la réintroduction d’ours étrangers chez eux. En toute logique, il suffirait donc de faire un débat, puis un référendum, et enfin de respecter le résultat des urnes.

Sauf qu’en la matière, pas la peine de compter sur une UE eurofasciste qui a trahi notre référendum de 2005, puis le référendum alsacien. Il n’y aura pas de RIC sans Frexit préalable, ni aucun retour possible à la démocratie sans passage par l’article 50. Les anglais ont montré l’exemple – il serait temps que les français comprennent pourquoi les anglais sont réellement sortis du piège à cons !

Au final, on ne comprend pas ce que les fonctionnaires corrompus de Bruxelles, bénéficiant de passes-droits infâmes, viennent foutre dans ce dossier. Et c’est d’autant plus débile comme démarche que tant que la réintroduction d’une espèce ne sera pas clairement acceptée, et même promue, par la population locale, ça n’a aucune chance de marcher.

On continuera d’introduire du plantigrade innocent, pour mieux le tuer ensuite, en gaspillant nos impôts dans l’affaire, puisqu’il faut aussi le rappeler : ce sont bien tous les français, et pas seulement nos amis des Pyrénées, qui paient la facture.

Cette logique délirante de racheter du trophée sur patte pour chasseur alcoolique et véreux est une preuve de plus que l’UE fait n’importe quoi, et que ses ingérences et délires eurofascistes ne mènent à rien, sinon à tuer des animaux innocents qui auraient bien mieux vécus dans leur pays d’origine.

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Time limit is exhausted. Please reload the CAPTCHA.