La vérité si je mens ! (quand la censure devient vérité)

23/09/2024 : l’occident continue donc sa guerre débile de désinformation globale et sa chasse aux sorcières russes, qui malgré leur âge honorable, attirent toujours de très nombreux lecteurs et auditeurs, soucieux d’une information plus « impartiale » et « véridique ».

On a vu en UESS la fermeture totalement illégale de RT et Sputnik, qui certes, sont affiliées au Kremlin, mais pas plus que les réseaux américains ABC, CBS, NBC, FOX et PBS ne sont affiliés à Washington, ou que nos chaînes françaises sont affiliées à Paris.

Dans ce monde multipolaire, il est tout à fait normal, et sain, que chaque pays tente d’exporter son influence et ses points de vue à l’étranger. Toute censure est donc stérile, improductive, et témoigne du fait que nos dégénérés de service ont définitivement perdus la raison.

Internet n’a pas attendu la censure des uns ou des autres pour produire des outils anti-blocage, particulièrement efficaces pour « coutourner » la monovision de ce qu’il faut bien désormais nommer des dictatures anti-démocratiques, peuplées de gens qui croient pouvoir imposer aux peuples leur vision, leurs valeurs wokistes, leurs programmes économiques ubuesques, etc.

La fermeture de locaux de presse, par la force ou la ruse, ne fait que témoigner d’un monde qui va de plus en plus mal, qui n’arrive plus à accepter la contradiction ou le débat, et ou le totalitarisme et le dogme sont devenus les modus operandi de ce qu’il faut bien nommer des fascistes !

C’est de très mauvaise augure pour la suite, avec une planche à billets toujours plus folle, des dettes publiques qui ne cessent de s’accumuler, témoignant bien de l’incapacité des politiques/juges/hauts fonctionnaires, plus exactement des mafieux de castes, à diriger leurs pays respectifs.

Ils ont ENCORE fait n’importe quoi, comme les débiles qui les ont précédé. Sauf que nous ne sommes plus au XXè. Les armes d’aujourd’hui ont un pouvoir de destruction total qui dépasse largement la seule annihilation de l’espèce humaine sur la planète. S’imaginer la guerre en porte de sortie, pour cacher la merde sous le tapis comme l’ont fait les porcs de naguère, est aujourd’hui pure folie.

Entre X qui se fait couper le sifflet au Brésil, Israël qui vient de fermer les locaux d’Al Jazeera soit disant pour 45 jours à Ramallah, Rumble qui a fuit la France pour ne pas devoir s’auto-censurer, France TV et Radio France qui ne sont plus que des usines à propagande euronazie, sur le pur mode 1984, Assange enfin libéré mais à quel prix : des années dans quelques mètres carrés, torturé pour avoir juste oser faire son boulot de journaliste, Kashogi, assassiné et découpé en morceaux par la milice du boucher saoudien MBS, et j’en passe – on voit bien que le journaliste « libre », respectant encore la Charte de Munich, dérange de plus en plus les fous de pouvoir, et ce où qu’il exerce sur la planète.

On trouve en France de plus en plus de journalistes indépendants sur le web, qui vivotent par la volonté et le soutien populaire. Mais ils n’ont pas la force de frappe et d’information des merdias mainstream, arrosés continuellement d’argents publics pour se taire ou déformer la réalité.

L’UPR en sait quelque chose, invisibilisée depuis 17 ans par l’euroreich et ses euronazis.

Quand le mensonge devient la vérité, que les informations sont filtrées et déformées, que le pouvoir fait tout pour éviter de rendre des comptes aux peuples souverains, qui doivent rester béats et ignorants comme les prolos du roman d’Orwell, on sent l’odeur des bottes et des uniformes ressurgir toujours plus des tréfonds des chancelleries.

Tout politique, et plus généralement tout être humain recevant un pouvoir sur des subordonnés, et qui n’est pas contrôlé en permanence sur ses actions, via internet et une presse réellement libre et indépendante, ne peut que dévier du droit chemin. Qui plus est : il se sont rendus non éjectables, trichent désormais jusque dans les urnes, et ne veulent plus lâcher leur os !

Le politique est un clébard. On ne peut pas lui coller une muselière, ce qui aurait peu de sens. La seule chose qui le retient de nous mordre, c’est une laisse courte sur laquelle il faut constamment tirer pour rappeler à l’animal qu’il n’est qu’un chien au service de son maître, et lui supprimer d’emblée toute velléité d’indépendance et de suprématie sur nous.

C’est du moins ce que nous devrions souhaiter retrouver en France, une fois libéré de l’UESS, via un Frexit qui n’est que la condition préalable du retour à la raison.

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