13 février 2021 : le fascisme européiste a donc repris le contrôle de la péninsule italienne, avec Mario venant « sauver » la plomberie de Bruxelles, Francfort et Washington, qui fuit de partout.
Il faut dire que le peuple italien est à bout, victime de cette grande et magnifique « solidarité européenne », où certains pays membres (dont le nôtre, malheureusement), lui ont volé masques et appareils médicaux en plein pic de la crise sanitaire, début 2020. Or c’est dans l’adversité qu’on reconnaît ses amis, et il n’y a pas d’amitié entre les pays : juste des intérêts. Comme il n’y a pas, et qu’il n’y aura jamais, de peuple européen, ou encore de couple franco-allemand.
Qu’on ne s’y trompe pas : si l’Italie est le seul grand pays proche où les restos sont aujourd’hui ouvert jusqu’à 18h, c’est surtout pour éviter l’explosion sociale et le renversement des pinocchios de service, que certains ont bien envie de brûler sur la place publique.
On comprend que le pompier Dragui, ancien guignol de la BCE, est surtout là pour effacer les vélléités d’un Italexit, qui a désormais son propre parti, tout cela parce que Salvini a voulu jouer les mélenchons/le pen de service, en dénonçant cette putain d’UE aux ordres des banques et des puissants, tout en évitant soigneusement la seule et véritable sortie légale : l’article 50 des traités !
Bref, encore un zozo qui n’a pas osé aller au bout du raisonnement pour sauver son pays.
Car on peut fustiger notre parti pour plein de choses, vraies ou supposées, mais sûrement pas d’avoir inscrit ses trois objectifs fondamentaux sur sa charte fondatrice, histoire d’enlever toute ambiguïté possible sur l’objectif à atteindre : la sortie de l’UE, de l’€ et de l’OTAN.
La récente attaque indécente sur notre président, mis en garde à vue puis en examen par deux anciens employés éconduits, et ce comme par hasard au beau milieu d’affaires pédophiles qui n’ont rien à voir, ne tromperont aucun militant averti.
La campagne de 2022 sera bien plus difficile que celle de 2017, et c’est normal : l’euroscepticisme gagne du terrain, et l’UPR reste le seul parti légitime pour copier nos voisins britanniques et mettre fin à la dictature qui ne dit pas son nom, dont le seul parti à abattre.
Les fascistes feront donc tout ce qu’il faut pour tenter de faire taire notre mouvement. À nous de leur montrer notre détermination à sauver la France, car sans Frexit préalable, tout retour à la démocratie restera impossible de fait, et on repartira forcément sur un petit écolier immature, parachuté par nos milliardaires, lèchant le cul des puissants et faisant la guerre au peuple de France.
Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !