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15 avril 2019 : pour la première en fois en 12 ans, le journal « l’immonde » a donc gratifié l’UPR d’un article que nous allons prendre plaisir à décortiquer.

Il commence déjà dans son titre par une association gratuite entre gilets jaunes et UPR, donc par une fake news.

Rappelons que les gilets jaunes se revendiquent apolitiques, et que les responsables UPR n’ont jamais cherché à récupérer ce mouvement populaire.

Depuis plusieurs mois, l’UPR a certes proposé aux gilets jaunes qui le souhaitent de venir librement s’exprimer sur le plateau web d’UPR TV, gracieusement mis à disposition et anonymisé de toute référence à l’UPR pour ne faire aucun amalgame. Il est bien précisé, à chaque émission, que les propos tenus n’engagent que leurs auteurs respectifs, ni l’UPR, ni l’ensemble des gilets jaunes.

Nous aurions nous-mêmes aimé pouvoir disposer de ces ressources bien plus tôt, afin d’éviter les 12 ans de censure féroce et continue des eurofascistes, et nous savons à quel point il est devenu difficile de faire passer des messages et idées politiques démocratiques dans ce pays qui bafoue désormais les Droits de l’Homme et les droits des peuples.

Donc même si nous ne sommes pas d’accord sur tout, il est clair que nous dénonçons autant la censure des gilets jaunes que la censure de notre propre mouvement. Nous sommes donc particulièrement fiers et heureux de pouvoir mettre à disposition ces quelques ressources à la disposition des gilets jaunes, histoire de bien emmerder les braves toutous eurofascistes et leurs maîtres !

Si ensuite les idées de l’UPR font leur chemin dans les rangs des gilets jaunes, tant mieux ! Mais l’UPR ne va chercher personne : l’invitation est ouverte à tous les GJ, et nous avons bien deux mouvements distincts.

Ce point étant fait, revenons à notre article. La manipulation du lecteur continue avec le sous-titre « les tendances complotistes de l’UPR ». Un classique devenu culte chez les eurofascistes. Il faut dire que quand on ne peut pas salir son adversaire ou lui chercher des poux dans la tête, il faut bien inventer quelque chose, et tant pis pour la diffamation gratuite !

Allez, on continue encore avec « un gilet jaune grisonnant ». Oui, parce qu’à l’UPR, c’est bien connu, on est tous des vieux (cons – je force le sous-entendu) ! Ben oui : le jeune con, lui, il vote LREM et pense printemps ! Ça tombe bien : c’est la saison des imbéciles heureux !

On arrive au quidam qui « brandit ses réflexions » – oulà ! Stop ! Arrêtez tout avant qu’il ne brandisse autre chose que ses réflexions ! Un peu de décence, enfin, Mesdames les journalistes : il y a des enfants qui lisent vos conneries !

Allez : on saute quelques lignes plus loin pour arriver au fameux « petit parti de François Asselineau ». Quoi de plus normal en effet pour un PETIT article, écrit par des PETITS journalistes, cloisonnés dans leur PETITE rédaction immonde ?

Et bien entendu, le final de la première partie avec son magnifique « …dont le mouvement est connu pour ses tendances complotistes », prouvant définitivement que nous avons bien à faire à deux sottes sans aucune imagination !

Arrive l’expression « les Frexit » pour décrire les partisans pro-Frexit. J’ai relu 2x pour essayer de comprendre ce nouveau terme, mais là, je capitule : seule l’autopsie pourra peut-être nous révéler un jour pourquoi nos deux nénettes n’ont même pas eu l’intelligence d’utiliser le terme « Frexiters », alors que le terme « Brexiters » est utilisé partout depuis au moins 3 ans ! Sont-elles stupides à ce point ? Apparemment, oui.

On continue avec « le mouvement des gilets jaunes auquel s’est accroché dès le début le parti de François Asselineau ». Juste au cas où le lecteur aurait raté le premier amalgame gratuit. Et toujours pas de séchage entre les deux couches de peinture – tant pis pour les taches !

Dernière affirmation gratuite : « Nombre de militants sont également allés semer leurs idées pro-Frexit autour des braseros, sans jamais se revendiquer ouvertement de l’UPR ». Jolie fable qui insulte primo l’intelligence des gilets jaunes, et secundo celle des militants UPR concernés !

Entendons-nous bien : par respect du mouvement apolitique, les militants UPR qui participent aux manifestations des gilets jaunes n’affichent pas ostensiblement les couleurs du parti, et c’est aussi le cas de tous les autres militants encartés dans des partis adverses.

C’est bien normal : les gilets jaunes tiennent à leur neutralité politique, et l’impose à tous, sans exception. Maintenant ça n’empêche pas de discuter entre participants, d’échanger ses idées dans les deux sens, de parler de l’UPR à des gilets jaunes qui ne connaissent pas notre mouvement, et d’expliquer aux gilets jaunes qui le souhaitent nos analyses. Libre ensuite à eux d’y adhérer ou non.

En tout cas, face à l’omerta merdiatique de l’immonde et de ses copains, aux mains de 9 milliardaires véreux proches du pouvoir, interdisant tout débat sur la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN depuis 12 ans, il est vrai que le discours de l’UPR semble avoir trouvé un certain écho chez les gilets jaunes.

Mais une fois encore, si des gilets jaunes rejoignent massivement les analyses de l’UPR, c’est tout simplement parce que ces analyses sont les bonnes. Il n’y a rien à expliquer de plus.

Soyons réalistes : sans Frexit préalable, le RIC n’a aucune chance d’exister. Notre problème de base commun, c’est l’UE, au-dessus de tous les clivages. Et en se posant comme un parti temporaire de libération nationale, l’UPR affiche clairement la seul voie logique à suivre, pour sortir par la grande porte, sans aucune ambiguïté, et en ne froissant pas nos voisins et partenaries.

Quant à l’immonde feuille de chou ici concernée, qui au bout de 12 ans, nous pond un subtil mélange infâme et nauséabond de désinformation et de diffamation, la seule existence de cet article pose soudainement question. Le journal prendrait-il soudain ses précautions, au cas où le résultat des européennes marquerait la montée en flèche de l’UPR ?

La question est posée. Cela étant, ceux qui ont trahi leur pays devront un jour en payer les conséquences. Et cela vaut autant pour les journalistes complices que pour les politiques, hommes ou femmes, sans exception.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Fascisme bleu – mon amour !

4 avril 2019 : Suite au référé liberté, déposé par l’UPR en urgence, lequel a forcé France 2 à inviter M. Asselineau au débat organisé par la chaîne entre têtes de liste aux européennes, voilà qu’on apprend que France Télévision, qui avait fait appel de la décision de justice, a obtenu ce jour l’annulation de la décision du Conseil d’État, lequel se range bien évidemment aux côtés des fascistes bleus de Bruxelles, en précisant que hors période électorale, France 2 est libre d’inviter qui elle veut sur ses plateaux !

Comme pour les présidentielles, où tout le monde avait pu observer la petite thérapie de groupe entre copains européistes sur TF1, voilà donc que la télé nazi-onale nous refait le coup pour les européennes, en ignorant superbement le parti du Frexit, et ses 35500 adhérents – pardonnez du peu !

Rappelons que pour FT, la récente soirée organisée par l’UPR à Londres, qui a été la plus importante manifestation politique française depuis la fin de la guerre au R.U., et où 700 militants et partisans se sont retrouvés avec nos voisins britanniques pour fêter ensemble les 12 ans de l’UPR et surtout le Brexit (initialement prévu le 29 mars et finalement reporté au 12 avril aux dernières nouvelles parce que les fascistes britanniques refusent comme les fascistes français le résultat des urnes), cette soirée là n’a jamais existé, malgré la présence d’anciens ministres et lords britanniques !

Et ce n’est pas la première fois que France Télévision et Radio France brillent par leur propagande et leur désinformation abjecte des français, à snobber les idées et les dirigeants de l’UPR. Dans les 12 ans de boycott, on pourra citer :

  • 0 invitation de l’UPR et de M. Asselineau depuis la fin du 1er tour de la présidentielle, et ce dans tous les médias aux ordres du CSA, à l’exception de quelques interventions sur Sud Radio.
  • 0 mention de la manifestation UPR du 1er mai 2018, qui avait rassemblé quelques 3500 (!) militants à Paris, en marge du cortège officiel, le tout dans une ambiance sympathique ET SANS LA MOINDRE CASSE !
  • 0 mention nationale de la dernière université d’automne de l’UPR en 2018, malgré quelques 1200 (!) participants, et le fait qu’à part F.I. et l’UPR, plus aucun parti politique français n’arrive à rassembler autant de monde dans une université !

J’arrête là : même un enfant de 8 ans comprendra que les médias français aux ordres du CSA sont devenus des usines à fake-news et à désinformation !

Et le pire, c’est qu’on nous parle même de supprimer la redevance audiovisuelle avec la taxe d’habitation, histoire que ceux qui ne payent pas la redevance aujourd’hui, la payeront quand même demain, via un autre impôt indirect créé pour l’occasion. Et oui : financer les collabos du système à un coût évident, que le régime facture logiquement à ses esclaves soumis !

Comme pour les gilets jaunes, qui découvrent les joies de la désinformation d’état, du détournement des propos, la mafia de sales petits dictateurs en costume cravate s’octroie publiquement le droit imaginaire de décider de ce que nous avons le droit de voir ou d’entendre !

Et pendant que le « régime de Paris », qui n’a même plus confiance dans sa flicaille obéissante, en appelle désormais à l’armée pour mater la rébellion des gilets jaunes, le monde entier hallucine de voir ce que la France est devenue en seulement 15 ans !

Pour ma part, je reste pour le moment étonné de la bienséance actuelle du peuple vis à vis de ses députés et sénateurs successifs, premiers responsables de ce désastre commun !

A moins évidemment que là encore, on nous cache soigneusement des actions militantes visant à faire comprendre aux gus dans leur assemblée que l’article 68 de la Constitution est la seule et dernière solution logique et légale pour éviter une violence qui va s’amplifier, à n’en pas douter. Quand des gens n’ont plus rien à perdre, le désespoir ne peut que pousser à l’inévitable.

L’UE a déjà perdu. Le fait est qu’elle refuse sa fin, et que ceux qui participent encore à cette mascarade le paieront bien plus que ceux qui nous l’ont vendu au départ.

Vive l’UPR et vive la France Libre !

Y’a (encore) du Boulo…

3 mars 2019 : Thinkerview, chaîne internet spécialisée dans les interviews, vient de publier son entrevue avec M. François Boulo, un des porte-paroles officiel des gilets jaunes.

Globalement, bonne interview de l’intéressé, toujours très posé et d’une redoutable clarté et exactitude dans ses propos, que je partage (presque) pleinement.

Pourquoi « presque » ?

Parce que comme le démontre très bien la vidéo que vous retrouvez ci-dessous, à la question fatale du « Frexit ? », le discours de l’intéressé, qui n’engage que lui, fait clairement apparaître les arguments bidons que l’on rencontre à F.I. : du plan A et B , de la désobéissance aux traités, un soit disant rapport de force entre la France et les autres états, une politique de la chaise vide, etc.

Alors on repasse une couche : le plan A, c’est ce qu’on fait depuis 50 ans sans succès, et qui nous a précisément mené où nous sommes, parce que :

  • l’UE est incapable de négocier quoi que ce soit. Il suffit de voir l’échec des négociations avec les britanniques pour se rendre compte à quel point M. Barnier est un dictateur né, sans compter les propos récents de M. Tusk qui promet l’enfer aux britanniques, parce qu’il faut faire peur aux naïfs – et surtout protéger son juteux salaire.
  • chaque âne tire dans une direction opposée, et qu’il n’y a en fait aucune union – c’est même le bordel permanent, parce que chacun défend son bout de gras au détriment des autres.
  • il faut l’unanimité de TOUS les états membres pour changer la moindre virgule des traités, unanimité que l’on sait mathématiquement impossible à obtenir.

Le plan B (taper du poing sur la table et désobéir aux traités), revient à s’imaginer que les autres pays vont accepter ce que nous mêmes nous refusons. Comme l’a brillamment rappelé une ministre polonaise, la France n’est qu’un état parmi les 27 restants : elle n’a pas plus de poids que les autres, que cela nous plaise ou non.

On pourra s’offusquer que les traités aient été conçus de la sorte. Il n’en reste pas moins que même mal conçus pour nos intérêts, ils restent force de loi, et ce aussi longtemps qu’ils ne seront pas dénoncés (Frexit).

Outre le fait que taper du poing sur la table reviendrait à insulter nos voisins et amis, il est évident que la CJUE nous rappellerait très vite à l’ordre, à coup d’amendes salées, comme elle le fait déjà avec brio.

« On ne paye pas nos amendes » ? Pas de problème : l’UE se servira directement dans ce qu’elle nous reverse chaque année ! Si vous voulez pas payer, et bien vous payerez quand même, les intérêts en plus ! L’argument est d’autant plus illogique que la France est contributrice nette au budget de l’UE (elle donne plus d’argent que ce qui lui revient), et qu’il sera donc facile, pour la CJUE, d’aller se servir à la source pour recouvrir les montants en souffrance.

« La politique de la chaise vide ? » Mais tout le monde s’en fout ! Ça n’empêchera pas les commissaires européens non élus de continuer à nous ruiner à coup de GOPÉ annuelles ! Vous croyez sérieusement que Barnier, qui n’en a déjà rien à foutre de son pays d’origine, pleurera demain devant une chaise vide ? Je crois plutôt qu’il ira boire un petit coup avec Juncker – et même plusieurs, à la santé des absents !

En conclusion, je retiens d’abord de cette interview que M. Boulo est clairement mélenchoniste sur les bords, ce qui est son droit le plus absolu, bien entendu. Maintenant comme il n’en fait pas ouvertement la publicité en tant que porte parole des GJ, je ne lui en tiendrai pas rigueur : tout le monde a droit à ses opinions propres – c’est bien normal.

Cela étant, je pense que M. Boulo, comme la plupart des mélenchonistes, serait bien avisé d’aller voir les vidéos en ligne d’Asselineau et de l’UPR, à commencer bien entendu par les conférences les plus âgées sur l’UE / l’euro et l’OTAN, parce que continuer à nous balancer des arguments aussi bidons, deux ans après la présidentielle, me pose quand même problème.

Soit les mélenchonistes ne connaissent toujours pas ces conférences pourtant didactiques et très argumentées, soit ils refusent les évidences qui crèvent les yeux. Mais venant de la part d’un avocat de 32 ans qui, me semble t’il, a quand même la tête sur les épaules, un tel déni de la réalité laisse pantois.

L’UE n’est pas un simple microbe ou un virus que l’on peut traiter à coup de médicaments, en jouant la montre à coup de comm ou à coup de gueule, et en espérant que ses anticorps prennent miraculeusement le dessus.

L’UE est littéralement un cancer de la démocratie, qui a pourri notre pays de l’intérieur en 27 ans seulement, avec des partis politiques mortifères, tous plus corrompus les uns que les autres, et des grands médias tous muselés, tout ce beau monde mangeant dans la main des banquiers !

Rappelons sur ce sujet que l’UPR affiche toujours 0 dettes et 0 emprunts, et n’appartient donc pas aux banques, contrairement à de nombreux partis européistes « traditionnels », qui n’ont plus aucune indépendance depuis longtemps !  (on aura bien ri sur le fameux « Mon ennemi, c’est la finance. »)

En outre, et contrairement aux collabos de service, dont ce cher M. Mélenchon, M. Asselineau n’est pas passé par la French American Foundation pour lever la patte, et lécher les bottes de l’oncle Sam. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour nous, ça veut dire beaucoup !

J’espère donc que les gilets jaunes comprendront enfin que l’article 50 et le Frexit sont les seules solutions juridiques pour nous sortir de la merde, et qu’il ne peut pas y avoir de RIC/RIP dans la dictature européiste où nous vivons.

Le Frexit n’est pas négociable : il est une condition sine qua non à tout retour de la démocratie en France, quel que soit votre bord politique, et quelles que soient vos convictions intimes.

Continuer à vivre dans l’UE, et c’est la mort assurée de nos états nations à court terme, car si vous ne vous en êtes pas encore aperçus, depuis la trahison de Sarkozy en 2008, l’UE a enclenché la vitesse supérieure pour nous spolier notre démocratie.

Je pourrais encore vous parler de la loi Urvoas de 2016, qui a remplacé le temps de parole égalitaire des partis par une équité bidon, ou du refus des députés/sénateurs à enclencher l’article 68 de la Constitution pour la destitution de l’escroc en col blanc parachuté par les merdias complices.

Mais je préfère ici terminer cet article en remerciant Thinkerview pour leurs interviews, toujours aussi intrusives et intéressantes. Je pourrais en dire autant sur Trouble Fait et Penseur Sauvage, qui sont certes pro-UPR affichés, mais qui apportent eux aussi des analyses très fines et surtout argumentées au débat. Bref : je ne peux que vous inviter à découvrir les chaînes internet citées si vous ne les connaissez par encore !

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

linuxfr.org

17 février 2019 : j’ai découvert dernièrement, sur linuxfr.org, un site bien connu des libristes français, un post de Faya qui osait soutenir que nous serions encore en démocratie.

Avec des marées de gilets jaunes dans les rues depuis 3 mois, et un régime assassin qui n’a jamais eu la moindre légitimité réelle, l’élection de 2017 ayant été truquée par la loi Urvoas de 2016, je ne pouvais évidemment pas laisser passer une telle énormité.

Et là, premier constat amusant : une bonne partie de mes réponses aux intéressés n’apparaissent plus directement dans le fil de discussion principal, sûrement parce que mes posts sont notés en négatif par certains – comprenez que les chiens de garde européistes ont bien fait leur boulot !

Si vous voulez donc gentiment rappeler à ces messieurs/dames que la démocratie, c’est aussi accepter le pluralisme et la libre expression, même quand on déteste le discours tenu, n’hésitez pas à aller sur l’article, et à « plussoyer » mes propos, histoire de les remettre en visibilité normale. D’avance merci à vous !

Sinon l’affaire nous apprend que comme tous les autres français, lobotomisés par la publicité mensongère d’une autre Europe qui lave plus blanc que blanc, depuis 27 ans maintenant, nombre de libristes semblent totalement coincés dans leur doxa européiste.

Le post concerné est explicite : entre ceux qui noient le poisson, ceux qui déforment la réalité, et ceux qui détournent les arguments posés, un tel conditionnement aveugle est quand même très surprenant pour des gens qui prétendent s’opposer aux GAFAM et à la dictature orwellienne qui se met en place.

Outre le manque total d’efficacité de l’UE, que tout libriste aura constaté de lui-même, rappelons que le virage vers la dictature numérique à réellement commencé début 2000, avec une soudaine accélération en 2007, quand les politiques français ont tous baissé leur froc, en cessant tout soutien aux logiciels libres, et en s’alignant sur Bruxelles, laquelle continue depuis à tranquillement favoriser les GAFAM, via des lois toujours plus liberticides, totalitaires et clientélistes.

Quant à remplacer flamby par frankenstein tous les cinq ans pour du beurre, c’est certes amusant un moment, mais comme l’a très bien exprimé un certain Richard Matthew Stallman : « avoir le choix de son dictateur, ce n’est pas liberté ».

Et maintenant que les temps de paroles ne sont même plus égalitaires, puisqu’on a faussé le sel même de l’élection présidentielle, pas la peine de compter sur un retour à la démocratie sans un acte fort du peuple.

Face à une UE totalitaire désormais largement contestée, le Frexit est bien la seule et dernière porte de sortie possible pour la France, et pour tous ceux et celles qui luttent encore pour la démocratie dans ce pays !

Observer ainsi des libristes camper sur leurs positions d’un autre âge, à l’ouest des réalités de terrain, est non seulement inquiétant pour l’avenir, mais tend aussi à indiquer une baisse générale de réflexion et de débat dans la communauté du libre.

Certes : linuxfr.org n’est qu’un site libriste parmi d’autres, et il serait hasardeux d’en tirer des conclusions générales, entre geeks, nerds, faux philosophes et vrais narcissiques qui y ont aussi leurs petites habitudes, et qui parfois, racontent vraiment n’importe quoi.

En tout cas, il est clair que face à ce post délirant, et à ses réponses toutes aussi délirantes, il y a des questions à se poser, le problème de la diffusion et de l’adoption des logiciels libres dans le grand public, les institutions et les entreprises, étant aujourd’hui 100% politique.

Dans un monde où certains paient des sociétés privées pour manipuler leur image, la tentation de la censure est également une triste réalité qu’il convient de dénoncer sans détour, comme la censure de wikipedia sur l’UPR par exemple, qui a déjà donné lieu à un autre article sur ce site.

En tout cas, ce petit voyage sur linuxfr aura été riche d’enseignements, et j’espère que tout comme moi, il vous aura permis de vous faire une petite idée de l’état de la démocratie dans la Communauté du Libre.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Vends ton député !

3 février 2019 : plusieurs youtubers renommés sur la toile ont donc lancé, ce 1er février, un appel à vendre le patrimoine de nos députés et sénateurs sur internet, puisque ces derniers s’amusent bien, depuis 1992, à vendre notre pays par petites tranches, s’imaginant à tort n’avoir aucun compte à rendre aux français.

C’est donc avec grand plaisir que je relaie ici leur appel sur internet, considérant qu’il faudra tôt ou tard demander les comptes qui s’imposent à tous ces assassins, lesquels continuent de couvrir la mutilation et l’assassinat de manifestants pacifistes, au lieu d’enclencher l’article 68 de la Constitution comme demandé par l’UPR et son président !

Ms les Députés et Sénateurs : libre à vous de choisir votre destin !

Le nombril du Monde

18 janvier 2019 : on peut aimer ou détester l’UPR pour oser dire les vérités qui dérangent, mais quand il s’agit de traiter et d’analyser correctement les informations médiatiques, il faut reconnaître à M. Asselineau et ses lieutenants proches un talent certain.

Prenons ici le cas du récent Traité d’Aix-la-Chapelle, où l’on a d’abord vu passer les articles de pseudo-analystes de pacotille, lesquels nous annonçaient déjà l’absorption de la France dans un nouveau IVè Reich. Le moins qu’on puisse dire, c’est que les articles de ce genre sont écrits par des gens qui feraient mieux de se taire, plutôt que d’écrire n’importe quoi.

On a ensuite vu les européistes débarquer, et s’opposer, à juste titre, aux alarmistes de la première heure, mais en se gardant bien de rentrer dans les détails qui fâchent, et d’expliquer le contenu réel du Traité aux français, ses engagements et conséquences, et la vision globale cachée sous le document. Car un Traité n’est jamais anodin : il engage au minimum une vision politique, économique et stratégique de ceux qui le signent… ou pas !

Et le journal l’immonde de s’être une fois encore brillamment illustré par sa nullité et son incapacité totale à rentrer au fond du sujet, dans un article pour bisounours, édulcoré de partout !

Face à cela, le président et fondateur de l’UPR, M. Asselineau, a très brillamment répondu par une vidéo de près d’1h30, reprenant tous les points du Traité qui posent question, détaillant avec force les tenants historiques et la vision du futur défendue par le texte, décrivant parfaitement en quoi le charlot de l’élysée a une fois encore trahit les français, pour la quatorzième fois !

C’est à ce genre de vidéo qu’on mesure l’écart délirant entre la propagande européiste, qu’elle provienne du CSA ou de la presse détenue par 9 milliardaires, copains comme cochons du pouvoir, et le niveau d’excellence de l’UPR, de son président et de ses lieutenants, censurés médiatiquement depuis 11 ans, pour le simple crime de dire la vérité, et d’expliquer les mécanismes européistes délirants qui nous ont mené où nous sommes.

De toute évidence, le nouveau studio UPR est très bien utilisé, à faire finalement ce que les médias du CSA et les chèvres de l’AFP ne font plus : de l’information et de l’éducation populaire.

On a vu dernièrement que l’UPR a aussi commencé à prêter son studio aux gilets jaunes, en respectant la volonté de ces derniers de rester apolitiques (le logo UPR et autres références visuelles à notre mouvement ont été volontairement cachés pendant toute la durée de la vidéo).

En toute honnêteté, j’ai trouvé le geste particulièrement sympathique, et je tiens ici à féliciter et remercier les dirigeants de notre mouvement d’ouvrir cet espace d’expression aux gilets jaunes, qui, je l’espère, en profiteront au maximum pour s’exprimer, présenter leurs idées, s’organiser entre eux, etc.

En tout cas, personne à l’UPR ne pourra dire que l’argent qu’il verse au mouvement n’est pas utilisé de façon intelligente et démocratique. Entre payer 138€ de redevance à ces enfoirés du CSA, qui refusent à l’UPR toute libre expression depuis 11 ans, et faire un don du même montant à l’UPR pour développer notre mouvement, et accessoirement prêter nos ressources à des gilets jaunes qui le méritent largement, pour ma part, le choix est vite fait…

Vive l’UPR – et vive la France Libre !

Assassins de la Ripouxblique

17 janvier 2019 : qu’on aime ou non les flics ou les gendarmes, on ne peut nier que leur métier est loin d’être aisé, et que les forces de l’ordre sont souvent en première ligne pour gérer la misère humaine, les affaires de mœurs parfois sordides, et toute la méchanceté et la connerie humaine concentrées.

À cet égard, un minimum de respect s’impose naturellement à la fonction, dans la limite d’un usage proportionné et justifié de la force, sans quoi le flic devient un voyou, et ne vaut guère plus que le politique assassin qui le manipule.

On peut ensuite venir râler de s’être pris une contravention mineure dans la vie quotidienne, mais le fait est que sans maintien de l’ordre et des règles communes, c’est le chaos assuré pour tous – et ce ne sont pas les exemples de pays de fous qui manquent sur la planète.

Pour paraphraser une célèbre réplique de cinéma, nous sommes aussi droits que cette société nous permet de l’être, et comme on peut être objecteur de conscience, et comprendre l’utilité indispensable d’une armée, on peut aussi être gilet jaune et admettre l’utilité des flics. En outre, 99% des gilets jaunes sont juste des gens normaux et pacifiques qui veulent manifester en paix, en restant fermes sur leurs revendications – avec raison.

Mais côté CRS, et comme dans toutes les professions, on trouve aussi des chiens galeux qui ne méritent pas leur insigne, et encore moins leur grade, et la photo suivante – dure – intolérable – est révulsante à un point qu’elle est la honte absolue des flics de France depuis Vichy !

Mutilés de l’UE – rappelez-vous leur maxime :
« L’europe, c’est la paix… » – on vous laisse imaginer la guerre !
Au 17 novembre : 1 mort, 30 blessés graves, 1700 blessés reconnus (comprenez « déclarés »).

Pour les mains arrachées, on rappellera que la France est le seul pays européen à utiliser la grenade lacrymogène instantanée GLI-F4 et ses 25g de TNT, ayant causé, à elle seul de multiples traumatismes et mutilations.

Quant au flash-ball ou LBD 40, il faut savoir que l’arme est conçue pour recevoir un viseur laser : ainsi la volonté de blesser/tuer des manifestants ne fait pour moi aucun doute, et vu la dureté des images ici présentées, désormais, il est clair qu’une proportion croissante d’assassins a pris ses quartiers dans les rangs de la police. On s’attendrait logiquement à ce que ces gens soient jugés et lourdement condamnés. Malheureusement, et c’est le drame : ceux qui ont besoin de leur milice pour rester au pouvoir font tout pour défendre leurs protégés, et leur éviter de devoir répondre de leurs actes.

Et ce « permis de tuer » (licence to kill) d’aller bien au delà du pays de France, puisqu’il semble bien être la norme en Europe, avec un Traité de Lisbonne qui permet de légaliser le meurtre d’état.

Sinon l’internet regorge de vidéos diverses et variées, où les actes des forces de l’ordre semblent de toute évidence complètement disproportionnées, avec des tirs tendus face à des gilets jaunes de toute évidence inoffensifs. On devine sans peine que l’ordre donné en haut lieu est de faire peur, et de dissuader les gilets jaunes de revenir par tous les moyens, légaux ou illégaux.

Et c’est là où l’aveuglement du pouvoir se manifeste pleinement, à ne pas comprendre qu’il n’est pas en face d’une simple manifestation, mais bien d’une révolte populaire, partie pour durer et jouer sur l’usure.

Dans la guerre médiatique des chiffres, la seule certitude à avoir, c’est que plus la répression policière se durcie, plus le peuple se mobilise et gagne en nombre de manifestants. En outre, là où les 89000 soldats du pouvoir, sollicités chaque semaine par leur triste hiérarchie, accumulent fatigue, stress, et mauvaise conscience pour certains, la bonne organisation des gilets jaunes leur permet de se renouveler et de se reposer. Au petit jeu du « fait moi peur », il est donc très probable que les gilets jaunes finissent par l’emporter s’ils restent mobilisés et organisés.

Le pouvoir l’a bien compris, puisque tout est fait pour tenter de « casser » du gilet jaune dans les médias, en les traitant de tous les noms d’oiseau, en leur collant la « diabolique » étiquette « FN/RN », en tentant de récupérer des collabos sur le modèle de compost Cohn-Bendit®, etc – bref – toutes les techniques de communication classiques que nous connaissons très bien à l’UPR pour les subir depuis plus de 10 ans.

La farce du « grand débat » voulu par le « petit européiste », avec la déclinaison de Mme Jouanno, le bras d’honneur du vice-président de l’Association des Maires de France, et l’amateurisme public de LREM, se passent presque de commentaires. De toute évidence, l’abus de Tenga nuit gravement aux locataires de hémicycle, à continuer envers et contre toute logique à prendre les français pour des cons, le sourire narquois aux lèvres.

En ce qui me concerne, les véritables assassins et responsables de la situation sont d’abord nos députés et sénateurs, qui au lieu d’enclencher l’article 68 de la Constitution pour destituer l’usurpateur, devenant chaque jour plus fou et plus arrogant, se pavanent tantôt dans la méconnaissance simulée de leurs prérogatives, tantôt dans un rejet du revers de la main en bon petit bourgeois de la Cour parigote, comme on peut le lire dans les réponses affligeantes, affichées sur le site officiel de l’UPR.

Oui Ms les Députés et Ms les Sénateurs : vous êtes des assassins, et l’histoire vous jugera comme tels ! Il est encore temps pour vous de sortir par la porte, en emmenant votre larbin, avant qu’il ne soit trop tard. Mais comprenez bien que la fête est terminée, et qu’il n’y aura pas assez de CRS pour protéger ceux qui ont trahi le pays. Les français ne vous pardonneront jamais vos inactions et vos pirouettes ayant mené au désastre !

Plus les morts et blessés s’accumuleront dans les rangs civils, plus ceux que vous aurez feint d’ignorer vous demanderont des comptes – avec les intérêts. Et vu le volumineux dossier UPR, envoyé à tous les députés et sénateurs, vous ne pourrez même pas prétendre que vous ne saviez pas !

Vive le Frexit – et vive la France Libre !

Les syndicats « rogue » ?

7 décembre 2018 : j’ai exceptionnellement réécrit cet article (ce que je ne fais généralement jamais) suite à de nombreuses lectures et analyses d’autrui sur le mouvement des gilets jaunes, qui a aussi beaucoup évolué ces deux dernières semaines, passant d’une revendication unique (taxe sur les carburants), à un ensemble beaucoup plus vastes de revendications, dont apparemment, la sortie de l’UE et de l’OTAN, ce qui m’a beaucoup (et agréablement) surpris.

Il faut dire que créer des barrages filtrants ne me paraissait pas le meilleur moyen d’action. C’est accroître de fait la pollution des véhicules au ralenti qui le franchissent, donc la consommation des véhicules, et finalement celle des ménages… Paradoxe de gens qui disent vouloir défendre le pouvoir d’achat des autres, mais qui commencent précisément par le réduire !

L’incompréhensible stratégie d’agir au moment même où le thermomètre est au plus bas, bien en-dessous de zéro dans certaines régions, me rappelle aussi l’histoire de Stalingrad, et de ces braves soldats allemands, vaincus par l’hiver russe. De mémoire, les augmentations de carburant n’ont pas attendu l’automne pour se mettre en route. Alors pourquoi maintenant ?

Cet amateurisme évident, en parallèle d’un mouvement qui se revendique  apolitique, me fait doucement rejoindre l’idée d’un réel mouvement spontané de gens de tous horizons, qui partagent en commun le fait d’en avoir tout simplement ras le Q de se faire mettre en permanence par la mafia de banquiers européistes, apparue sous l’ère Sarkozy, un peu cachée sous le tapis pendant l’ère Hollande, et à nouveau sur le devant de la scène avec l’escroc parachuté par Urvoas et par les médias sous la coupe du CSA en 2017.

En outre, les gilets jaunes signent d’abord et surtout la mort définitive des syndicats français, financés par la Confédération Européenne des Syndicats, donc par l’UE et nos impôts, pour canaliser et entretenir la colère populaire sur l’élysée et matignon, tout en épargnant soigneusement Bruxelles, Francfort et Washington.

Il n’est pas étonnant que le petit Bokassa de l’élysée vient tout juste d’inviter ces même centrales syndicales dans son petit palais doré, en leur demandant de calmer leur base, prouvant définitivement qu’il n’a rien compris à ce qui se passe. Rien ne peut en effet arrêter la rage d’un peuple quand ce dernier veut se débarrasser d’un tyran.

À cela s’ajoute encore une affaire récente, dans laquelle les forces de l’ordre ont immobilisé des lycéens, puis les ont filmé comme de vulgaires prisonniers, postant le tout sur les réseaux sociaux, alors même que la loi leur interdit cette dégradation évidente !

Pas la peine d’être une oracle pour deviner à quel point ces imbéciles viennent d’attiser la haine féroce, et durable de ces adolescents et de leurs familles contre les forces de l’ordre, mais surtout – et c’est beaucoup plus grave – la colère de tout un pays qui découvre, horrifié, qu’on traite désormais ses enfants comme des chiens de terroristes !

Comme toujours, il ne s’agit pas de mettre tous les flics dans le même panier, mais il est clair que cette vidéo va rester gravée dans les mémoires de tous les français comme l’instant ou les forces de l’ordre ont outrepassé leur mandat, et sont devenues  illégitimes de fait.

Comprenez que dans le meilleur des cas, les indécis modérés qui verront la vidéo n’auront plus aucune hésitation à rejoindre massivement le mouvement des gilets jaunes et leurs revendications.

Quand la force publique ne sert plus qu’un appareil d’état corrompu et à bout de souffle, l’histoire montre en effet qu’il faut s’attendre à des conflits sanglants, et de grands changements politiques à venir.

Bien entendu, nous nous réjouissons à l’UPR de voir nombre de gilets jaunes ouvrir les yeux, et commencer enfin à comprendre pourquoi la France va dans le mur, et pourquoi l’UE est un suicide collectif annoncé.

Il est juste regrettable d’avoir perdu autant de temps, alors que feu Philippe Séguin nous avait dès le départ avertit, dans son discours à l’AN, de tous les dangers et du caractère profondément irraisonné, que de céder notre destin commun et nos lois à une entité supranationale de fonctionnaires non mandatés par le peuple, qui se sont effectivement comportez comme les dictateurs qu’ils sont, en ne cessant de nous mener à la ruine.

Quelles que soient les sensibilités politiques de chacun, plus personne ne peut désormais nier le fait que l’UE nous a baisé sur toute la ligne, entre ce qu’elle nous avait promis en 1992 avec Maastricht, et ce que nous avons obtenu au bout de 26 ans !

Devant cette montée des revendications des gilets jaunes et de la colère contre l’homme aux pellicules, l’UPR a eu la bonne idée de monter un dossier juridique demandant la destitution du toutou de Trump via l’article 48 de la Constitution, pour manquements graves et répétés à son devoir.

M. Asselineau a également demandé officiellement, dans une interview, que les français s’approprient ce dossier juridique, et demandent clairement à leur député de prendre position pour ou contre cette destitution.

Les premières réponses des élus concernés (députés et sénateurs), collectées par l’UPR, se passent de commentaires : en ce 7 décembre, tous protègent l’homme de paille au détriment du peuple français, prouvant la corruption généralisée de l’hémicycle, et la contre-nature évidente de ceux que le système veut faire passer pour des opposants politiques !

Au moins désormais, les choses sont claires, nettes, et officielles pour tout le monde.

Petite fake news de plus : l’élysée a osé prétendre officiellement que tous les partis politiques français avait été invité à débattre avec le mari de Brigitte. FAUX !!! L’UPR, 4ème parti de France, avec 32500 adhérents au compteur, n’a reçu aucune invitation, soulignant ainsi, une nouvelle fois, que l’UPR est bien le seul et unique parti d’opposition au régime en place !

Gageons que le dossier juridique sus-nommé n’aura sûrement pas beaucoup aidé dans l’invitation élyséenne ! Il faut dire que parmi ceux qui veulent protéger Macron, beaucoup s’emploient actuellement à faire croire en une dissolution de l’AN parfaitement inutile, soulignant, là encore, qu’ils n’ont rien compris à l’affaire.

C’est tout le problème de gens habitués à mentir et manipuler, qui se retrouvent du jour au lendemain devant une foule qui ne les écoute plus !

Rappelons également que l’UPR est le seul parti de France systématiquement blacklisté dans les grands médias par le CSA, depuis 11 ans. Il n’y a qu’à se remémorer notre manifestation du 1er mai dernier, ou notre mouvement a réuni 3500 personnes dans une manifestation pacifique à Paris, passée honteusement sous silence, ou encore l’omerta sur notre université d’automne, qui a réuni 1200 personnes, pour se rendre compte à quel point l’information en France n’a plus aucune liberté et indépendance.

Cela étant,  il n’y a que deux moyens de changer durablement le monde : les urnes ou les armes.

Tous les gens à l’UPR savent parfaitement que les véritables ordres de démantèlement de la France proviennent de Bruxelles, de Francfort et de Washington, via les GOPÉ annuelles. Et dans ce sens, viser uniquement macron est aussi efficace que de traiter un cancer du poumon à coup de cigarettes.

Nous savons que si nous en sommes là, c’est aussi parce que le 4ème pouvoir qu’est la presse est complètement étouffé et contrôlé par quelques loups complices, dont il faudra tôt ou tard fortement limé les dents et les ongles, en demandant des comptes.

Quant à nos braves gilets jaunes, le fait qu’ils se déclarent eux-mêmes apolitiques exclue de fait une solution par les urnes. Nous verrons bien où les prochaines semaines nous mèneront, mais une chose est certaine : ceux qui protègent Macron ne semblent pas avoir compris que l’intéressé ne sera pas là demain pour les défendre et les protéger avec sa petite armée de CRS et son Benalla adoré. Face à un peuple en colère, pas la peine d’être un génie pour comprendre ce qui va se passer…

Idem pour ceux qui comptent utiliser blindés et armes lourdes contre le peuple de France : 85000 CRS dispersés contre un peuple uni et en colère laisse peu de doute sur la victoire finale. Sans compter que plus les violences policières deviendront monnaie courante, plus elles encourageront le peuple à se révolter encore davantage.

L’idéal serait évidemment que le locataire de l’élysée se retire de lui même par la grande porte (on peut toujours rêver). Quant à la dissolution de l’AN en sus,  elle est certes devenue indispensable, mais le problème de fond reste que ce sont les plus riches et les plus corrompus qui se paient les campagnes électorales les plus efficaces. Les chasser par la porte pour les voir revenir par la fenêtre, quel intérêt ?

Sans un homme fort au sommet de l’état, de la stature du président Asselineau, il ne peut y avoir de lutte efficace contre la corruption. L’exemple de Poutine en Russie est équivoque sur ce point. Certes : la Russie n’est pas un exemple de démocratie, mais on peut difficilement nier que Poutine a réussi à stabiliser et développer son pays, en défendant efficacement la souveraineté et les intérêts de ce dernier. Rien à voir avec la France et l’UE qui baissent leur froc aux premières sanctions américaines venues !

Sur ce, Vive le Frexit, et Vive la France Libre !

La paix assassinée

12 novembre 2018 : alors que les célébrations du 11 novembre viennent tout juste de se terminer, l’homme qui se prenait pour un président nous annonce fièrement que Facebook va accueillir des « régulateurs français pour travailler sur la lutte contre les contenus haineux ou offensants » .

À 6 mois des européennes, personne n’est dupe sur la manœuvre, face à une UPR plus en forme et remontée que jamais sur les réseaux sociaux et le web.

En outre, le CSA a bien été obligé de reconnaître publiquement que notre mouvement n’avait rien d’extrémiste, puisque classé judicieusement comme Divers par le Ministère de l’Intérieur, au-dessus des clivages gauche-droite habituels.

Comme nous ne cessons de le répéter, l’UPR est un parti de rassemblement temporaire, destiné à libérer le pays d’une bande de collabos et de traîtres qui n’a cessé de nous détruire, de nous vendre par partie, de démanteler notre droit du travail et nos services publics, au seul profit de 0,005% de crevards, qui possèdent aujourd’hui le contrôle total de tous nos grands  « merdias » !

En ces jours de commémoration, la conférence du 11 novembre de François Asselineau est d’autant plus symbolique par son lieu, puisque menée à la Taverne du Croissant, c’est-à-dire à l’endroit même où Jaurès fut assassiné le 31 juillet 1914 pour avoir osé prévenir de la dangerosité des alliances automatiques, et s’y être vigoureusement opposé.

On connaît la suite : quelques jours plus tard, la première guerre mondiale éclatait et se généralisait précisément par ce même jeu des alliances automatiques, menant à des millions de morts qui remplissent encore nos lieux de mémoires et autres cimetières militaires.

Le parallèle dressé par le président de l’UPR se veut ainsi un avertissement à tous ceux qui croient encore dans la fable d’une UE et d’une OTAN garants de paix, alors que tout nous prouve aujourd’hui le caractère belliqueux de l’OTAN, depuis la guerre en Irak et ses armes de destruction massives imaginaires (cf. sketch Dieudonné), jusqu’à la récente Syrie qu’il fallait détruire pour affaiblir encore plus les Russes, en passant par la destruction de la Lybie, pour ne prendre que quelques cas de l’histoire récente.

Alors que l’article 42 du TUE vassalise de fait tous les pays de l’UE à l’OTAN, et que les USA ne cessent de piétiner le droit international, en nous entraînant dans des guerres de ressources toujours plus illégales et immorales. Alors que l’OTAN accumule toujours plus d’armes à la frontière russe, et notamment des armes de destruction massives, bien réelles cette fois, en Belgique et en Allemagne. Alors que l’UE détruit en parallèle notre industrie militaire à coup de chiffres d’affaires minimum impossibles à atteindre. Alors qu’une bande d’enfoirés a vendu la turbine de nos centrales nucléaires à GE, et donc l’indépendance de nos SNA.

En enfin, alors que l’OTAN a lancé ses plus grandes manœuvres depuis la Guerre froide en Norvège, forçant les russes à réagir par d’autres exercices de tirs de missiles dans les eaux internationales, faut-il être fou pour ne pas craindre une nouvelle étincelle qui fera exploser la poudrière ?

Alors non Monsieur Macron : nous n’irons pas demain mourir pour vous sauver, vous et la bande de salopards qui vous commande depuis Washington. Nous n’irons pas demain tuer des russes qui ne nous ont pas agressé, et qui eux ont la chance d’avoir un vrai homme d’état à leur tête, lequel n’est certes pas parfait, mais dont on peut difficilement nier qu’il a su redresser son pays mal en point, et redonner à  son peuple une vision d’avenir !

Comprenez bien que les français ne verseront une goutte de leur sang pour vous, et si vous continuez dans la haute-trahison qui est votre moteur de toujours, nul doute qu’à terme, les français se ligueront ensemble pour vous renverser, comme ils l’ont déjà fait plusieurs fois avec leurs tyrans dans leur histoire. Mais il est vrai que vos connaissances dans ce domaine, comme dans bien d’autres malheureusement, n’arrivent pas à la cheville d’un certain François Asselineau…

Et vous pouvez toujours exacerber encore plus la colère des français via un « venez me chercher » qui vous reviendra dans la figure. L’histoire du monde l’a maintes fois prouvé, de l’Archiduc François Ferdinand et de son épouse jusqu’à Kennedy : les statuts sociaux ou politiques ne sont jamais à l’épreuve des balles.

De notre côté, à l’UPR, nous savons de toute façon que vous n’êtes qu’une marionnette de plus, et une fois l’UPR aux affaires, et le Frexit enclenché, vous aurez de toute façon des comptes à rendre. Profitez donc bien de vos voyages onéreux aux frais du contribuable français en nous insultant dès que vous êtes loin du sol français.

Sinon on a vu dernièrement un autre débile s’imaginer qu’il était intouchable, et oser prétendre qu’il était à lui seul la République !

Tout le monde aura ainsi constaté la pathologie évidente du sieur, qui a oublié qu’il n’y a qu’une seule République, une et indivisible : c’est le peuple français ! Porter une écharpe tricolore autour du cou ne fait pas de vous un intouchable : juste un salarié de la République payé par le contribuable, donc redevable envers ce dernier, et surtout un justiciable parmi d’autres.

Il est vrai que ce mangeur de soupe, payé depuis des années pour neutraliser 30% de l’ancienne gauche via ses plans Q à la noix, ne fait toujours que suivre les autres chiens européistes, en promettant une autre europe impossible à obtenir, comme l’a largement démontré l’UPR depuis 11 ans !

Il n’y aura pas plus de pitié à avoir avec les collabos des autres partis qui connaissaient tous parfaitement le fonctionnement mortifère de l’UE, mais qui ont passé ces 25 dernières années à nous mentir, en nous spoliant de notre démocratie, de notre indépendance et de notre souveraineté ! Ceux-là ont également fait le choix délibéré de la collaboration active avec une puissance étrangère, et auront donc des comptes à rendre le moment venu.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Fissures patriotiques

16 septembre 2018 : plusieurs surprises délirantes à noter ce jour.

Mémorial Charles-de-Gaulle

D’abord on apprend que l’Élysée a récemment rajouté la Croix de Lorraine à son emblème.

Pour ceux qui l’ignorerait, la Croix de Lorraine fut adoptée comme symbole de Résistance par les forces françaises libres durant le conflit 39-45. Dans l’esprit de l’époque, elle faisait contre-poids à la croix gammée de l’envahisseur, et on devine sans peine pourquoi elle fût retenue bien plus tard pour le mémorial Charles de Gaulle, à Colombey-les-deux-églises (Haute-Marne).

Parmi les symboles d’unité nationale (dont le rameau d’olivier utilisé par l’UPR), imposant un minimum de respect à tous les français pour qui les mots « Liberté », « Égalité » et « Fraternité » ont encore un sens, la Croix de Lorraine tient donc une place de choix, ce qui rend d’autant plus détestable son détournement et sa récupération au profit de traîtres à la nation, œuvrant à la destruction et l’asservissement de notre pays ! Nous y reviendrons plus loin.

MAJ 30/09/2018 : on apprend que le guignol parachuté par la loi Urvoas, en trahissant tous les principes d’égalité de temps de parole de la Vème République (comprenez en trichant), a encore le culot de se rendre sur la tombe du Général pour tenter de remonter la pente dans les sondages ! Décidément : rien ne nous sera épargné avec ce jean-foutre ! C’est dément !

Dans un registre plus léger, on a découvert cette semaine qu’une tasse  vendue sur la boutique de l’Élysée, estampillée « Porcelaine de Limoges », était en fait décorée à Toulouse, et apparemment fabriquée en Chine (preuve que la France « boit la tasse »). Bien entendu, l’objet frelaté a été retiré du site dès le pot aux roses découvert.

On appréciera également que la dite boutique n’affiche pas le mot « Tasse », mais « Mug », confirmant ainsi la pleine et entière soumission du président « carpette » à l’Empire anglo-saxon tout puissant. Ce type est décidément un véritable désastre ambulant pour la francophonie et le rayonnement de notre pays dans le reste du monde !

Maintenant il est vrai que son seul et unique rôle est de se coucher devant Bruxelles, et d’appliquer bassement les GOPÉ annuelles, qui consistent à vendre la France par petites tranches successives.  Après Alstom, les chantiers STX, etc, Bruxelles nous impose désormais de privatiser nos barrages hydrauliques, démontrant qu’il n’y a plus aucune limite en la matière : la France à vendre – tout doit disparaître ! Normal pour des banquiers qui ne produisent rien, et passent leur temps à brader le bien des autres.

Le récent effondrement du pont de Gênes (Italie), et les avertissements répétés de M. Asselineau sur l’état de délabrement de nos propres infrastructures (dossier sur lequel le président de l’UPR a lui-même travaillé, avant de se mettre en disponibilité), devrait pourtant inciter la puissance publique à ne surtout pas brader nos ouvrages d’art et autres réseaux au profit d’acteurs privés, sachant qu’à terme, le profit de quelques crevards l’emportera toujours sur la sécurité collective, notamment quand la rentabilité n’est pas au rendez-vous.

Mais la triste réalité, c’est que pour l’UE, tout ce qui est vendable doit impérativement être vendu. Et tant pis pour les victimes de Gênes qui étaient juste au mauvais endroit au mauvais moment, et les futurs morts à venir : seuls les banques ont droit à la vie éternelle, puisqu’elles ont les contribuables pour se renflouer (sauf la pestiférée Lehman-Brothers, bien entendu) !

On rappellera en passant que le Frexit nous ramènera directement l’équivalent annuel de 9 milliards d’€ (minimum) de plus dans les caisses, lesquels seront sans aucun doute la bienvenue pour faire tous les gros œuvres nécessaires dans ce pays.

Il est aussi intéressant de noter que suite à la catastrophe de Gênes, Matteo Salvini, vice-président du Conseil et ministre de l’Intérieur italien, n’a pas hésité à désigner publiquement les coupes budgétaires de Bruxelles comme seules responsables du délabrement général du réseau routier de la péninsule, confirmant à 100% l’analyse de notre président, et l’urgence absolue de quitter l’UE. Continuer à nourrir des pays de l’est bénéficiaires nets au budget de l’UE, et qui en guise de remerciements nous crachent dessus, le tout au détriment de la sécurité de nos propres citoyens et familles, ça suffit !

Pour en revenir à la récente boutique élyséenne, j’ai halluciné devant certains t-shirts qui sont du niveau d’un marché de province, notamment un qui affiche un « Croquignolesque », un autre « Poudre de Perlimpinpin », et enfin un troisième qui reprend l’ombre du fils de Rothschild durant la dernière coupe de monde, avec ce comportement d’ado juvénile qui avait tant  interpellé les russes.

Une telle camelote n’a clairement pas sa place sur un site institutionnel prestigieux, en particulier celui du pays des Droits de l’Homme. Si j’osais la métaphore, je dirais que nous sommes dans la boutique d’un zoo, ou d’un parc animalier, ce qui en dit quand même long sur la folie du locataire élyséen. On vit quand même dans un pays avec une histoire suffisamment  riche et prestigieuse pour vendre autre chose que des navets et des cacahuètes !

Quant à comprendre l’intérêt de se payer la bobine d’un escroc sur une tasse, avec le drapeau bleu aux étoiles d’or en toile de fond, cela relève de l’autopsie touristique – le pigeon n’est pas une espèce migratoire protégée.

Sans tomber dans la misogynie, je ne comprends pas non plus ce que fait la concubine de l’intéressé sur certains articles de la boutique. Autant Miss France peut se targuer d’avoir été élue. Autant la locataire de l’Élysée ne doit sa présence qu’à la seule fonction temporaire de son mari. Quant au culte du glamour en politique : non, merci – le sentimental et l’affectif n’ont pas leur place dans ce domaine.

Je soutiens d’ailleurs que ceux qui ont voté « utile » en 2017 ne méritaient pas leur carte d’électeur, parce qu’on ne donne pas une arme électorale à des enfants sans cervelle ni conviction. Soutenir un politique pour son programme et ses convictions, oui. Soutenir un politique pour son physique et sa capacité à hurler son orgasme dans les micros, non. C’était pourtant facile de ne pas se tromper…

Et puis quoi : bientôt un « Mug » signé Benalla avec le slogan « J’aime LREM », « Vive les flics ! » ou « Fuck le sénat ! »  ? Car on en est à ce niveau là, même si – pas de chance pour cette fois-ci – la Stasi privée du Führer français n’aura pas vécu assez longtemps pour recevoir son emblème dédiée, malgré son désormais célèbre  slogan »Venez me chercher !« , passé à la postérité.

De là à penser que la Croix de Lorraine a été précisément rajoutée au logo de l’Élysée, juste pour maintenir l’illusion d’un pays libre et démocratique dans la tête du français moyen, en tentant de faire oublier la police privée avortée du dictateur, je ne suis pas de ceux qui diront que – mais il a quand même de fortes chances.

Maintenant il faut bien comprendre que derrière ces frasques grotesques de l’Élysée se cachent surtout la réalité d’une UE et d’un € à bout de souffle, et ce à un an des européennes, et moins de 200 jours du Brexit.

La question actuelle n’est pas tant de savoir si M. Salvini se fera finalement  « sirizer » comme Tsipras en Grèce, mais de se rendre compte que le solde de la balance Target2 (bientôt 1000 milliards d’€) n’est plus tenable pour les économistes allemands et la Bundesbank, ce qui pourrait signer la fin de l’€ plus tôt qu’on ne le croît.

Avec une UPR qui frôle les 32000 adhérents (septembre 2018), et un climat général de plus en plus eurocritique, on sent bien que les banquiers de la CE ont la frousse, et ne savent plus quoi inventer pour continuer à gruger l’opinion.

Il sera ainsi très intéressant d’observer, dans les prochains mois, les nouvelles tentatives désespérées de Bruxelles pour tenter de draguer ou de faire taire les électeurs rebelles.

D’aucuns me diront que ça a déjà commencé, avec le remplacement programmé de l’alcoolique de service par un européiste plus « convenable » au sommet de la CE. Vite : cachez-nous ce brave M. Juncker titubant que nous ne saurions voir, histoire de tenter de redonner une crédibilité de pacotille à une mafia de fonctionnaires qui n’a été élue par personne, mais qui décide de tout et nous impose sa loi ! Voilà toute l’UE fédérale : une dictature qui ne dit pas son nom !

Et qui sait : peut-être que les déçus du FN et de FI auront d’ici là fini par comprendre l’embrouille de leurs dirigeants respectifs, qui d’un côté font semblant de dénoncer les problèmes de l’UE, mais de l’autre, vivent sur la bête et n’ont aucune intention de la quitter ?

En tout cas, on peut parier sur le fait que l’UPR va continuer à se développer et à grossir d’ici là, parce que même bâillonnée, même interdite de grands médias, tôt ou tard, la vérité finit toujours pas l’emporter.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !