La paix assassinée

12 novembre 2018 : alors que les célébrations du 11 novembre viennent tout juste de se terminer, l’homme qui se prenait pour un président nous annonce fièrement que Facebook va accueillir des « régulateurs français pour travailler sur la lutte contre les contenus haineux ou offensants » .

À 6 mois des européennes, personne n’est dupe sur la manœuvre, face à une UPR plus en forme et remontée que jamais sur les réseaux sociaux et le web.

En outre, le CSA a bien été obligé de reconnaître publiquement que notre mouvement n’avait rien d’extrémiste, puisque classé judicieusement comme Divers par le Ministère de l’Intérieur, au-dessus des clivages gauche-droite habituels.

Comme nous ne cessons de le répéter, l’UPR est un parti de rassemblement temporaire, destiné à libérer le pays d’une bande de collabos et de traîtres qui n’a cessé de nous détruire, de nous vendre par partie, de démanteler notre droit du travail et nos services publics, au seul profit de 0,005% de crevards, qui possèdent aujourd’hui le contrôle total de tous nos grands  « merdias » !

En ces jours de commémoration, la conférence du 11 novembre de François Asselineau est d’autant plus symbolique par son lieu, puisque menée à la Taverne du Croissant, c’est-à-dire à l’endroit même où Jaurès fut assassiné le 31 juillet 1914 pour avoir osé prévenir de la dangerosité des alliances automatiques, et s’y être vigoureusement opposé.

On connaît la suite : quelques jours plus tard, la première guerre mondiale éclatait et se généralisait précisément par ce même jeu des alliances automatiques, menant à des millions de morts qui remplissent encore nos lieux de mémoires et autres cimetières militaires.

Le parallèle dressé par le président de l’UPR se veut ainsi un avertissement à tous ceux qui croient encore dans la fable d’une UE et d’une OTAN garants de paix, alors que tout nous prouve aujourd’hui le caractère belliqueux de l’OTAN, depuis la guerre en Irak et ses armes de destruction massives imaginaires (cf. sketch Dieudonné), jusqu’à la récente Syrie qu’il fallait détruire pour affaiblir encore plus les Russes, en passant par la destruction de la Lybie, pour ne prendre que quelques cas de l’histoire récente.

Alors que l’article 42 du TUE vassalise de fait tous les pays de l’UE à l’OTAN, et que les USA ne cessent de piétiner le droit international, en nous entraînant dans des guerres de ressources toujours plus illégales et immorales. Alors que l’OTAN accumule toujours plus d’armes à la frontière russe, et notamment des armes de destruction massives, bien réelles cette fois, en Belgique et en Allemagne. Alors que l’UE détruit en parallèle notre industrie militaire à coup de chiffres d’affaires minimum impossibles à atteindre. Alors qu’une bande d’enfoirés a vendu la turbine de nos centrales nucléaires à GE, et donc l’indépendance de nos SNA.

En enfin, alors que l’OTAN a lancé ses plus grandes manœuvres depuis la Guerre froide en Norvège, forçant les russes à réagir par d’autres exercices de tirs de missiles dans les eaux internationales, faut-il être fou pour ne pas craindre une nouvelle étincelle qui fera exploser la poudrière ?

Alors non Monsieur Macron : nous n’irons pas demain mourir pour vous sauver, vous et la bande de salopards qui vous commande depuis Washington. Nous n’irons pas demain tuer des russes qui ne nous ont pas agressé, et qui eux ont la chance d’avoir un vrai homme d’état à leur tête, lequel n’est certes pas parfait, mais dont on peut difficilement nier qu’il a su redresser son pays mal en point, et redonner à  son peuple une vision d’avenir !

Comprenez bien que les français ne verseront une goutte de leur sang pour vous, et si vous continuez dans la haute-trahison qui est votre moteur de toujours, nul doute qu’à terme, les français se ligueront ensemble pour vous renverser, comme ils l’ont déjà fait plusieurs fois avec leurs tyrans dans leur histoire. Mais il est vrai que vos connaissances dans ce domaine, comme dans bien d’autres malheureusement, n’arrivent pas à la cheville d’un certain François Asselineau…

Et vous pouvez toujours exacerber encore plus la colère des français via un « venez me chercher » qui vous reviendra dans la figure. L’histoire du monde l’a maintes fois prouvé, de l’Archiduc François Ferdinand et de son épouse jusqu’à Kennedy : les statuts sociaux ou politiques ne sont jamais à l’épreuve des balles.

De notre côté, à l’UPR, nous savons de toute façon que vous n’êtes qu’une marionnette de plus, et une fois l’UPR aux affaires, et le Frexit enclenché, vous aurez de toute façon des comptes à rendre. Profitez donc bien de vos voyages onéreux aux frais du contribuable français en nous insultant dès que vous êtes loin du sol français.

Sinon on a vu dernièrement un autre débile s’imaginer qu’il était intouchable, et oser prétendre qu’il était à lui seul la République !

Tout le monde aura ainsi constaté la pathologie évidente du sieur, qui a oublié qu’il n’y a qu’une seule République, une et indivisible : c’est le peuple français ! Porter une écharpe tricolore autour du cou ne fait pas de vous un intouchable : juste un salarié de la République payé par le contribuable, donc redevable envers ce dernier, et surtout un justiciable parmi d’autres.

Il est vrai que ce mangeur de soupe, payé depuis des années pour neutraliser 30% de l’ancienne gauche via ses plans Q à la noix, ne fait toujours que suivre les autres chiens européistes, en promettant une autre europe impossible à obtenir, comme l’a largement démontré l’UPR depuis 11 ans !

Il n’y aura pas plus de pitié à avoir avec les collabos des autres partis qui connaissaient tous parfaitement le fonctionnement mortifère de l’UE, mais qui ont passé ces 25 dernières années à nous mentir, en nous spoliant de notre démocratie, de notre indépendance et de notre souveraineté ! Ceux-là ont également fait le choix délibéré de la collaboration active avec une puissance étrangère, et auront donc des comptes à rendre le moment venu.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Fissures patriotiques

16 septembre 2018 : plusieurs surprises délirantes à noter ce jour.

Mémorial Charles-de-Gaulle

D’abord on apprend que l’Élysée a récemment rajouté la Croix de Lorraine à son emblème.

Pour ceux qui l’ignorerait, la Croix de Lorraine fut adoptée comme symbole de Résistance par les forces françaises libres durant le conflit 39-45. Dans l’esprit de l’époque, elle faisait contre-poids à la croix gammée de l’envahisseur, et on devine sans peine pourquoi elle fût retenue bien plus tard pour le mémorial Charles de Gaulle, à Colombey-les-deux-églises (Haute-Marne).

Parmi les symboles d’unité nationale (dont le rameau d’olivier utilisé par l’UPR), imposant un minimum de respect à tous les français pour qui les mots « Liberté », « Égalité » et « Fraternité » ont encore un sens, la Croix de Lorraine tient donc une place de choix, ce qui rend d’autant plus détestable son détournement et sa récupération au profit de traîtres à la nation, œuvrant à la destruction et l’asservissement de notre pays ! Nous y reviendrons plus loin.

MAJ 30/09/2018 : on apprend que le guignol parachuté par la loi Urvoas, en trahissant tous les principes d’égalité de temps de parole de la Vème République (comprenez en trichant), a encore le culot de se rendre sur la tombe du Général pour tenter de remonter la pente dans les sondages ! Décidément : rien ne nous sera épargné avec ce jean-foutre ! C’est dément !

Dans un registre plus léger, on a découvert cette semaine qu’une tasse  vendue sur la boutique de l’Élysée, estampillée « Porcelaine de Limoges », était en fait décorée à Toulouse, et apparemment fabriquée en Chine (preuve que la France « boit la tasse »). Bien entendu, l’objet frelaté a été retiré du site dès le pot aux roses découvert.

On appréciera également que la dite boutique n’affiche pas le mot « Tasse », mais « Mug », confirmant ainsi la pleine et entière soumission du président « carpette » à l’Empire anglo-saxon tout puissant. Ce type est décidément un véritable désastre ambulant pour la francophonie et le rayonnement de notre pays dans le reste du monde !

Maintenant il est vrai que son seul et unique rôle est de se coucher devant Bruxelles, et d’appliquer bassement les GOPÉ annuelles, qui consistent à vendre la France par petites tranches successives.  Après Alstom, les chantiers STX, etc, Bruxelles nous impose désormais de privatiser nos barrages hydrauliques, démontrant qu’il n’y a plus aucune limite en la matière : la France à vendre – tout doit disparaître ! Normal pour des banquiers qui ne produisent rien, et passent leur temps à brader le bien des autres.

Le récent effondrement du pont de Gênes (Italie), et les avertissements répétés de M. Asselineau sur l’état de délabrement de nos propres infrastructures (dossier sur lequel le président de l’UPR a lui-même travaillé, avant de se mettre en disponibilité), devrait pourtant inciter la puissance publique à ne surtout pas brader nos ouvrages d’art et autres réseaux au profit d’acteurs privés, sachant qu’à terme, le profit de quelques crevards l’emportera toujours sur la sécurité collective, notamment quand la rentabilité n’est pas au rendez-vous.

Mais la triste réalité, c’est que pour l’UE, tout ce qui est vendable doit impérativement être vendu. Et tant pis pour les victimes de Gênes qui étaient juste au mauvais endroit au mauvais moment, et les futurs morts à venir : seuls les banques ont droit à la vie éternelle, puisqu’elles ont les contribuables pour se renflouer (sauf la pestiférée Lehman-Brothers, bien entendu) !

On rappellera en passant que le Frexit nous ramènera directement l’équivalent annuel de 9 milliards d’€ (minimum) de plus dans les caisses, lesquels seront sans aucun doute la bienvenue pour faire tous les gros œuvres nécessaires dans ce pays.

Il est aussi intéressant de noter que suite à la catastrophe de Gênes, Matteo Salvini, vice-président du Conseil et ministre de l’Intérieur italien, n’a pas hésité à désigner publiquement les coupes budgétaires de Bruxelles comme seules responsables du délabrement général du réseau routier de la péninsule, confirmant à 100% l’analyse de notre président, et l’urgence absolue de quitter l’UE. Continuer à nourrir des pays de l’est bénéficiaires nets au budget de l’UE, et qui en guise de remerciements nous crachent dessus, le tout au détriment de la sécurité de nos propres citoyens et familles, ça suffit !

Pour en revenir à la récente boutique élyséenne, j’ai halluciné devant certains t-shirts qui sont du niveau d’un marché de province, notamment un qui affiche un « Croquignolesque », un autre « Poudre de Perlimpinpin », et enfin un troisième qui reprend l’ombre du fils de Rothschild durant la dernière coupe de monde, avec ce comportement d’ado juvénile qui avait tant  interpellé les russes.

Une telle camelote n’a clairement pas sa place sur un site institutionnel prestigieux, en particulier celui du pays des Droits de l’Homme. Si j’osais la métaphore, je dirais que nous sommes dans la boutique d’un zoo, ou d’un parc animalier, ce qui en dit quand même long sur la folie du locataire élyséen. On vit quand même dans un pays avec une histoire suffisamment  riche et prestigieuse pour vendre autre chose que des navets et des cacahuètes !

Quant à comprendre l’intérêt de se payer la bobine d’un escroc sur une tasse, avec le drapeau bleu aux étoiles d’or en toile de fond, cela relève de l’autopsie touristique – le pigeon n’est pas une espèce migratoire protégée.

Sans tomber dans la misogynie, je ne comprends pas non plus ce que fait la concubine de l’intéressé sur certains articles de la boutique. Autant Miss France peut se targuer d’avoir été élue. Autant la locataire de l’Élysée ne doit sa présence qu’à la seule fonction temporaire de son mari. Quant au culte du glamour en politique : non, merci – le sentimental et l’affectif n’ont pas leur place dans ce domaine.

Je soutiens d’ailleurs que ceux qui ont voté « utile » en 2017 ne méritaient pas leur carte d’électeur, parce qu’on ne donne pas une arme électorale à des enfants sans cervelle ni conviction. Soutenir un politique pour son programme et ses convictions, oui. Soutenir un politique pour son physique et sa capacité à hurler son orgasme dans les micros, non. C’était pourtant facile de ne pas se tromper…

Et puis quoi : bientôt un « Mug » signé Benalla avec le slogan « J’aime LREM », « Vive les flics ! » ou « Fuck le sénat ! »  ? Car on en est à ce niveau là, même si – pas de chance pour cette fois-ci – la Stasi privée du Führer français n’aura pas vécu assez longtemps pour recevoir son emblème dédiée, malgré son désormais célèbre  slogan »Venez me chercher !« , passé à la postérité.

De là à penser que la Croix de Lorraine a été précisément rajoutée au logo de l’Élysée, juste pour maintenir l’illusion d’un pays libre et démocratique dans la tête du français moyen, en tentant de faire oublier la police privée avortée du dictateur, je ne suis pas de ceux qui diront que – mais il a quand même de fortes chances.

Maintenant il faut bien comprendre que derrière ces frasques grotesques de l’Élysée se cachent surtout la réalité d’une UE et d’un € à bout de souffle, et ce à un an des européennes, et moins de 200 jours du Brexit.

La question actuelle n’est pas tant de savoir si M. Salvini se fera finalement  « sirizer » comme Tsipras en Grèce, mais de se rendre compte que le solde de la balance Target2 (bientôt 1000 milliards d’€) n’est plus tenable pour les économistes allemands et la Bundesbank, ce qui pourrait signer la fin de l’€ plus tôt qu’on ne le croît.

Avec une UPR qui frôle les 32000 adhérents (septembre 2018), et un climat général de plus en plus eurocritique, on sent bien que les banquiers de la CE ont la frousse, et ne savent plus quoi inventer pour continuer à gruger l’opinion.

Il sera ainsi très intéressant d’observer, dans les prochains mois, les nouvelles tentatives désespérées de Bruxelles pour tenter de draguer ou de faire taire les électeurs rebelles.

D’aucuns me diront que ça a déjà commencé, avec le remplacement programmé de l’alcoolique de service par un européiste plus « convenable » au sommet de la CE. Vite : cachez-nous ce brave M. Juncker titubant que nous ne saurions voir, histoire de tenter de redonner une crédibilité de pacotille à une mafia de fonctionnaires qui n’a été élue par personne, mais qui décide de tout et nous impose sa loi ! Voilà toute l’UE fédérale : une dictature qui ne dit pas son nom !

Et qui sait : peut-être que les déçus du FN et de FI auront d’ici là fini par comprendre l’embrouille de leurs dirigeants respectifs, qui d’un côté font semblant de dénoncer les problèmes de l’UE, mais de l’autre, vivent sur la bête et n’ont aucune intention de la quitter ?

En tout cas, on peut parier sur le fait que l’UPR va continuer à se développer et à grossir d’ici là, parce que même bâillonnée, même interdite de grands médias, tôt ou tard, la vérité finit toujours pas l’emporter.

Vive le Frexit, et vive la France Libre !

Le parlement juif européen

9 août 2018 : j’ai d’abord crû à une mauvaise blague, mais il semblerait bien que ça n’en soit pas une : le parlement juif européen existe bel et bien dans les locaux de l’UE – et ce depuis 2012 !

Je reprends donc ici les questions d’une vidéo de Nabila Chouia dont je ne partage pas le diagnostique de complot, mais qui me semblent néanmoins tout à fait pertinentes :

  • qui a élu ces 120 parlementaires juifs qui occupent aujourd’hui les locaux de l’UE à Bruxelles ?
  • qui finance ce parlement ?
  • quel est l’objectif politique ?
  • quel est l’article de loi dans la constitution européenne qui autorise une entité religieuse à créer un parlement au sein de l’UE à Bruxelles ?
  • pourquoi les médias de masse n’en parlent pas ?

En ce qui me concerne, la religion n’a rien à foutre avec la politique – on n’a pas séparé le clergé et l’état en France pour se retrouver 200 ans plus tard sous le joug d’autres religieux au niveau de l’UE !  Si les juifs veulent avoir des réflexions et un parlement à eux sur la question européenne, c’est leur droit, mais en aucun cas au sein de l’UE, et dans tous les cas sur leurs fonds propres !

Imposer un parlement religieux au sein même de l’UE est un très mauvais message, qui ne peut que conduire à la frustration des autres obédiences, et à la colère légitime des athées qui sont très heureux de vivre loin des dogmes, et des fanatiques de tous bords.

Enfin, au moment où le conflit israëlo-palestinien n’en finit pas d’aligner des massacres sans fin, avec un recours régulier à la force complètement disproportionné face à des civils, et que les nombreuses colonisations successives et illégales de l’état hébreux sont autant de doigts d’honneur au droit international, ce passe-droit de l’UE ne peut que renforcer et nourrir l’antisémitisme latent de gens qui n’ont pas la capacité intellectuelle de discernement. 

Car beaucoup de nos compatriotes oublient en effet que les juifs européens ne sont pas les juifs israéliens, et qu’au sein même de la communauté juive européenne, beaucoup dénoncent l’attitude guerrière et jusqu’au-boutiste des dirigeants d’Israël depuis des dizaines années qui leur porte préjudice au quotidien, ainsi, c’est vraiment jeter de l’huile sur le feu que d’avoir autorisé la création de ce parlement « parallèle » et parfaitement illégitime !

Certes, on sait à l’UPR que le PE actuel n’est qu’un vaste repère de godillots « soupards », canards boiteux en transit, ou déchus, dans leurs pays d’origine respectifs (on pourrait presque utiliser le terme de « déchets politiques » dans le cas français). Cela étant, le fait juridique est que pour le moment encore, le parlement européen est bien le seul parlement légitime de l’UE, voté par les peuples souverains, avec des élections ouvertes.

C’est donc une double insulte, à la fois aux peuples souverains, mais aussi au parlement européen, que d’avoir autorisé ce parlement juif au sein même de l’UE !

En tout cas, même pour nos amis européistes, l’existence de ce parlement juif mérite d’être connue et diffusée – à chacun ensuite d’en penser ce qu’il veut. Côté UPR, de toute façon, cette information ne fera que renforcer les convictions de ceux pour qui le Frexit est devenu une évidence depuis longtemps.

On savait déjà que l’UE était totalitaire, voilà en plus qu’elle a viré au  mysticisme, composante caractéristique et commune de tous les dictatures de l’histoire !

Comme disait ce cher Albert : « La folie, c’est de refaire toujours la même chose, et d’attendre des résultats différents. »

 

Les vautours sont là !

25 juin 2018 :  M. Drahi, pour éponger ses dettes, suite à sa gestion malheureuse, a donc choisi de vendre ses pylônes pour se renflouer. Jusque là, rien d’anormal me direz-vous pour une entreprise de télécommunication.

Sauf qu’il ne les a pas vendu à d’autres opérateurs français, mais directement à des fonds de pension américains. Et oui : M. Macron et M. Drahi, copains comme cochons, n’ont que faire des intérêts des français. Et cette affaire de démontrer clairement que M. Macron entretient d’excellentes relations avec ces mêmes fonds de pension US, si prompts à venir aider son pauvre ami en manque de liquidités…

Pendant ce temps-là, l’ambassade américaine à Paris continue tranquillement de nous espionner jour après jour, avec ses antennes planquées dans un dernier étage complètement factice ! (M. Asselineau s’est d’ailleurs engagé à faire retirer ces « grandes oreilles », et dans le cas où les américains refuseraient d’obtempérer, à fermer  l’ambassade US à Paris). Et nul doute qu’avec la prise en main sur cette infrastructure clé  de nos réseaux sans-fil, les vautours étendront, de plus belle, leur emprise de renseignement encore plus loin, en toute discrétion !

Bref, n’importe quel état responsable et souverain aurait mis d’emblée son veto sur une telle vente, arguant du fait qu’elle touche directement les intérêts nationaux français. Mais dans cette UE du libéralisme sauvage, qui démantèle nos fleurons industriels (Alstom, STX,  SNCF, les barrages hydrauliques, etc), il est devenu impossible d’empêcher les vautours d’arriver sur nos pylônes !

Et alors que la protection de notre infrastructure télécom et nos réseaux, dans ce début de 21ème siècle, devrait logiquement faire partie des priorités absolues, nous assistons, une nouvelle fois, à une haute-trahison caractérisée du banquier de l’élysée, totalement insensible au mot souveraineté et défense de la nation, ce qui est bien compréhensible vu qu’il n’a même pas servi dans l’armée, et qu’à peine parachuté par l’oligarchie, il a limogé un gradé qui osait lui tenir tête. Ce type ne sait faire qu’une seule et unique chose : vendre le bien d’autrui au plus offrant.

S’il est impossible actuellement d’attaquer ce triste personnage en justice, vu le retrait du Crime de Haute-Trahison du président de la République de notre Constitution, voté au moment même où M. Sarkozy vendait la souveraineté de notre armée à l’OTAN via les contrats dits « Open Bar », il n’y a aucun doute que le jour où la France recouvrera sa liberté, via un Frexit devenu urgentissime, tous ces braves gens auront des comptes à rendre, et, nul doute qu’ils seront particulièrement salés.

Src:  https://www.latribune.fr/technos-medias/pourquoi-altice-et-bouygues-telecom-vendent-leurs-pylones-de-telephonie-mobile-782848.html

 

La PEG – Prostitution Européenne Généralisée

9 mai 2018 : la farce de ce jour se nomme « journée de l’europe », et correspond à une journée complète de propagande gratuite, menée tambour battant dans tous les médias européistes, histoire de bien bourrer le moût du français moyen, en lui faisant passer des vessies pour des lanternes.

Outre notre article d’hier, qui portait sur des petits trolls venus temporairement faire passer l’UPR pour une obédience maçonnique qu’elle n’est pas et ne sera jamais, il faut reconnaître que globalement, les attaques contre le parti se multiplient.

En ce moment par exemple, sur une plateforme vidéo bien connue, on observe quelques quidams venir jouer les arlésiennes, en expliquant au monde entier pourquoi ils ne renouvellent pas leur adhésion à l’UPR.

Premier problème : dans la grande majorité des cas, nous n’avons aucune preuve que ces gens aient seulement adhéré un jour, et il est vrai que sur internet, se faire passer pour ce que l’on est pas, est relativement aisé.

Maintenant quand la preuve existe, on peut comprendre que des militants déçus par un aspect ou un autre du mouvement, quittent l’UPR pour protester. Le plus souvent, c’est un manque de reconnaissance qui en est la cause. Parfois ce sont des décisions du bureau national qui ne plaisent pas à tout le monde. D’autre fois c’est la lenteur administrative entre Paris et la province (et inversement) qui finit par lasser. On trouve aussi des « guerriers », qui aimeraient en découdre plus avec les autres mouvements, et se montrer davantage dans les rues ou dans les manifestations, etc.

Il y a 1000 raisons d’aimer ou de détester notre mouvement, mais je me permets quand même de rappeler, à ceux qui quittent le navire officiel, qu’ils oublient un peu vite contre qui nous nous battons !

Nous avons en face de nous les gens les plus riches et les plus puissants de la planète, et ce n’est pas en nous divisant, et en lâchant le gouvernail au premier coup de vent venu, qu’on changera les choses. Comme dans toute autre association, on tombe tôt ou tard en désaccord sur un ou plusieurs points, ou sur une ou plusieurs décisions ou déclarations. Mais il ne faut jamais oublier l’objectif commun de base, quitte à se faire parfois violence en laissant son amour propre de côté !

Cela étant dit, chacun est bien entendu libre d’adhérer ou non, et de se retirer à tout moment, et pour toutes les raisons du monde.

Aux quelques militants de bonne foi, qui se retirent pour X raisons, je pose quand même la question de savoir si casser du bois sur leur ancien parti, via vidéo interposée, est le meilleur moyen de défendre ce en quoi ils croient ? Parce qu’il faut quand même rappeler qu’à part l’UPR, tous les autres partis sont européistes à fond, et n’ont aucune intention de ne nous sortir de la merde dans laquelle nous sommes plongés – bien au contraire ! Donc vous voulez sortir, ok. Mais pour aller où ? Chez un enfoiré ex-FN qui plagie le discours d’Asselineau comme le brave petit moustique européiste insignifiant qu’il est ? La bonne blague !

Maintenant en dehors de ces cas, globalement rarissimes face aux quelques 31200 adhérents officiels actuels, le nombre croissant de faux témoignages, avec des gens dont la mauvaise foi est évidente, pose question. Ces gens sont-ils juste payés pour nous discréditer, où sont-ils simplement et naturellement cons ?

Non parce que vraiment : le discours diffamant de certains est tel qu’on est plus proche de gens à interner d’urgence pour problèmes psychiatriques, que de gens logiques et raisonnés, sachant utiliser des arguments tangibles et vérifiables. Et là, je ne parle même pas de ceux qui présentent des difficultés d’élocution.

Bref, en ce grand jour de baise collective, offert gratuitement par nos journalistes européistes, venus lécher le cul des banquiers de Bruxelles, on se demande sérieusement comment les français peuvent encore supporter ce viol collectif de notre souveraineté et de nos intérêts qu’est la construction européenne.

A croire que certains aiment vraiment se faire mal, et pas seulement aux yeux et aux oreilles.

L’art de la guerre en politique

8 mai 2018 : Plus un mouvement politique grossi en taille et en nombre, et plus il devient sujet aux attaques débiles et mensongères de ses adversaires. C’est d’autant plus vrai quand vous êtes un parti d’opposition – le seul en fait – à dire la vérité aux français, à savoir que la grande majorité de nos problèmes financiers et sociaux sont la conséquence directe de notre appartenance (et soumission) à l’UE, l’euro, et l’OTAN.

Ainsi depuis une bonne journée maintenant, un « sous-marin » qui se fait passer pour l’UPR a créé une superbe fake news internet, voulant faire croire que notre mouvement serait proche d’obédiences maçonniques, ce qui n’est évidemment pas le cas, et ne le sera jamais.

Pas la peine de faire partie du bureau national pour comprendre immédiatement qu’on a à faire à des militants d’autres partis, venus torpiller un compteur d’adhérents qui vient tout juste de dépasser les 31200, et qui commence sérieusement à inquiéter les fascistes qui nous refusent l’accès aux grands médias !

Mais le plus amusant, c’est de voir que certains militants UPR, qui devraient pourtant être habitués à la désinformation de nos adversaires de par leur ancienneté dans le mouvement, sont à la limite de tomber dans le panneau. Venant de la part de gens qui, en rejoignant l’UPR, ont quand même prouvé qu’ils savaient utiliser leur cerveau, ce manque de critique choque quand même un tantinet...

On peut certes fustiger le manque de réaction de notre président, mais il faut bien comprendre d’abord que l’intéressé ne peut pas perdre son temps à démentir chaque petit con venu foutre le bordel sur internet – il y passerait sa vie, et ne ferait plus rien à côté !

En outre, prendre du recul permet de bien se renseigner sur ses adversaires, et de faire le ménage qui s’impose le moment venu. Dans le cas présent, il y a peu de doute que le bureau sanctionnera comme il se doit les personnes concernées.

Enfin, dans toutes les entreprises et groupements politiques, c’est aussi le rôle des lieutenants que de protéger le président des petits malfrats, ce qui a ici parfaitement fonctionné. Donc ceux qui s’offusquent de l’absence de réaction de la part du chef feraient bien de réfléchir un peu plus, et de se calmer.

La bonne nouvelle au final, c’est que cette affaire révèle surtout la peur qui s’installe chez nos adversaires, car si nous étions insignifiants et inoffensifs, on se garderait bien de nous attaquer ainsi !

Prenons donc cette histoire avec le sourire, et remercions nos adversaires pour cet « honneur » qu’ils nous font ! Contrairement à eux, nous n’avons pas besoin de fake news pour exister et nous développer !

Delicious, it’s delicious

4 mai 2018 : Un petit moment d’humour dans ce monde de brute, dédié au locataire de l’Élysée qui continue à se ridiculiser et à nous ridiculiser partout sur la planète.

Grâce à lui, nous savons désormais que la femme du premier ministre australien est « bonne », ce que Brigitte appréciera sûrement, et que nous autres, pauvres français incultes et insignifiants, allons encore « manger » de la merde européiste à la sauce GOPÉ, pendant au moins 4 longues années encore…

Et dire que certains prenaient Hollande pour un bouffon maladroit. Là, on vient définitivement d’enfoncer la fosse des Mariannes, en tapant direct dans le noyau de fer ! Hein mon Bichonnet !

Vox populi

1er mai 2018 : en politique comme ailleurs, on ne peut gagner tout le temps, mais on ne peut pas perdre tout le temps non plus. Et ce jour est clairement une victoire pour l’UPR, qui a réussi un splendide tour de force.

Car le moins que l’on puisse dire, c’est que pour sa première participation aux manifestations du 1er mai, l’UPR a frappé particulièrement fort !

D’abord en nombre – il suffit de regarder la vidéo du cortège de l’UPR, avec plus de 3450 manifestants, qui ont couvert le pavé sur des centaines de mètres de rue, soit quand même plus de 10% (!) du total des manifestants parisiens ce jour, ce qui, pour un parti censuré par les fascistes du CSA et leurs maîtres de l’élysée et de matignon depuis 11 ans, est tout simplement remarquable !

Qui plus est, la manifestation de l’UPR s’est déroulée sans heurts ni casses, sous une météo agréable, dans une excellente ambiance générale ! Bref, que du bonheur !

Quant à ceux qui découvriraient l’UPR, et qui se demanderaient pourquoi notre cortège n’a pas défilé avec les syndicats, rappelons que les syndicats français, et européens, sont tous payés par l’UE, via la Confédération Européenne des Syndicats, pour entretenir la colère populaire contre les dirigeants des pays respectifs, en oubliant de préciser que les lois travail, les délocalisations, ou la mort des acquis sociaux, sont toutes issues du même moule bruxellois

Saluons en passant nos amis syndicalistes « réalistes », adhérents UPR, qui s’emploient à faire éclater la vérité, face à leurs dirigeants syndicaux qui manipulent leurs bases respectives, exactement comme les médias du CSA manipulent et formatent l’opinion publique, en faisant croire que le Frexit serait un replis sur soi, empreint d’abominable extrémisme latent ou  de regret du monde passé.

Que nenni : c’est l’UE qui est une dictature des peuples, menée par 16 commissaires européens non élus, qui dictent leurs GOPÉ derrière leurs bureaux, et jouent les shérifs à coup de prunes quand un pays met trop de temps à s’aligner sur la volonté de l’empire banquier européiste  tout puissant et son modèle ultra-libéral.

Quant au petit con d’ex-extrême droite, récupéré et médiatisé par l’oligarchie pour singer le discours de l’UPR, et lui donner un accent extrémiste qu’il n’a pas (et qu’il n’aura jamais, l’UPR étant classé « Divers » par le Ministère de l’Intérieur lui-même), personne n’a vu ses manifestants aujourd’hui – pas la peine de demander pourquoi !

En attendant, le compteur UPR vient de dépasser les 31100 adhérents, et continue d’augmenter jour après jour !

Et comme d’habitude, les journaux de ce soir font l’impasse totale sur notre manifestation, en manipulant les drogués à coup d’articles sur les casseurs de l’autre défilé, sûrement  payés par Soros & Cie pour foutre la merde, agrémentés de quelques politicards véreux habituels pour s’en offusquer. On aurait du faire une minute de silence, à la mémoire de la presse française autrefois libre et indépendante, que les européistes ont littéralement assassiné en 10 ans seulement. Car ainsi va la manipulation des foules dans ce pays : tant que les niais continueront d’écouter leur télé, leur radio, ou liront le torchon d’un crétin à écharpe rouge, ils ne seront toujours que les esclaves dociles et corvéables d’un système qui les baise depuis plus d’un quart de siècle maintenant.

Petit détail qui fera sourire : le squatteur de l’élysée n’a pas eu le courage de rester en France ce jour, et d’affronter la vindicte populaire. Il s’est donc réfugié en Australie, soit quand même de l’autre côté de la planète.

Ça n’a l’air de rien comme détail, mais ça souligne quand même bien tout le courage du banquier.

 

Les trois singes syriens

MAJ 20 avril 2018 : Assad vient de rendre sa légion d’honneur, donnée en 2001 par Jacques Chirac, en précisant, je cite – « Il n’est point d’honneur pour le président Assad de porter une décoration attribuée par un régime esclave (…) des Etats-Unis qui soutient les terroristes« . Bref, encore un superbe camouflet international de plus pour notre brave locataire de l’Élysée, qui s’employait désespérément, hier encore, à faire croire qu’il était à l’origine de la manœuvre. Bizarrement, et contrairement à leurs (sales) habitudes, même les journaux européistes usuels ont repris l’information, ce qui est vraiment rarissime, compte tenu du niveau de désinformation et de manipulation qui règne en terre de France. Assiste t’on à une révolte silencieuse des plumes ? Seul l’avenir nous le dira…

le prochain candidat officiel LREM ? (*)

18 avril 2018 : Loin de toute sagesse philosophique, nos primates français, anglais et américain ont donc frappé l’état syrien, sans aucune preuve tangible d’une attaque chimique réelle sur la population civile de ce pays, et dans le mépris le plus total du droit international, au risque de provoquer l’étincelle d’une IIIè guerre mondiale, dont on peut logiquement penser qu’elle aboutirait à la quasi-extinction de l’espèce humaine, emportant au passage une bonne partie des autres espèces animales et végétales terrestres.

En toute logique, ces gens devraient d’urgence être internés dans un asile, sous camisole chimique de force pour le restant de leurs jours, car jamais, de mémoire d’homme, on n’a vu de tels débiles mentaux jouer avec la vie de milliards d’individus, et ce juste pour du fric et de l’orgueil personnel – parce qu’il faut quand même arrêter la fable humanitaire : tout le monde sait parfaitement à quel jeu jouent les américains en Syrie, comme partout ailleurs sur la planète !

Et côté fake news, nos amis anglo-saxons en tiennent une sacrée couche, depuis les 1,2 millions de morts civils de la « busherie irakienne » (estimation fin 2013), victimes innocentes d’une fiole bidon, agitée sous les yeux de la planète par des bonimenteurs professionnels.

Idem côté affaire Skripal à Londres. Pourquoi Poutine aurait-il, sur un coup de tête, envoyé soudainement sa milice pour aller assassiner un espion qu’il a lui même libéré 8 ans plus tôt (donc qui ne représente plus aucun danger), et ce à quelques jours d’un simulacre d’élection présidentielle qu’il était certain de gagner ? Il n’avait pas besoin d’un coup d’éclat militaire pour infléchir des intentions de vote : une grosse majorité de russes le soutiennent massivement, et on les comprend quand on a vu le président russe précédent, qui confondait eau de source et vodka !

Attention quand même à nuancer ces propres : Poutine a aussi ses défauts, et je ne prendrai pas la Russie pour une démocratie qu’elle n’est pas, mais qu’on l’aime ou qu’on le déteste, il faut reconnaître au président russe une constance certaine dans la défense des intérêts de son pays (certains diront aussi de ses copains, ce qui n’est pas faux non plus), très loin de la traîtrise flagrante et particulièrement minable qui règne en France depuis 11 ans.

Et puis franchement : connaissant les méthodes soviétiques : si vraiment la Russie avait voulu faire la peau de cet ex-espion, lui et sa fille seraient aujourd’hui 6 pieds sous terre ! On se souvient de l’assassinat d’Alexandre Litvinenko au Polonium, substance radioactive que seul un état atomique peut produire. Quand le FSB décidé d’éliminer physiquement une personne, il ne rate pas son coup !

Comble de malchance pour Mme May : on sait désormais que la substance innervante de l’affaire Skripal n’était pas du Novichok, mais bien du BZ – une substance produite par… l’OTAN !

Vu la réputation du laboratoire suisse, mandaté officiellement pour ces analyses par l’OIAC, il est donc désormais établi, aux yeux du monde entier, que Mme May est bien la digne successeur de M. Blair. Mêmes preuves fabriquées. Même propension à prendre les citoyens britanniques, et le reste du monde, pour des imbéciles !

Mais pour en revenir à la Syrie, d’autres analystes pensent qu’on a assisté à un baroud d’honneur des USA, qui ont compris que la fête était finie. Les russes, qui se sont implantés en Syrie à la demande du président syrien, sont là pour longtemps. La CIA a définitivement échoué dans sa tentative de déstabilisation, en se mettant, une fois encore, la Turquie sur le dos (ça devient une habitude à force). (MAJ 22 avril : Ankara vient d’annoncer qu’elle rapatriait ses réserves d’or des USA – on se demande bien pourquoi).

Plus proche de chez nous, on peut gager que le Royaume Uni, en allant ainsi chercher des poux à l’ours russe, finira tôt ou tard par payer ses forfaitures planétaires, l’histoire démontrant que Moscou n’est pas du genre à pardonner et oublier. Idem côté français.

Et alors que M. Asselineau, actuellement en Polynésie pour soutenir un candidat de l’UPR, a demandé par vidéo à nos parlementaires d’initier la procédure de destitution du locataire de l’élysée, par l’article 68 de notre Constitution, au regard du fait que ce type a ouvertement, et consciemment, « pissé » sur la charte de l’ONU et sur le droit international, sans lesquels le monde n’est plus qu’une jungle sans foi ni loi, quelle a été la réaction des députés ? Zéro ! Nada ! (MAJ 22 avril : et ce alors que les plus hauts juristes allemands viennent officiellement de dénoncer l’illégalité de l’attaque).

Aucun des godillots n’a osé initier la moindre sanction envers le locataire de l’élysée, ce qui en dit long sur la mafia parlementaire et son cynisme absolu ! Même s’il est clair qu’une procédure de destitution avait peu de chance d’aboutir, le fait est que TOUS les députés français ont ici ouvertement trahi le sens même du mot démocratie.

Nous en arrivons à un point de forfaiture où l’on commence sérieusement à se demander s’il ne faudra pas un coup d’état de l’armée française pour reprendre en main ce pays, tombé dans les mains de banquiers véreux et de traîtres.

En tout cas, l’absence criante de M. Asselineau dans tous les médias mainstream est équivoque : nous ne sommes plus dans une démocratie, mais bien dans un état totalitaire, où le toutou parachuté par les européistes ne cesse de fricoter et de remuer la queue devant les USA et les anglais.

On a même vu dernièrement un « selfi » du gus, qui n’est pas sans rappeler curieusement la photo de cet article, avec le prince héritier d’Arabie Saoudite Mohammed Ben Salmane, dans le plus pur style « soirée étudiante », la main du Prince reposée sur l’épaule du président français, histoire de bien fixer le dominant et le dominé.

Alors je ne sais pas si les 13% de français ayant voté LREM se rendent bien compte de leur responsabilité évidente dans les désastres de leur protégé, mais il serait vraiment temps qu’ils comprennent que l’argent ne fait pas tout, et qu’en politique, quand le mouchoir a servi, on finit toujours par le jeter.

Beaucoup de français ne se poseront pas la question, le moment venu, de savoir si ces gens étaient simplement inconscients, ou complices assumés. Donc si j’avais un bon conseil à leur donner, c’est de foutre le camp de LREM tant qu’il en est encore temps !

Jamais on a vu un moule à gaufre se prendre autant de casseroles en seulement 1 an, en jouant d’une part avec la vindicte populaire qui finira tôt ou tard par exploser, et d’autre part à la roulette contre des russes très bien armés et entraînés. On n’ose même pas imaginer ce qui va se passer dans les 4 ans à venir.

 

(*) :  crédit Par Self-portrait by the depicted Macaca nigra female.

Le racisme syndical à la CGT

22 mars 2018: alors que l’UPR va participer ce jour aux manifestations contre le démantèlement de la SNCF, imposé par l’article 106 du TFUE , on découvre, abasourdit, sur le site officiel de la CGT, un article particulièrement diffamatoire envers notre parti et ses militants (source : http://www.cgt.fr/Ni-nulle-part-ailleurs.html), daté du 21 mars 2018.

Je n’ai pas ici reproduit l’article pour éviter les problèmes de droits d’auteur, mais il faudra vraiment que nos amis de la CGT nous expliquent en quoi notre mouvement, classé « Divers » par le Ministère de l’Intérieur (donc non extrémiste), qui se veut rassembleur au-dessus des clivages habituels, présenterait soudainement un quelconque caractère raciste ou xénophobe.

Certes : l’UPR accueille d’anciens militants de gauche ou de droite, fatigués des flambies et autres hyperprésidents, comme elle accueille aussi d’anciens militants FN, usés par la SARL Le Pen. Cela étant, tous les autres partis non extrêmistes font exactement de même. Sont-ils eux aussi qualifiés de racistes et de xénophobes par la CGT ?

Étrangement, non.

De notre côté, l’amalgame gratuit Frexit=extrême droite n’est pas une nouveauté. Cela fait 11 ans que les fascistes de toutes les couleurs s’emploient en France à faire passer l’UPR pour un parti « complotiste » et « conspirationniste », en empêchant toute remise en cause de notre appartenance à l’UE, l’euro et l’OTAN, avec de grands médias sous la coupe de la propagande oligarchique.

La petite nouveauté, c’est que cette omerta sino-médiatique, qui empêche M. Asselineau de s’adresser librement aux français, ne suffit apparemment plus à cacher la vérité. Avec 30500 adhérents, il devient de plus en plus difficile pour le système de faire taire le seul parti réel du Frexit. Ainsi depuis l’élection truquée de 2017, les fascistes au pouvoir ont recyclé et médiatisé un ex-lieutenant FN, singeant ouvertement le discours pro-Frexit de l’UPR, bien évidemment sans la sortie de l’euro et de l’OTAN…

Et alors qu’on refuse à M. Asselineau tout accès aux grands médias pour se défendre de cette spoliation en règle des idées et du discours de l’UPR, l’oligarchie médiatise à fond ce Jean-Foutre du FN, venu entretenir l’amalgame Frexit=FN, comme si les britanniques ayant voté le Brexit étaient plus racistes ou xénophobes que nous ! Et puis si on rentre dans cette logique, allons jusqu’au bout de l’absurdité – puisqu’il faudrait alors en conclure que tous les français étaient racistes et xénophobes avant Maastricht !

Allo ? Y a t’il encore des cerveaux à la CGT ?

Non : le Frexit n’est pas une idée extrémiste. Le R.U. n’a pas coulé dans la Mer du Nord et n’a pas brûlé dans les enfers. Il se porte même très bien, pour ne pas dire de mieux en mieux. On ne peut pas en dire autant de notre voisin allemand, qui malgré ses exportations records, atteint un seuil record de pauvreté et de misère, avec un pseudo-smic qui nous rappelle que l’esclavagisme moderne tend à devenir la norme dans l’UE. Quand à l’euro trop fort pour nous, il nous a ruiné en seulement un quart de siècle, sans compter les 530 000 travailleurs détachés d’Europe de l’Est en France, qui nous privent d’autant d’emplois. Alors arrêtons SVP de nous voiler la face : l’UE est un échec sur toute la ligne ! Après 26 ans de négociations sans fin, on voit bien que cela ne marche pas, et ne marchera jamais, parce que chacun défend ses propres intérêts, et passe sont temps à bloquer les réformes des autres qui lui portent préjudice. Le Frexit, c’est la porte de sortie via l’article 50, sans se prendre la tête avec nos voisins, avec 2 ans pour négocier la sortie, et une sortie de fait après ce délai. Il n’y a rien d’extrémiste là dedans : juste le fait d’utiliser ses neurones, de constater des faits, et d’en tirer les conclusions logiques qui s’imposent !

Maintenant ce n’est pas la première fois que le système se défend de la sorte en se fabriquant des opposants « sur-mesure » : dans les années 80, Attali et Mitterand ont médiatisé le FN pour se mettre le 2nd tour dans la poche à coup sûr, ce qui s’est toujours vérifié depuis, et se vérifiera toujours, parce que les vrais racistes et xénophobes ne dépasseront jamais 25% dans ce pays.

Quant à FI, rappelons que son dealer vit aux crochets de mère Europe depuis des années : s’imaginer 2s que ce type va quitter demain son confortable siège de député européen est digne d’un QI d’huître. Il n’y pas plus soumis à l’UE et à Washington que ce triste bonhomme, qui ne sait que gueuler et prendre la fuite dès qu’on le met devant ses propres contradictions !

Ça fait plus de 30 ans que la mafia « Attalienne » découpe et neutralise ainsi des franges de 20% de la population, en les menant dans des impasses de fait, à coup de médias complices, et que les gens marchent et votent des clowns ! Combien de fois faudra-il encore rappeler que ces marionnettes de gauche, de droite, et d’extrême, sont toutes passées par la French American Foundation, pour lever la patte devant l’oncle Sam ? Plus fort encore : désormais, on a des banquiers à la tête de l’UE ET de la France, avec un ancien président de la CE recyclé chez Goldman-Sachs, qu’on a encore surpris dernièrement à faire du lobbying à Bruxelles, malgré le généreux parachute doré dont il bénéficie ! Au moins on sait à qui appartient, et pour qui travaille réellement, cette Union de pacotille.

Mais pour en revenir à nos syndicalistes, penser que les instances dirigeantes de la CGT manqueraient de cerveau pour s’apercevoir de ces manipulations « merdiatiques » grotesques serait une insulte à leur intelligence.

Non : ce qui gêne sûrement nos amis syndicalistes, c’est que l’UPR ait osé ouvrir la boîte de Pandore, en rappelant que la CGT, et tous les grands syndicats français, font partie de la Confédération Européenne des Syndicats, et qu’à ce titre, ils perçoivent de généreux émoluments de mère Europe !

De là à penser ensuite que les grands syndicats français seraient payés pour entretenir la colère populaire contre nos gouvernants fantoches nationaux, simples exécutants de Bruxelles, en évitant d’expliquer aux français et à leur base les véritables origines de nos problèmes, chacun en pensera ce qu’il voudra.

L’UPR n’a jamais appelé à la mort ou au rejet des syndicats : il y a des syndicalistes très bien, à la CGT comme ailleurs. On en a aussi à l’UPR qui défendent réellement les intérêts des salariés.

Le vrai problème du syndicalisme français se situe plutôt du côté des instances dirigeantes, dont la réaction de rejet actuel de l’UPR est explicite en termes d’ouverture d’esprit et d’indépendance. Pour les instances syndicales, le bas peuple n’a pas le droit de savoir, de comprendre, et doit se comporter en bon petit européiste con-vaincu, entretenu dans son ignorance par la propagande d’état. La base appréciera…

Entre salariés de la SNCF jetés dans l’arène du libéralisme, privatisation exigée des services publics imposée par l’UE, et indépendance factice des syndicats européens, il serait temps que les syndicats français arrêtent de mener les gens en bateau, et expliquent, comme le fait l’UPR, qu’il ne sert à rien de se tromper d’ennemi !

M. Asselineau était le seul candidat à avoir prévenu du démantèlement de la SNCF, pendant (et bien avant) la dernière campagne présidentielle. Et le tract UPR officiel sur le démantèlement de la SNCF de démontrer que les cheminots vont encore en baver dans les années qui viennent ! Comprenez que ce que nous voyons aujourd’hui n’est que le début de la fin du rail public en France.

Enfin, la récente agression du 15 mars 2018 contre des militants UPR, venus manifestér pacifiquement en fin de cortège pour les retraites, en rappelant, là encore, que c’est Bruxelles qui tire les ficelles, signe un niveau d’imbécillité syndicale jamais vu dans ce pays !

Pour tout démocrate qui se respecte, un tel geste est une HONTE et une INFAMIE, surtout venant de syndicalistes qui se prétendent apolitiques et indépendants !

Cela ruine le message commun de la manifestation, et transforme un syndicat en Dieu tout puissant, décidant seul de ce que les gens ont le droit d’entendre et de savoir – INADMISSIBLE !

Entre cette attaque, aussi gratuite que stupide, et notre premier lien vers le site officiel de la CGT, la prostitution syndicale à Bruxelles semble de plus en plus assumée. Nous espérons donc que les militants CGT, qui valent mieux que cela, sauront faire le ménage qui s’impose dans leurs rangs, et trier le bon grain de l’ivraie.

Vive le Frexit – et vive la France libre !