Le racisme syndical à la CGT

22 mars 2018: alors que l’UPR va participer ce jour aux manifestations contre le démantèlement de la SNCF, imposé par l’article 106 du TFUE , on découvre, abasourdit, sur le site officiel de la CGT, un article particulièrement diffamatoire envers notre parti et ses militants (source : http://www.cgt.fr/Ni-nulle-part-ailleurs.html), daté du 21 mars 2018.

Je n’ai pas ici reproduit l’article pour éviter les problèmes de droits d’auteur, mais il faudra vraiment que nos amis de la CGT nous expliquent en quoi notre mouvement, classé « Divers » par le Ministère de l’Intérieur (donc non extrémiste), qui se veut rassembleur au-dessus des clivages habituels, présenterait soudainement un quelconque caractère raciste ou xénophobe.

Certes : l’UPR accueille d’anciens militants de gauche ou de droite, fatigués des flambies et autres hyperprésidents, comme elle accueille aussi d’anciens militants FN, usés par la SARL Le Pen. Cela étant, tous les autres partis non extrêmistes font exactement de même. Sont-ils eux aussi qualifiés de racistes et de xénophobes par la CGT ?

Étrangement, non.

De notre côté, l’amalgame gratuit Frexit=extrême droite n’est pas une nouveauté. Cela fait 11 ans que les fascistes de toutes les couleurs s’emploient en France à faire passer l’UPR pour un parti « complotiste » et « conspirationniste », en empêchant toute remise en cause de notre appartenance à l’UE, l’euro et l’OTAN, avec de grands médias sous la coupe de la propagande oligarchique.

La petite nouveauté, c’est que cette omerta sino-médiatique, qui empêche M. Asselineau de s’adresser librement aux français, ne suffit apparemment plus à cacher la vérité. Avec 30500 adhérents, il devient de plus en plus difficile pour le système de faire taire le seul parti réel du Frexit. Ainsi depuis l’élection truquée de 2017, les fascistes au pouvoir ont recyclé et médiatisé un ex-lieutenant FN, singeant ouvertement le discours pro-Frexit de l’UPR, bien évidemment sans la sortie de l’euro et de l’OTAN…

Et alors qu’on refuse à M. Asselineau tout accès aux grands médias pour se défendre de cette spoliation en règle des idées et du discours de l’UPR, l’oligarchie médiatise à fond ce Jean-Foutre du FN, venu entretenir l’amalgame Frexit=FN, comme si les britanniques ayant voté le Brexit étaient plus racistes ou xénophobes que nous ! Et puis si on rentre dans cette logique, allons jusqu’au bout de l’absurdité – puisqu’il faudrait alors en conclure que tous les français étaient racistes et xénophobes avant Maastricht !

Allo ? Y a t’il encore des cerveaux à la CGT ?

Non : le Frexit n’est pas une idée extrémiste. Le R.U. n’a pas coulé dans la Mer du Nord et n’a pas brûlé dans les enfers. Il se porte même très bien, pour ne pas dire de mieux en mieux. On ne peut pas en dire autant de notre voisin allemand, qui malgré ses exportations records, atteint un seuil record de pauvreté et de misère, avec un pseudo-smic qui nous rappelle que l’esclavagisme moderne tend à devenir la norme dans l’UE. Quand à l’euro trop fort pour nous, il nous a ruiné en seulement un quart de siècle, sans compter les 530 000 travailleurs détachés d’Europe de l’Est en France, qui nous privent d’autant d’emplois. Alors arrêtons SVP de nous voiler la face : l’UE est un échec sur toute la ligne ! Après 26 ans de négociations sans fin, on voit bien que cela ne marche pas, et ne marchera jamais, parce que chacun défend ses propres intérêts, et passe sont temps à bloquer les réformes des autres qui lui portent préjudice. Le Frexit, c’est la porte de sortie via l’article 50, sans se prendre la tête avec nos voisins, avec 2 ans pour négocier la sortie, et une sortie de fait après ce délai. Il n’y a rien d’extrémiste là dedans : juste le fait d’utiliser ses neurones, de constater des faits, et d’en tirer les conclusions logiques qui s’imposent !

Maintenant ce n’est pas la première fois que le système se défend de la sorte en se fabriquant des opposants « sur-mesure » : dans les années 80, Attali et Mitterand ont médiatisé le FN pour se mettre le 2nd tour dans la poche à coup sûr, ce qui s’est toujours vérifié depuis, et se vérifiera toujours, parce que les vrais racistes et xénophobes ne dépasseront jamais 25% dans ce pays.

Quant à FI, rappelons que son dealer vit aux crochets de mère Europe depuis des années : s’imaginer 2s que ce type va quitter demain son confortable siège de député européen est digne d’un QI d’huître. Il n’y pas plus soumis à l’UE et à Washington que ce triste bonhomme, qui ne sait que gueuler et prendre la fuite dès qu’on le met devant ses propres contradictions !

Ça fait plus de 30 ans que la mafia « Attalienne » découpe et neutralise ainsi des franges de 20% de la population, en les menant dans des impasses de fait, à coup de médias complices, et que les gens marchent et votent des clowns ! Combien de fois faudra-il encore rappeler que ces marionnettes de gauche, de droite, et d’extrême, sont toutes passées par la French American Foundation, pour lever la patte devant l’oncle Sam ? Plus fort encore : désormais, on a des banquiers à la tête de l’UE ET de la France, avec un ancien président de la CE recyclé chez Goldman-Sachs, qu’on a encore surpris dernièrement à faire du lobbying à Bruxelles, malgré le généreux parachute doré dont il bénéficie ! Au moins on sait à qui appartient, et pour qui travaille réellement, cette Union de pacotille.

Mais pour en revenir à nos syndicalistes, penser que les instances dirigeantes de la CGT manqueraient de cerveau pour s’apercevoir de ces manipulations « merdiatiques » grotesques serait une insulte à leur intelligence.

Non : ce qui gêne sûrement nos amis syndicalistes, c’est que l’UPR ait osé ouvrir la boîte de Pandore, en rappelant que la CGT, et tous les grands syndicats français, font partie de la Confédération Européenne des Syndicats, et qu’à ce titre, ils perçoivent de généreux émoluments de mère Europe !

De là à penser ensuite que les grands syndicats français seraient payés pour entretenir la colère populaire contre nos gouvernants fantoches nationaux, simples exécutants de Bruxelles, en évitant d’expliquer aux français et à leur base les véritables origines de nos problèmes, chacun en pensera ce qu’il voudra.

L’UPR n’a jamais appelé à la mort ou au rejet des syndicats : il y a des syndicalistes très bien, à la CGT comme ailleurs. On en a aussi à l’UPR qui défendent réellement les intérêts des salariés.

Le vrai problème du syndicalisme français se situe plutôt du côté des instances dirigeantes, dont la réaction de rejet actuel de l’UPR est explicite en termes d’ouverture d’esprit et d’indépendance. Pour les instances syndicales, le bas peuple n’a pas le droit de savoir, de comprendre, et doit se comporter en bon petit européiste con-vaincu, entretenu dans son ignorance par la propagande d’état. La base appréciera…

Entre salariés de la SNCF jetés dans l’arène du libéralisme, privatisation exigée des services publics imposée par l’UE, et indépendance factice des syndicats européens, il serait temps que les syndicats français arrêtent de mener les gens en bateau, et expliquent, comme le fait l’UPR, qu’il ne sert à rien de se tromper d’ennemi !

M. Asselineau était le seul candidat à avoir prévenu du démantèlement de la SNCF, pendant (et bien avant) la dernière campagne présidentielle. Et le tract UPR officiel sur le démantèlement de la SNCF de démontrer que les cheminots vont encore en baver dans les années qui viennent ! Comprenez que ce que nous voyons aujourd’hui n’est que le début de la fin du rail public en France.

Enfin, la récente agression du 15 mars 2018 contre des militants UPR, venus manifestér pacifiquement en fin de cortège pour les retraites, en rappelant, là encore, que c’est Bruxelles qui tire les ficelles, signe un niveau d’imbécillité syndicale jamais vu dans ce pays !

Pour tout démocrate qui se respecte, un tel geste est une HONTE et une INFAMIE, surtout venant de syndicalistes qui se prétendent apolitiques et indépendants !

Cela ruine le message commun de la manifestation, et transforme un syndicat en Dieu tout puissant, décidant seul de ce que les gens ont le droit d’entendre et de savoir – INADMISSIBLE !

Entre cette attaque, aussi gratuite que stupide, et notre premier lien vers le site officiel de la CGT, la prostitution syndicale à Bruxelles semble de plus en plus assumée. Nous espérons donc que les militants CGT, qui valent mieux que cela, sauront faire le ménage qui s’impose dans leurs rangs, et trier le bon grain de l’ivraie.

Vive le Frexit – et vive la France libre !

Pou le Frexit dékolé

5 mars 2018 : les résultats de l’élection législative partielle de la 2nde circonscription de Guyane sont tombés, et autant le dire : ils ne sont pas meilleurs que ceux observés en Métropole.

Et pour cause : le problème de communication est exactement le même : des gens qui souffrent, n’en peuvent plus d’attendre des actions concrètes sur le terrain pour régler leurs problèmes du quotidien, mais qui paradoxalement semblent incapables d’analyser et d’accepter les causes réelles et profondes de leurs maux !

Et cela est d’autant plus vrai en Guyane, avec une jeune population plus touchée par le chômage, et dont la patience est sûrement moindre que sur le continent. De ce j’en ai suivi, je pense que beaucoup n’auront sûrement pas compris non plus qu’un député n’est pas un maire ou un conseiller local, mais quelqu’un qui vote des lois à Paris. Dans ce sens, il n’a aucun pouvoir « local » de changer les choses, et en attendre des miracles, c’est se tromper d’élection… 

Pour avoir écouté un débat radio où M. Asselineau, qui s’était déplacé en Guyane avec M. Brousseau, défendait notre candidat M. Mignot, j’ai plus d’une fois entendu M. Asselineau rappeler aux Guyanais que s’ils ne reçoivent pas plus d’argent de la France, c’est précisément parce que mère noël Europe nous ponctionne chaque année de 23 milliards d’euros, et nous en restitue 14 milliards.  Des 9 milliards avalés et disparus, une bonne partie sert à alimenter des pays de l’Est bénéficiaires net, à commencer par la Pologne, lesquels nous envoient bras d’honneur sur doigt d’honneur une fois leur généreux chèque empoché. L’UPR a, là encore, été le seul parti à expliquer clairement ce mécanisme des vases communicants, qui fait que la France donne plus à des pays de l’Est qu’à ses propres régions en difficulté…

De toute évidence, plus de 99% de nos amis guyanais n’ont pas compris le message. Que va t’il se passer maintenant pour eux ?

Et bien strictement rien ! Parce qu’à part l’UPR qui proposait de foutre le bordel à l’Assemblée, et de secouer le bananier pour rappeler l’existence de la Guyane, en expliquant à une plus large audience le mécanisme mortifère de l’UE, quel que soit le jean-foutre élu la semaine prochaine, il obéira en brave toutou à la logique européiste de son parti !

On rappelle qu’à Paris, pour le Roi des Bouffons, la Guyane est une île… Difficile de faire plus explicite et plus dédaigneux envers cette région de France dont le peuple extraordinaire mérite bien mieux que cela.

Bref, comme en Métropole, les guyanais se sont eux-mêmes bloqués la porte qui leur aurait au moins permis une visibilité minimale et une défense de leurs vrais intérêts à Paris. Dans ces conditions, nul doute que la Guyane mangera son chapeau comme les autres dans les années qui viennent  !

Ainsi le projet de la Montagne d’Or, que certains élus guyanais ont avancé pour de se faire mousser pendant la campagne, rappelle furieusement un autre désastre annoncé : celui du CHU de Guadeloupe, miné par les traités européens, qui vont permettre de faire appel à des travailleurs détachés en lieu et place de travailleurs locaux, pendant que les grands groupes internationaux, seuls aptes à répondre à ces appels d’offres taillés pour eux, ramasseront le gâteau sur la table.

On aura beau le dire et l’expliquer : l’UE encourage une totale mise en concurrence de la planète, sans aucun garde-fou ni protectionnisme possible. Nous en sommes à plus de 500 000 travailleurs détachés en France Métropolitaine, avec un taux de chômage réel d’au moins 20% – pour information. Faudra t’il encore le doublement de ces chiffres pour que les français se réveillent enfin, et arrêtent de pleurnicher en occultant la réalité des faits ?

En tout cas ce dimanche, la Guyane a perdu le seul candidat qui aurait pu effectivement faire « la petite différence », en allant taper dans les chevilles d’une oligarchie bien huilée, dont les députés abstentionnistes nous prouvent chaque jour leur réelle utilité.

Quant à l’UPR, le compteur des adhérents continue d’augmenter chaque jour, prouvant que de plus en plus de français ont compris les arnaques que sont l’UE, l’euro et l’OTAN. Cela prouve aussi et surtout que malgré ces coups de vents parfois contraire, tous les adhérents savent ce qu’ils défendent et pourquoi.

Soyons réalistes : nous nous prendrons encore bien des vestes avant de faire sauter le verrou médiatique, et faire comprendre aux français leur stupidité de croire dans une construction européenne qui les ruine et les spolie. N’étions-nous pas nous-mêmes à leur place, il y a quelques années encore ?

Un grand merci en tout cas à l’UPR Guyane pour son travail, en espérant que ce faible score ne découragera pas les militants sur place, parce que quels que soient les obstacles, nous savons qu’il faudra du temps, et encore beaucoup de pédagogie, pour faire comprendre aux gens leur erreur de jugement.

Vive le Frexit, et vive la France libre !

 

Neutralité suisse et UPR II – le retour

1er mars 2018 : la mémoire humaine est décidément très sélective, y compris dans nos rangs. Ce jour, M. Asselineau a donc eu droit a une interview du journal suisse Le Matin sur deux pages – cf. https://www.upr.fr/actualite/journal-suisse-matin-a-consacre-long-article-a-francois-asselineau pour les détails.

Jusque là, tout va bien, bon article global – très bonne photo : rien à redire en apparence, sauf que… faire l’apologie de la neutralité suisse et de la « grande démocratie suisse », là, c’est non – trop gros – passera pas...

Oser prétendre que la suisse est neutre et impartiale, alors que dans mon article du 17 novembre 2016 (cf. http://kissifrot.fr/2016/11/17/lupr-et-la-neutralite-suisse/), je démontrais précisément le manque total de déontologie journalistique de plusieurs journaux suisse, dont le support pro-FN durant la campagne de 2017 était évident, répété, et pleinement assumé, avec des journalistes suisses qui crachaient ouvertement sur la Charte de Munich, et – pour plusieurs titres – une censure pure et simple de tout commentaire contenant les mots clés « UPR » ou « Asselineau », c’est quand même fort de café !

Publier une double page, en dehors de toute campagne en cours, ce n’est pas non plus prendre un gros risque éditorial, même si on apprécie bien entendu que Le Matin l’ait fait. Cela étant, c’est le genre d’article qu’on aurait bien aimé voir pendant la campagne présidentielle de 2017, et non un an après.

Qu’il y ait ensuite des bonnes choses à prendre dans le système politique suisse, comme les référendums d’initiative populaire, proposition de campagne parmi d’autres de M. Asselineau, personne ne le niera. Mais prétendre que la Suisse est une démocratie, alors que son 4ème pouvoir est à peine moins muselé qu’en France, relève quelque part de la méthode Coué ! 

Et ce n’est pas parce qu’un journal suisse fait, une fois ou l’autre, exception à la règle, qu’il la contredit. L’UPR mériterait de toute façon une bien meilleure couverture médiatique, qu’elle obtiendra tôt ou tard, de gré ou de force, avec un compteur des adhérents qui grimpe chaque jour de 20 à 30 adhérents.

Alors merci au Matin pour cet article, qui fera sûrement bondir quelques européistes au saut du lit – ça fait toujours plaisir… 🙂

Mais de grâce : qu’on arrête de prendre la Suisse pour un modèle de démocratie qu’elle n’est pas !

Vive le Frexit, et vive la France libre !

330 000 sinon rien !

11 février 2018 : l’UPR vient donc de franchir officiellement la barre des 30000 adhérents, mais faut-il s’en réjouir ?

En effet : la logique voudrait théoriquement que toute personne ayant voté pour l’UPR, donc partageant à priori les analyses, conclusions et programme du mouvement, adhèrent par défaut. Or 30000 adhérents sur 330000 votants (chiffres de mémoire – on n’est pas à 10000 près non plus), cela fait moins de 10% ! Mais qu’attendent donc les 300000 restants pour adhérer ?

Imaginez 2s ce qui se passerait si tous les votants UPR passaient enfin adhérents :
– l’UPR deviendrait officiellement le premier parti de France en nombre d’adhérents
– il deviendrait impossible pour les « merdias » complices de l’oligarchie de snober le mouvement
– il deviendrait impossible pour les couards et les traîtres d’éviter les débats sur notre appartenance à l’UE, à l’euro et à l’OTAN
– il deviendrait impossible aux « primates sans partis » de « piquer » le discours de l’UPR en faisant croire qu’ils ont inventé l’eau chaude

et j’en passe…

Alors certes : le chiffre de 30000 ne représente pas le nombre d’adhérents à jour de cotisation. Comme pour les autres partis politiques, le statut d’adhérent à l’UPR se conserve deux ans, y compris si l’on « oublie » de cotiser la seconde année, ce qui représente environ 10% du chiffre avancé.

Cela étant, le constat d’huissier a prouvé la réalité du nombre d’adhérents UPR à jour de cotisation, contrairement à d’autres partis politiques qui gonflent leurs chiffres depuis des années, dans l’obscurantisme le plus complet !

On peut ensuite s’en offusquer ou s’en accommoder, mais soyons réalistes : le nerf de la guerre en politique est et reste l’argent ! Il suffit de voir le clown actuel de l’élysée pour se rendre compte que l’argent peut vraiment faire élire n’importe qui – même un banquier !

Pour avoir déjà observé M. Asselineau avant certaines conférences, quand il fait le tour de la salle pour serrer les pinces et insister sur la nécessité d’adhérer, force est de constater que si la manœuvre peut paraître bassement « commerciale » aux néophytes, elle se justifie en fait complètement sur les deux tableaux : d’abord un parti ne peut exister sans militants convaincus et engagés, ensuite l’UPR ne peut compter que sur les finances de ses adhérents.

Or, avec une France en danger de mort, il serait temps que les votants UPR comprennent bien qu’on ne la sauvera pas en économisant quelques dizaines d’euros de cotisation par an.

Voter UPR, c’est bien. Adhérer, c’est mieux !

Le bénévolat des militants est une chose, et les coûts de fonctionnement et de communication en sont d’autres. Vous pouvez toujours offrir un fusil à un chasseur : s’il n’a pas de cartouches, il a peu de chance qu’il vous ramène du gibier… C’est un peu la même chose côté militant : on aimerait pouvoir afficher toute l’année, et bien rappeler l’existence de l’UPR à nos concitoyens, lobotomisés chaque jour par leurs télés, leurs radios et leurs journaux, depuis la mise en place du système totalitaire avec la loi Urvoas, votée un an avant la présidentielle de 2017…

On pourra certes m’offusquer que les fins de mois sont difficiles pour de nombreux français aujourd’hui, ce que je ne nie pas. Mais quand je vois des familles qui n’ont soit disant pas de moyens financiers, se payer des clopes, de l’alcool, des ordinateurs, des téléphones portables, des téléviseurs (avec des diagonales de plus d’un mètre !), et se mettre des crédits monstrueux à la patte, je pense qu’il faut aussi savoir faire le bon choix.

L’avenir de nos enfants vaut bien quelques dizaines d’euros par an, et il faut arrêter de se raconter des histoires : en France métropolitaine, ce n’est pas une fortune pour la plupart des gens !

Quant à avoir peur de « s’encarter » officiellement dans un parti – il y a un moment donné où il faut aussi savoir ce que l’on veut. Dans la vie réelle, on ne peut pas combattre des tyrans dans l’ombre façon « anonymous ». Aujourd’hui la police de Vichy s’amuse déjà à filmer l’honnête citoyen qui manifeste en paix pour défendre des valeurs démocratiques. Il n’y a d’ailleurs même plus besoin d’aller manifester pour se faire ficher : comptez le nombre de caméras de surveillance dans les villes, installées « au nom de l’ordre et de la sécurité ». Avec les bons logiciels de reconnaissance faciale, vous surveillez des millions d’individus en temps réel, à leur insu – et là, je ne parle même pas de l’espionnage permanent de nos smartphones qui est une autre réalité !

La liberté et l’indépendance d’un pays ne sont ni naturelles, ni gratuites. Il faut se battre pour les mériter, et se battre encore davantage pour les conserver.

En espérant que cet appel à cotisation sera entendu !

En tout cas, bravo déjà à tous les militants qui font vivre ce mouvement, et informent nos concitoyens sur la spoliation démocratique que sont l’UE, l’euro et l’OTAN. Et bravo encore à M. Asselineau pour son courage et sa détermination sur 11 ans.

Les torche-culs en vente libre

21 novembre 2017 : l’UPR vient tout juste de tenir son université d’automne, avec quelques 1100 participants, contre 800 l’an passé.

Ce nouveau succès, alors que le nombre d’adhérents UPR a doublé en l’espace d’un an , pour atteindre bientôt les 30000 (!), démontre une fois encore toute la vivacité et la hargne des militants UPR, laquelle tranche singulièrement avec l’omerta médiatique totalitaire que nous subissons !

Car à part deux courts torchons dans la Nouvelle République, lesquels ne méritent pas le qualificatif d’articles tant le ton utilisé est hostile et partisan (à se demander vraiment si le journaliste avait un flingue sous la tempe en écrivant sa prose), force est de constater qu’une fois encore, le bilan médiatique se résume très simplement : 0 couverture, 0 reportages !

Comme les trous noirs, d’où ne ressort jamais aucune information, nos grands médias sont devenus de véritables torche-culs en vente libre, dignes représentants de l’état totalitaire dans lequel la loi Urvoas et l’élection présidentielle truquée de 2017 nous ont précipitées !

Pire encore : les mêmes salopards, qui contrôlent ces grands médias, s’emploient sans relâche à ponctionner les internautes français pour (re)financer leurs complices télévisuels et radiophoniques ! Quoi de mieux en effet, pour des fils de Rothschild, qu’un esclave qui paye sa drogue, et qu’on peut spolier à loisir ?

Il ne faut pas non plus oublier le grand chantier en cours des fascistes européistes pour « réguler » les réseaux sociaux au nom d’une lutte contre des fake news ! Que sommes-nous chanceux de vivre dans un état libre et démocratique, où le ministère de la vérité nous guide et nous protège de l’abominable propagande communiste sino-russe !

Rappelez-vous encore de cet affreux article d’Historia, présenté par M. Asselineau durant la campagne de 2017, sur les liens établis entre la CIA et la construction européenne, article que ces braves européistes se sont empressés de mettre sous cloche hermétique et opaque. Il faut désormais réécrire l’histoire pour préserver le mythe européen !

Voilà où nous en sommes en cette fin novembre 2017 : une dictature à la Big Brother, où dire la vérité est devenu un acte de résistance.

Mais ce qui prête le plus à sourire, face à ces tentatives désespérées de l’oligarchie à vouloir cacher la vérité aux français, c’est le contexte actuel de désintégration que l’on observe dans tous les autres partis.

Entre le PS qui se retrouve forcé de vendre son siège après avoir licencié 50% de ses effectifs, le candidat malheureux de la droite qui se retire officiellement de la politique, la Société Générale qui vient d’annoncer qu’elle refusait de continuer à héberger les comptes du FN après que toutes les banques françaises aient refusé de faire crédit à la SARL Le Pen pendant la campagne, et enfin les petites mains de LREM qui quittent par paquets le navire, comprenant tardivement que le fou qui les a mené en bateau pendant des mois se tape royalement et ouvertement de leurs petites éjaculations cognitives et autres desiderata démocratiques, le bateau UPR reste quand à lui imperturbable, fidèle à son programme, fidèle à ses principes, fidèle au respect de sa charte fondatrice : le Frexit, le retour au franc, et la sortie de l’OTAN.

M. Asselineau peut donc afficher un sourire et un optimisme certains : l’UPR continue de gagner du terrain, et est le seul parti cohérent, qui garde son cap malgré vents et tempêtes.

Vive le Frexit, et vive la France libre !

Le suicide espagnol et catalan

1er novembre 2017 (maj janvier 2018) : en cette date symbolique, je vous conseille de revoir les quatre vidéos de M. Asselineau sur les eurorégions (datées de 2013 – très riches d’enseignements mais très longues – compter 5h de visionnage au total), lesquelles annonçaient clairement le suicide espagnol et catalan à venir, et plus globalement, la destruction des états nations, remplacés par des eurorégions sous la coupe de Bruxelles, de Francfort et bien entendu, de Washington.

4 ans plus tard, le bilan est sans appel : M. Asselineau avait visé juste, une fois encore.

L’Espagne est en passe de connaître au mieux une désintégration, au pire une nouvelle guerre civile, et toujours pour la même raison de fond : l’argent.

Car derrière les Talamoni et autres grandes gueules qui crachent ouvertement sur la généreuse République de France, personne n’est dupe : les autonomistes sont avant tout des gens qui pensent à leur propre pomme, en utilisant des prétextes culturels locaux pour se mettre les niais dans la poche.

Il est vrai que quand on voit Monaco, Andorre, le Luxembourg et bien d’autres « petits » eldorado fiscaux, certains hommes politiques se mettent soudainement à rêver de devenir le prochain souverain d’un paradis fiscal européen, en oubliant que les années « fastes », ou les banquiers suisses venaient « tirer du client » en France, sont quand même révolues depuis un moment déjà.

Avec la disparition du fiduciaire (argent liquide), et le contrôle absolu des flux de capitaux, planquer l’argent est devenu un sport à hauts risques. Le meurtre programmé du colonel Kadhafi, devenu trop gênant, en est une triste illustration.

Cela étant, s’il deviendra facile à terme de spolier le simple contribuable « à la source », sur ses comptes bancaires ou son patrimoine, afin de rembourser une dette imaginaire et entretenue de toute pièce, il sera tout aussi simple de ruiner les exilés fiscaux à distance, comme le font déjà les USA via des lois d’extra-territorialité.

Ajouter à cela un Brexit qui a démontré la fragilité réelle de l’UE, et un solde Target2 qui s’envole vers les 1000 milliards d’€ de créances côté Bundesbank, et vous comprendrez qu’une indépendance « dans le cadre de l’union européenne » ne garantit aucune source de revenus à terme aux sécessionnistes, contrairement à un pays souverain qui lui est obligé de supporter ses régions économiquement non viables ou en difficulté, au nom d’une fraternité de principe, laquelle a étrangement disparue de nos pièces de monnaie avec l’euro.

Rappelons également que la seule « solidarité » européenne se résume à arroser les pays de l’est d’argent frais, lesquels ne renvoient jamais l’ascenseur à la France, leur intérêt principal  étant d’abord dans le parapluie nucléaire américain, puis dans l’exportation de travailleurs détachés avec les résultats désastreux que l’on sait sur l’emploi français (notamment chez les routiers).

Nous gaspillons donc des milliards d’€ depuis plus de 25 ans, à soutenir des pays de l’Est qui nous crachent dessus en retour, au lieu de nous occuper d’abord de nos propres régions. Faut-il être stupide à ce point pour nourrir un chien qui vous mord ?

Sachant que le dictateur parachuté en 2017 par la grâce de Saints Urvoas et Rothschild vient encore d’augmenter notre contribution nette au budget européen (+1,5 milliards d’€ par an), et ce alors que l’état a coupé le robinet aux régions, en leur demandant d’assurer ses prérogatives régaliennes, le but final non avoué est bien d’affaiblir ces mêmes régions, en Espagne comme en France, avec les résultats désastreux que l’on observe déjà : fin des emplois aidés, fermeture des structures étatiques de proximité, etc. On pousse ainsi les salariés et les jeunes au désespoir, afin qu’ils détestent leur propre pays, alors que nos problèmes restent avant tout le fruit d’une mafia de traîtres. Le fait est que notre pays n’a jamais été aussi riche – il faut bien garder cet élément à l’esprit.

Il faut aussi comprendre ici que pour les européistes, le but final est bien de remplacer nos 27 états nations par quelques 248 grandes régions, toutes soumises à Bruxelles, trop petites pour se défendre, et qui n’auront d’autre choix que d’obéir et de se la fermer, comme dans tout état totalitaire qui se respecte. Ainsi la construction européenne est en train de fabriquer LA dictature ultime pour nos enfants – le dictateur se trouvant bien à l’abri, de l’autre côté de l’Atlantique !

Les catalans, et chez nous les corses, bretons, alsaciens, et autres, feraient donc bien d’y réfléchir à deux fois : on peut aimer et défendre sa région et sa culture locale, ce qui est tout à fait honorable, mais de là à quitter l’état nation France, en s’imaginant que l’UE prendra gentiment le relais, c’est plutôt naïf et arriéré comme vision.

Le vrai problème aujourd’hui de la France reste d’abord et avant tout l’UE et ses traités débiles et auto-bloquants, lesquels nous ont conduit où nous sommes : plus de chômage, plus de précarité, moins de couverture sociale, avec la destruction des professions réglementées et des acquis gagnés par nos parents et grands-parents, souvent au prix du sang.

Ainsi, viser l’autonomie régionale, c’est clairement se tromper d’ennemi.

Et l’ennemi aujourd’hui, c’est celui qui utilise l’outil informatique pour nous asservir, passe son temps à nous espionner via ses smartphones fermés, s’emploie à imposer sa langue dans nos universités face à un français bien plus riche et nuancé, utilise ses outils de propagande, et notamment ses films, pour nous imposer sa vision racialiste et culturelle, et tout cela, dans le seul but d’enrichir quelques vieux milliardaires véreux et aigris, séniles et débiles !

Diviser pour mieux régner – c’est là toute la vision des grandes régions de l’UE ! Plus les autonomistes assureront leur travail de sape, et plus nous perdrons ce qu’il nous reste de chance de reprendre le contrôle de notre pays, pour nous et nos enfants !

Aujourd’hui la Catalogne – qui demain ?

Le seul parti d’opposition

2 octobre 2017 : depuis la fin du premier tour, le blacklistage médiatique de l’UPR et de son président M. François Asselineau a donc repris de plus belle, ce qui prouve bien que l’UPR est finalement le seul et unique parti d’opposition réel face aux traîtres et aux collabos en place, lesquels ont réussi à diviser les français en tranches de 20%, pour faire passer leur marionnette minable, dont l’incompétence, le ridicule et le narcissisme maladif soulève l’indignation et la critique ouverte, non seulement en France, mais dans tous les pays où il a l’outrecuidance de poser son séant.

C’est un fait : le système a peur de l’UPR, et ce n’est pas pour rien qu’il s’emploie à se fabriquer un opposant sur-mesure, via le tartuffe Mélenchon actuellement médiatisé comme jamais. Une blague pour qui a lu mon article précédent sur le personnage – et même sans l’avoir lu, la seule présence de M. Mélenchon au club des 5 de TF1, durant la présidentielle, suffit à prouver sa complicité et duplicité évidentes avec la dictature en place.

Les seuls « insoumis » réels en France, ce sont bien les militants UPR, qui se battent jour après jour pour faire comprendre à leurs proches qu’on ne pourra absolument rien faire tant que le contrôle du pays restera dans les mains de Bruxelles, Washington et Francfort.

Vous voulez du social ? Vous n’obtiendrez jamais rien avec Mélenchon, parce que ce type travaille pour l’Europe, contre nos intérêts.

Vous voulez lutter contre l’immigration ? Vous n’obtiendrez jamais rien avec le FN, parce que la smala Le Pen travaille pour l’Europe, contre nos intérêts.

Tant que les insoumis et les frontistes n’auront pas compris l’illusion même de leur partis respectifs, Attali et sa clique continueront tranquillement de les mener en bateau, comme ils le font avec succès depuis 20 ans.

C’est cela la triste vérité.

On ne parle même pas de ceux qui ont osé voté pour le parti du présidu actuel – ceux là ne méritent que le plus profond mépris. Le terme de collaborationniste me paraît bien trop doux pour ces gens qui ont choisi de trahir ouvertement l’état nation France. Il fut un temps d’ailleurs pas si éloigné que cela, où ces gens auraient été passés par les armes pour haute trahison.

Mais je m’interroge.

Une fois que toute l’industrie française aura été bradée aux américains, aux chinois et aux allemands, que le pays ne sera plus qu’un zoo vide, sans emploi, sans sécu, sans protection des travailleurs, que les industries seront mortes, et que tous les problèmes sociaux exploseront, que restera t’il à nos enfants ?

Entendons-nous bien : ce n’est pas un crime d’être riche si on a bien gagné sa vie, et qu’on a travaillé pour le devenir. C’est même un destin à encourager.

En revanche, cela devient un crime quand on passe son temps à voler autrui, en vendant des biens qui ne vous appartiennent pas.

Or nous sommes bien dans ce cas depuis l’ère Sarkozy, qui a bradé 20% de notre or alors qu’il n’était même pas encore président, ou avec M. Macron qui continue dignement son travail de sape, en bradant une seconde tranche d’Alsthom à Siemens, avec les chantiers naval STX en prime côté italien.

Je n’arrive d’ailleurs plus à comprendre ces gens de droite, souvent encartés depuis des années, qui se plaignent constamment de subir, à juste titre, l’assassinat de l’industrie française par leurs élites, avec des normes et des changements à outrance de direction à 180°.

Avec la fin de toutes les professions réglementées, exigée par Bruxelles pour nous ramener au niveau de salaire polonais, croient-ils sérieusement que leur petit réseau chétif les sauvera miraculeusement du déluge, ou que leur ténor leur tendra la main à la première grosse vague venue ? Il les enverra tous balader, et se tirera avec leur fric en sus !

Sérieusement : encore combien de « macronismes » débiles faudra t’il, pour qu’ils comprennent enfin que l’article 50, qui permet le « Frexit », est la seule et unique porte de sortie possible pour sauver notre pays de la merde européiste dans laquelle Maastricht l’a enfoncé ?

 

Comment se faire jeter de Facebook ?

3 juillet 2017 : comme prévu, je me suis donc fait jeter de Facebook, refusant de jouer l’esclave docile. Comprenez que contrairement aux chèvres de service, mon profil, qui ne contenait ni amis, ni autre données à revendre, ne valait pas les 60$ minimum requis pour rester dans le troupeau.

Alors pour s’amuser un peu dans ce monde de brute, je vous laisse donc lire le mail de Facebook et ma réponse qui suit.

1 / Le mail de FB :

Bonjour,

Conformément à la Déclaration des droits et responsabilités de Facebook, les profils ne peuvent représenter que des personnes individuelles. L’utilisation d’un profil pour représenter une marque, une entreprise, un groupe ou une organisation est contraire à nos règlements. Les profils représentant des animaux, des idées ou d’autres objets sont également interdits.

Il semble que le nom que vous avez demandé pour votre profil est le nom d’une entreprise ou d’une organisation, ce qui n’est pas conforme à nos standards relatifs aux noms des profils. Veuillez vous reporter à l’article des pages d’aide ci-dessous pour en savoir plus sur les noms sur Facebook :

https://www.facebook.com/help/112146705538576/?ref=cr

Si vous souhaitez continuer à utiliser un profil personnel, nous vous invitons à remplacer le nom de votre compte actuel par celui sous lequel vous êtes connu(e) dans la vie de tous les jours. Nous vous demanderons également de confirmer votre nom en nous envoyant une photo ou une copie numérique du ou des documents de votre choix dans notre liste des pièces d’identité.

https://www.facebook.com/help/159096464162185/?ref=cr

Vous pouvez nous aider à confirmer votre identité de deux façons :

– Envoyez-nous une photo ou une copie numérique d’un document du groupe 1, comme un permis de conduire, un passeport ou une confirmation officielle de changement de nom.

ou

– Envoyez-nous deux documents différents du groupe 2, comme un justificatif d’abonnement à un magazine et une carte d’étudiant ou un relevé de compte et un courrier à votre nom.

Avant de photographier ou scanner tout document figurant dans notre liste des pièces d’identité, n’oubliez pas de masquer les informations personnelles dont nous n’avons pas besoin, comme votre adresse, votre numéro de permis de conduire ou votre numéro de sécurité sociale.

Une fois que vous aurez modifié votre nom et regagné l’accès à votre compte, vous pourrez également créer une Page pour représenter votre entreprise ou votre organisation. Lorsque vous créez une Page basée sur votre profil, vous ne perdez pas vos amis ni votre contenu. Pour en savoir plus sur la création d’une Page basée sur votre profil, consultez les pages d’aide :

https://www.facebook.com/help/175644189234902/?ref=C

Cordialement,

Berthe
Community Operations
Facebook

2 / Ma réponse :

Madame,

Comme il est plutôt incongru de demander à une personne anonyme qui elle est (ce qui ne vous aura sûrement pas échappé j’espère), vous pardonnerez mon manque évident d’enthousiasme à vous fournir le moindre document personnel en retour de votre email.

Je ne nie en rien votre droit légitime à fermer mon compte – faites ce que bon vous semble : il n’était là que pour répondre de temps à autres à d’autres militants UPR, et sa fermeture passera pour ce qu’elle est en réalité : une censure évidente de la libre parole et de la liberté de penser.

J’en veux pour preuve évidente votre appétit gargantuesque à collecter, classer et ficher les données personnelles d’autrui, comme ces braves fascistes qui obligeaient les juifs à porter des étoiles jaunes pour mieux les identifier et les envoyer se faire gazer par trains entiers, il y a encore moins d’un siècle de cela.

Difficile de dire si vous êtes le principal investigateur de la « douche froide », où juste un simple collabo parmi les autres GAFAM, mais comprenez que votre service de renseignement, puisqu’il faut bien appeler les choses par leur nom, est pour moi le plus abject outil numérique de surveillance généralisée jamais inventé.

Je note d’ailleurs sur ce point un paradoxe évident de l’histoire : « Hitler en a rêvé – un juif l’a créé ». Preuve supplémentaire que les voies de Dieu sont vraiment impénétrables. Du moins si on s’en tient à la version officielle, la réalité étant apparemment plus « complexe » et bien moins avouable.

Quoi qu’il en soit, après ces quelques mois de « test », j’ai beaucoup appris sur vos méthodes de harcèlement quotidien et de conditionnement des individus, et je vous en remercie vivement. Je comprends bien mieux désormais comment vous parvenez à droguer littéralement des gens qui communiquent pour se rassurer, ont peur du lendemain/de la vie/de la mort, et dont bon nombre souffrent d’un manque chronique d’amour et de stabilité dans leur vie quotidienne.

J’en conclue au final que non content d’être fondamentalement néfaste, tant en terme de libertés individuelles qu’en terme d’intelligence économique, votre outil participe à l’entretien de « la névrose de l’abandon », qui consiste à se laisser conduire à l’abattoir sans broncher, parce que la bande de milliardaires actuelle, comme toutes celles qui l’ont précédées, sait ce qui est bon pour nous.

A croire que l’histoire ne sert qu’à créer des dictateurs puis des révolutions.

Sur ces quelques pensées, je vous dit donc « adieu », le cœur léger !

Kissifrot le Hérisson

 

 

Les charognards de la République

11 juin 2017 : les résultats du 1er tour des législatives tombent, et autant le dire tel que, ils ne sont pas meilleurs que ceux de la présidentielle.

Mais est-ce vraiment étonnant ?

Depuis le premier tour, les portes des grands médias se sont refermées aussi vite qu’elles s’étaient entre-ouvertes, et ce malgré l’excellente campagne présidentielle de M. Asselineau, qui a prouvé, traités et conférences en ligne à l’appui, que l’Europe nous ruine et nous spolie chaque jour un peu plus de notre démocratie.

Or cette vérité dérange beaucoup de français, drogués à leurs médias manipulateurs depuis 25 ans, avec une doxa qui fait passer tout anti-européisme pour un discours raciste et/ou xénophobe. Pourtant, entre les promesses de Maastricht et l’europe que nous avons obtenu, personne ne pourra nier qu’on nous a vendu du rêve, le projet actuel consistant à imposer une europe fédérale à laquelle nous avons dit NON en 2005, en soumettant nos états nations au « grand fédérateur extérieur » tout puissant.

Ce dernier a depuis 2004 trouvé le truc parfait pour nous envahir en douce, avec les  smartphones et autres outils numériques, qui nous transforment chaque jour un peu plus en petit esclave docile, localisable à tout moment.

Désormais toute confidentialité et respect de la vie privée sont proscrits par ces fournisseurs US, lesquels refusent explicitement de fournir les clés de LEURS appareils, y compris au gouvernement de leur propre pays. Et je dis bien LEURS, car en fait, vous n’achetez plus un appareil : vous le louez au fournisseur qui garde la main dessus. Certains souligneront que c’était déjà le cas avec la génération précédente de téléphones, ce qui est exact, sauf que l’ancienne génération était limitée en fonctionnalités, et plutôt aux mains des opérateurs locaux de l’époque. Le seul fabricant européen ayant été logiquement torpillé par les USA entre temps, nous sommes officiellement tombés dans la dépendance absolue.

Comme toujours, le problème du changement chez l’être humain est d’abord lié au temps.

Analyser et accepter les arguments UPR nécessite souvent plusieurs mois, et surtout une volonté farouche de comprendre ce qui se passe, avec une curiosité intellectuelle que tout le monde n’a malheureusement pas.

Comme les dinosaures qui les ont précédé, beaucoup de nos concitoyens refusent en effet de voir la météorite européenne signer l’extinction de leur pays et de leurs libertés. Soit ils s’en foutent, mais seront les premiers à se plaindre du chômage de leurs enfants, qu’ils auront eux-mêmes créé par leur inaction et leur manque total de lucidité. Soit ils savent parfaitement ce qui se passe, mais ont décidé de trahir les idéaux républicains, en rejoignant la mafia dominante, renforçant ainsi la corruption latente de cette poignée de traîtres à la nation et de leurs donneurs d’ordre fortunés qui nous ont mené au désastre.

Nourris par les mensonges quotidiens des journalauds et journalopes complices du système, le français de la rue est tellement conditionné par la désinformation qu’il n’est bien souvent plus capable d’analyser et de critiquer la merde médiatique qu’on lui prémâche et qu’on lui rabâche « sauce Cohen ». Le but du système est simple : produire un citoyen ignorant, obéissant, et surtout fier d’être con.

Et cela commence dès la scolarité.

Pour mieux préparer le futur travailleur-esclave, on a ainsi supprimé l’histoire de France du programme pour la remplacer par la construction européenne et les conflits israelo/arabes.

Côté langue, la volonté de faire passer le français pour une future langue morte est tenace, et ce alors que la langue de Molière est non seulement largement répandue sur le globe, mais qu’elle continue de croître et de se développer !

Quant au conditionnement des « adulescents »au smartphone dès le plus jeune âge, force est de constater que c’est un autre cheval de Troie particulièrement efficace, menant fatalement à une baisse globale de l’attention, de la concentration, et finalement des facultés d’analyse des élèves, sans parler de l’impérialisme culturel US qui explose sur les écrans et dans le cerveau des jeunes souris de laboratoire.

L’interdiction de redoubler, parce que trop cher pour l’état, mène désormais l’Éducation Nationale à relever chaque année les notes du BAC pour parvenir à ses 80% de réussite. Tout est fait depuis des années pour cacher la baisse globale de niveau, avec des BAC+x qui ne maîtrisent même plus la grammaire de base et l’orthographe ! Je ne parle pas des « petites » fautes que tout le monde fait au quotidien, mais de ces élèves qui vous font 3 et 5 fautes par phrase, et dont on se doute que la vie professionnelle future sera fatalement plus « compliquée ».

Faudra t’il bientôt chanter l’hymne européen ou américain avant la classe pour être de bons petits européens ? Avec les futurs « gouverneurs », en lieu et place des présidents de région actuels, rien n’est exclu.

J’arrête là la démonstration : avec un mois à peine dans l’entre deux tours, il était illusoire de vouloir faire comprendre à des drogués de 25 ans qu’ils peuvent jeter les médias de propagande du CSA à la poubelle, et qu’il est temps pour eux de réapprendre à utiliser leurs neurones. Le paradoxe ici, c’est que jamais une époque n’aura eu autant de moyens de communication, et jamais une époque n’aura vu autant de benêts se pavoiser dans l’ignorance et le mensonge d’autrui !

Autre triste record de ces législatives : plus de 50% d’abstention – du jamais vu ! Plus de 50% de gens qui auraient pu -au bout de 25 ans- voter enfin « utile », et commencer la libération de leur pays du joug bruxellois, en soutenant simplement un des 574 candidats UPR. Mais non.

Maintenant si les français sont trop cons pour lire, une fois tous les 5 ans, les quelques professions de foi qu’ils reçoivent dans leur boîte aux lettres, il ne faut pas non plus qu’ils viennent ensuite se plaindre des connards qui les mènent droit à la tombe ! Entre le taux de chômage et la précarité qui augmentent, les soins de moins en moins remboursés,  un système de retraite qui se privatise, et j’en passe : les adultes actuels brillent aussi par leur manque total de curiosité et d’ouverture intellectuelle.

L’Europe est en train de mener nos enfants dans la pire dictature qui soit, avec l’aide d’outils informatiques non libres contribuant à la pleine et entière surveillance permanente des masses. Ajouter à cela un état d’urgence permanent, bientôt reconverti en norme de fait, et il ne manque plus que la répression sauvage de masse pour passer du totalitarisme actuel au fascisme pur et dur.

Mais revenons-en à nos élections législatives.

Le ministère de l’intérieur aura également tout fait pour cacher cette UPR que le français de la rue ne saurait voir, via une excommunication en terme d’étiquette, malgré la demande des instances du parti d’apparaître sous son nom propre. L’UPR a ainsi été regroupée dans les « divers », ce qui correspond certes à sa place d’origine en terme politique, n’étant ni de gauche, ni de centre, ni de droite, ni d’extrême. Cela étant, M. Asselineau est intervenu dans les grands média sous la dénomination UPR durant la présidentielle. Il aurait donc été tout à fait logique d’utiliser cette même dénomination pour les législatives, et non de noyer les candidats UPR dans la liste des « divers », avec un nombre de clowns encore jamais vu.

Reconnaissons à ces derniers d’avoir réussi leur mission d’un jour : noyer le poisson UPR dans une multitude de candidats fantoches, sans parti ni consistance réels.

Face aux régionaliste et autres autonomistes de service, soutenus par Bruxelles pour faire éclater l’état nation France plus rapidement, la palme de l’imbécillité notoire revient sans aucun doute au parti animaliste, qui, avec une simple photo de chat sur ses affiches, a réussi le tour de force d’obtenir plus de 1% dans 50 circonscriptions, et qui bénéficiera donc de l’argent de nos impôts pour les 5 ans à venir ! C’est à ce genre de détail qu’on se demande sérieusement s’il ne faudrait pas retirer le droit de votes aux séniles et gâteux de service, totalement déconnectés des réalités !

Car la plus mauvaise nouvelle de ces élections pour l’UPR, c’est que n’ayant obtenu plus de 1% que dans 39 circonscriptions sur 574 présentées, notre parti est privé, une nouvelle fois, de financement public pour 5 ans !

Et là, je ne peux m’empêcher un gros carton rouge aux votants UPR de la présidentielle qui sont restés chez eux pour les législatives ! On ne défend pas des idées en restant le cul sur sa chaise : parfois, il faut aussi savoir se forcer ! Mettre un bulletin UPR dans une urne n’était pas si compliqué que cela, et c’était aussi quelque part un geste de respect envers tous les militant(e)s qui ont passé des heures, et souvent des jours, sur le terrain, à tracter et coller sur leur temps libre, le tout bénévolement.

Face aux opportunistes incompétents du candidat de Rothschild, totalement inconnus hier encore, l’UPR méritait mieux que cela.

Certes, le mécanisme de parasitisme et de courtisanerie a toujours existé dans l’histoire du monde, mais il atteint désormais cher LREM des sommets qui font passer la République de Chine ou la Russie pour des modèles de démocratie ! Et tant pis pour ces français trop naïfs qui découvriront très prochainement le désastre des GOPÉ (Grande Orientations de Politique Économique de la C.E.), document maintes fois annoncé et dénoncé par M. Asselineau durant la campagne présidentielle, et largement repris dans la campagne législative par les candidats UPR.

A noter enfin, et c’est la cerise sur le gâteau, un dysfonctionnement majeur d’un prestataire de l’état, qui a tout bonnement réussi le tour de force « d’oublier » les tracts et bulletins UPR dans les enveloppes officielles ! Iriez-vous voter pour des « candidats fantômes » ? Bien sûr que non ! Honnêtement : qui est assez idiot pour croire ici à un -énième hasard, quand on sait à quel point les enfoirés de service ont usé de tous les stratagèmes et  coups bas pour empêcher M. Asselineau de s’exprimer, depuis la création de l’UPR il y a 10 ans ?

Maintenant tout n’est pas rose non plus côté parti. Autant l’équipe de campagne UPR a remarquablement bien préparé et réalisé la présidentielle, autant côté organisation des législatives, le matériel électoral (tracts et affiches) est parvenu trop tard aux militants. Nous avons raté le coche entre le second tour de la présidentielle et le premier tour des législatives, là où d’autres partis avaient bien mieux préparé leur coup, et ont commencé à déposer leurs tracts dans les boîtes aux lettres quelques 3 semaines en amont !

Ce point étant fait, ma conclusion finale est que les fossoyeurs de la République vont donc enfin pouvoir faire leur sale besogne de charognards, dictée par Bruxelles et Washington, via des ordonnances préparées pendant ce petit mois de trêve. La boucherie macron est ouverte, et elle sera particulièrement sanglante, à n’en pas douter !

Ainsi le coup d’état des traîtres à la nation est une réussite totale, qui va permettre d’assassiner l’état nation France, avec la disparation déjà bien entamée de 20000 communes, et des départements. Il suffira ainsi de verrouiller les 16000 communes restantes pour empêcher toute concurrence loyale en 2022 ! Pas la peine de partir en Corée du Nord : désormais, la France officiellement sous le joug d’une dictature.

Quant à ceux et celles qui viendront demain prétendre haut et fort dans leur entourage que personne ne les avait prévenu, je répondrai que le déni et la paresse intellectuelle sont des choix personnels.

Car pour la première fois, depuis 20 ans, nous avons eu un homme intègre, M. Asselineau, qui a vendu la mèche, et qui a expliqué pourquoi le système européen et monétaire (euro) en place ne fonctionnent pas et ne fonctionneront jamais. Il eut été préférable pour nos enfants et pour nous-mêmes que chaque électeur et électrice de France eut la décence, et la sagesse, de bien lire les tracts UPR, et d’aller regarder les conférences vidéos abordables et explicites de M. Asselineau sur youtube et dailymotion.

Ce n’est pas pour rien que français et allemands sont en train de mettre la pression sur les réseaux sociaux, lesquels ont permis l’émergence et le développement des partis anti-européistes comme l’UPR. Pour la dictature européiste, il faut désormais bâillonner ces voix critiques qui menacent l’impérialisme américain tout puissant. Un comble d’absurdité de plus, quand on sait à quel point les médias du système sont les premiers générateurs de rumeurs et de fausses informations (fake news). Mais chut : le « sans-dents » français ne doit surtout pas remettre en cause le discours officiel du grand « Ministère de la vérité ».

Quant à savoir ce que vous pouvez faire pour la suite, le mot d’ordre est simple : adhérer à l’UPR. Plus un parti est gros, plus il est devient impossible de l’ignorer médiatiquement, et la communication a toujours été le nerf de la guerre en politique, surtout face aux grands médias contrôlés par le CSA, dont le président est directement élu par le roitelet quinquennal.

Maintenant le véritable problème de fond de ces élections, c’est qu’elles sont tout bonnement illégitimes de fait.

Illégitimes d’abord parce que  la loi Urvoas a trahi le principe d’égalité des candidats propre à la Vème République, en transformant l’élection française en une élection américaine, ou deux partis font mine de s’opposer à la ville, en couchant ensemble à la campagne, et en monopolisant tous les médias à leur seul profit.

Illégitimes ensuite parce que cette élection nous a prouvé que tous les grands médias sont morts et enterrés, or il ne peut y avoir de démocratie sans contre-pouvoir médiatique. Pas la peine de revenir sur l’omerta subie par l’UPR en la matière, elle est la signature flagrante d’un totalitarisme assumé.

Ainsi qu’on l’admette ou non, M. Macron n’est pas un président légitimement élu, et cela aura tôt ou tard de graves conséquences.

Le coup d’état sans armes auquel nous venons d’assister signe aussi l’échec des urnes, sensées canaliser la corruption propre aux êtres humain. Et le Conseil Constitutionnel, en laissant passer la loi Urvoas en 2015, a été le premier rouage pourri qui  a engendré la corruption de toute la machine. Dans ce sens, M. Fabius porte une très lourde responsabilité sur ce qui vient de se passer.

Quant à ceux et celles qui croient encore au mirage d’une VIème République, construite par un lieutenant du système européen, parfait politicard charismatique sans fond, il serait temps qu’ils relisent la définition du mot « manipulation ». Il a certes manqué quelques gardes-fou à la Vème existante pour éviter l’entrée officielle en dictature que nous venons de subir. Mais de là à tuer la Vème pour une VIème beaucoup plus « hasardeuse », il y a encore de la marge – et beaucoup.

Quoi qu’il en soit, les français n’ont plus que deux voies possibles. Soit continuer vers cette société d’esclaves modernes sous le joug des USA, qui nous entraîne irrémédiablement vers des conflits mondiaux nucléaires avec la Russie et la Chine. Soit chasser la racaille de nos palais, comme l’ont fait nos ancêtres, et reprendre le plein et entier contrôle de notre pays et de notre destin commun.

L’attachement de certains à une construction européenne qui nous mène au néant, est d’autant plus stupide que la situation de la France avant Maastricht était bien meilleure que la situation actuelle. L’Europe n’a cessé de détruire nos emplois, nos services publics, notre système de santé et nos autres acquis sociaux, au nom d’une mondialisation burlesque, qui ne profite toujours qu’à une poignée de pourris : ceux là même qui nous ont vendu leur projet dantesque en 1992 ! Ce n’est pas pour rien que nos voisins hors europe se portent tous bien mieux que nous, et que nos voisins britanniques ont récemment décidé de quitter le navire !

Que des jeunes, n’ayant pas encore appris à désapprendre, se fassent avoir par les discours vides et stupides d’un fils de Rothschild, peut encore se comprendre, surtout avec la propagande européiste qu’on leur balance à tout va.

Mais que des vieux trahissent ouvertement et en masse leur propre pays, pour vendre la terre de leurs ancêtres, et leur propre sang, à une mafia de quelques milliardaires véreux, c’est ubuesque et dantesque à la fois.

Le bilan est pourtant simple : l’euro a affaiblit notre économie, la paix en Europe n’est due qu’aux 200 têtes nucléaires de nos sous-marins tactiques (et non à la construction européenne ou à notre appartenance à l’OTAN), l’échange universitaire a toujours existé depuis le moyen-âge, et les grands projets industriels, notamment aéronautiques et spatiaux, n’ont pas attendu Maastricht pour se créer !

Bilan réel et utilité de l’Europe ? Zéro pointé !

Idem côté financier : l’argent n’est toujours qu’une monnaie de singe qui s’apprécie ou se déprécie au fil du temps. Avoir peur de sortir de l’europe à cause de ses économies est parfaitement ridicule, et d’autant plus risible que l’euro s’est déjà dévalué de 30 à 40% en toute discrétion médiatique !

Quant aux trolls qui promettaient la fin du monde au Royaume Uni, en cas de Brexit, pas de chance pour eux : les bonnes nouvelles économiques continuent de s’accumuler outre-Manche. On nous aurait menti ?

Combien de temps encore faudra t’il aux français de la rue pour se rendre compte que l’Europe n’a jamais rien apporté, n’apportera jamais rien, et ne fait que prendre à la France ?

 

 

Un pays de cons

24 avril 2017 : les résultats du 1er tour viennent de tomber, et autant le dire tout de suite : je ne pensais pas que 23% de mes compatriotes étaient assez stupides pour aller soutenir le candidat des banques, fabriqué par Jacques Attali. J’ai beau chercher une explication logique, je n’arrive pas à comprendre comment des êtres humains, sensés utiliser leurs neurones, ont pu voter pour un jeune loup de Rothschild sans expérience, et lui donner l’accès au bouton nucléaire. Ce n’est même plus de l’inconscience ou de la protestation, mais de la folie pure !

M. Asselineau a eu bien raison de qualifier cette personne de « bébé » : elle ne lui arrive pas à la cheville, tant en terme d’expérience professionnelle et notamment diplomatique, qu’en terme de culture historique ou générale, comme la campagne présidentielle l’a largement prouvé. Qui plus est, contrairement à M. Asselineau qui a la stature, le courage, l’analyse et la droiture d’un véritable chef d’état, le VRP promu par le système a bâti toute sa carrière en vendant le bien d’autrui – on l’a vu avec le scandale Alsthom ou la vente de la gestion l’aéroport de Toulouse, où il s’est brillamment illustré par sa nullité et sa stupidité notoire.

Enfin il faut rappeler que plusieurs de ses meetings marketing ont été un désastre : les gens partaient avant même la fin, et certains de ses meetings ont même du être annulés, faute de participants !

Mais qui a donc voté un clochard pareil ?

Des vieux qui n’ont pas internet pour aller se renseigner correctement sur le site de l’UPR, et qui se sont fait lobotomiser par leur télévision ? Des jeunes séduits par les formules marketing creuses et sans lendemain, et qui viendront pleurer encore plus la dégradation de leur emploi ou de leurs prestations chômage dans les 5 ans à venir ?

Car c’est désormais une certitude : dès le mois de mai, les GOPÉ (Grandes Orientations de Politique Économique) 2017, dont M. Asselineau a été le seul à parler, consisteront :
– à augmenter la TVA,
– à baisser l’impôt sur les sociétés pour faire encore plus de cadeau fiscal aux actionnaires des grandes entreprises,
– à « uberiser » l’ensemble des professions réglementées,
– à continuer de démanteler le droit du travail, en imposant le « CDI jetable » à tout moment, en lieu et place des CDD et CDI classiques,
– à diminuer les retraites et les dépenses publics – donc les services publics associés, mais aussi à démolir les associations qui dépendent en tout ou partie des subventions publiques, et dont certaines ont déjà mis la clé sous le paillasson suite aux GOPÉ précédentes,
etc.

Rappelons que les GOPÉ, édictées par Bruxelles, valent pour feuille de route chez les gouvernements européens, lesquels se prennent de lourdes amendes s’ils tardent trop à transcrire les lois européennes dans leur droit national. Et vous l’aurez remarqué comme moi : très étrangement, les GOPÉ n’ont jamais été reprises par aucun journaliste durant toute la campagne, malgré l’insistance de M. Asselineau dans ses interviews – et ce alors qu’elles expliquent, à elles seules, le POURQUOI nos gouvernants n’ont plus aucun pouvoir !

Dans les 2 semaines de temps égalitaire qu’on lui a enfin accordé, après 10 ans de blacklistage en règle dans tous les grands médias francophones, M. Asselineau a également été le seul candidat à expliquer que l’euro est condamné, et va nous entraîner dans une merde noire quand il va se casser la figure, ce qui ne saurait plus tarder vu les 829 milliards rapatriés sur la Bundesbank, et la faillite en cours de l’Italie, de l’Espagne, du Portugal et de la Grèce…

Cette monnaie commune nous entraîne tout droit à la ruine, et comme M. Brousseau l’a très bien expliqué : ceux qui sortiront de l’euro en premier seront ceux qui s’en sortiront le mieux – les autres payeront la facture des pays devenus insolvables. Je vous renvoie aux conférences de M. Asselineau et de M. Brousseau pour ceux qui ont encore un cerveau non reptilien.

Enfin, M. Asselineau a également été le seul à dénoncé le regroupement forcé de nos communes de France, qui vont passer de 36000 à 20000, ce qui permettra aux pourris en place de verrouiller pleinement la prochaine élection présidentielle. Nous venons clairement de rater ce qui sera sûrement la dernière chance de sortir de l’UE par la grande porte.

Les frontistes qui, pour la 7ème fois (!), vont perdre l’élection dans 15 jours, n’ont toujours pas compris, au bout de 30 ans, que leur parti a été sponsorisé par Jacques Attali et François Mitterand dans les années 80 pour verrouiller le second tour.

Ce masochisme des frontistes est d’autant plus inexplicable que M. Asselineau a pourtant expliqué que depuis 1992, Bruxelles dicte sa politique migratoire à la France, laquelle s’exécute platement. Donc même si Mme Le Pen devait miraculeusement être élue la semaine des 4 jeudis, elle ne pourrait toujours qu’obéir à son mentor réel, en bonne députée européenne, qui touche ses 15000 € mensuels depuis plus de 10 ans… Montants juteux auxquels il faut rajouter la martingale de son pater, « salarié » de mère Europe depuis 30 ans, et la génération suivante qui est déjà sur les bancs pour continuer à renflouer la SARL Le Pen !

Bref, pour les frontistes qui liraient ces lignes et ont encore un minimum de cerveau, comprenez que sans sortie préalable de l’UE, le programme de Mme Le Pen est de toute façon mort-né. Et – ô surprise – la profession de foi de la candidate est très claire : Mme Le Pen veut une autre europe, mais ne veut pas sortir de l’UE… 

Alors soit vous ne savez pas lire la profession de foi de votre candidate, soit vous refusez de la comprendre… Dans les deux cas, voter M. Asselineau  était pour vous le seul moyen de sortir réellement et directement de l’UE, pour ensuite avoir un vrai référendum sur l’immigration, lequel était déjà prévu côté UPR. Comprenez bien que quelle que soit l’issue du scrutin dans 15 jours, vous, les adhérents FN, vous avez déjà perdu !

Pour la suite, les candidats malheureux de l’oligarchie ont déjà tous appelé à faire front commun contre la « bête immonde » en moins de 24h chrono ! Ridicule ! cela fait maintenant 30 ans que M. Attali et ses sbires nous spolient notre démocratie, et j’en ai plus que marre de cette mafia de l’ombre qui devrait avoir disparu 6 pieds sous terre depuis longtemps !

Au bout du compte, quel que soit le gagnant dans 15 jours, ça ne changera plus rien pour nous : on va « manger » les GOPÉ 5 ans de plus, avec la destruction de tous nos acquis sociaux, sans compter la disparition pure et simple de l’état nation France qui est déjà bien entamée avec les grandes régions.

Et pas la peine d’espérer un mieux dans 5 ans : comme la Loi Urvoas de 2015 l’a démontré, ces enfoirés – non content de menacer les maires qui parrainent les autres candidats, et de réduire le nombre de communes à contrôler au nombre de 20000 – s’amusent désormais à changer les règles de l’élection 1 an avant la date officielle ! La France est désormais officiellement sous le joug d’une dictature : non seulement la démocratie française est en état de mort clinique, mais le 4ème pouvoir est définitivement enterré !

La seule bonne nouvelle dans cette élection, c’est qu’il y a en France 0,92% de gens qui ont appris et compris comment fonctionne la machine  européenne, et comment ce système détruit notre démocratie, via la tactique du salami, tranche par tranche, comme l’a très bien expliqué M. Asselineau !

A noter également que les médias aux ordres de l’oligarchie auront également ici joué leur plein et entier rôle de collabos du système, en empêchant le débat démocratique, et en le réduisant au final à 15mn par candidat individuel sur France 2, dans un second pseudo-débat de pacotille, sans aucune possibilité de confrontation directe !

Les attaques diverses des journalauds et journalopes du système, qui se sont pleinement employés pendant 2 bonnes semaines à faire passer M. Asselineau pour un complotiste anti-américain, forçant le candidat à utiliser son temps de parole pour se défendre, auront également démontré l’absence criante de « chiens de garde » indépendants dans cette élection. Mieux encore : on aura découvert que bon nombre des pigistes fascistes qui se prennent pour des stars du PAF ou de la radio ne connaissent même pas la Charte de Munich ! Mais il est vrai qu’on ne fait pas passer d’examen cliniques et cognitifs à ces « petits » inquisiteurs en herbe, dont on se demande sérieusement s’ils ont été recrutés dans un zoo ou une décharge publique, tant certaines interviews ont dépassé la limite du supportable.

Enfin, non content de nous mentir à répétition, on retiendra de cette misérable campagne que les candidats du système n’ont même pas eu le courage de se confronter directement à M. Asselineau dans une seule entrevue en tête-à-tête ! On imagine déjà à quel point Donald et Vladimir vont pouffer de rire et ridiculiser le futur flamby français qui leur arrive !

Et le pire, c’est que lors du premier et seul débat à 11 de la campagne, tout le monde a pu remarqué que pas un seul des 10 candidats n’a remis en cause les arguments du président de l’UPR – ce qui démontre une fois encore leur justesse et leur véracité.

Sinon je remets officiellement et virtuellement la palme de l’hypocrisie à M. Mélenchon, pour avoir tout de même réussi l’exploit de tromper 19% de crédules, avec ses plans bidons et sa VIème totalement burlesque.

Là encore, je trouve particulièrement lamentable de la part des mélenchonistes d’avoir été incapables de confronter leurs arguments à ceux de l’UPR pendant toute la campagne. Ces gens qui traitent ouvertement l’UPR de secte feraient ainsi bien de balayer d’urgence devant leur porte, car autant les UPRistes sont des gens qui critiquent tout, et vont vérifier les arguments de M. Asselineau sur internet, pour en conclure qu’ils sont recevables et exacts, autant les mélenchonistes auront particulièrement brillé par leur manque total d’esprit critique et de remise en cause, notamment face à des arguments mathématiquement imparables, largement relayés côté UPR dans les forums du web !

Entre le culte du chef et l’hypnose aveugle, il faut espérer que les mélenchonistes comprendront un jour qu’on ne règle pas les problèmes de son pays en jouant les moutons, surtout quand le berger a des actions dans l’abattoir européen ! M. Mélenchon aura ainsi assuré pleinement son rôle de collabo, en « neutralisant » environ 20% de gauchistes qui risquaient de rejoindre les analyses et les solutions de l’UPR. Quand à ceux et celles qui ont cédé au « vote INutile » pour se retrouver « plan T », ils n’ont que leurs yeux pour pleurer. Espérons que ceux là auront au moins appris qu’il faut toujours voter pour ses vraies convictions, et non parce que quelques connards aux ordres de l’oligarchie vous rabâchent, dans leurs torchons respectifs qui leur servent de médias, que tel ou tel candidat n’a aucune chance.

Au final, cette campagne présidentielle n’aura même pas eu droit à des débats d’idées : juste des formules marketing criées par un crétin tenu en laisse par les banques, et dont la campagne a « juste » coûté 18 millions d’euros au contribuable – car faut-il le rappeler, les partis ayant plus de 5% sont remboursés de leurs frais de campagne, ce qui revient donc à favoriser ouvertement la reproduction des gros phoques, au détriment des nouvelles idées et analyses

Elle est pas belle, la démocratie des riches ?

Pas de chance : c’est vous qui l’avez créé ! (si vous n’avez pas voté UPR, bien entendu !)