La censure UPR de Facebook – inédit !

10 janvier 2017 : on connaissait déjà la censure infâme de Wikipedia, qui refuse de créer une page dédiée UPR, et bloque actuellement toute modification sur la page de M. Asselineau, tout en continuant de relayer des sondages bidons où l’UPR est ouvertement « snobée »…

Mais en ce 10 janvier 2017, là, c’est la cerise sur la gâteau :

Voilà ce matin, ce qu’aperçoivent les internautes qui ne sont pas inscrits sur Facebook quand ils viennent consulter la page officelle de l’UPR :

URL : https://fr-fr.facebook.com/upr.francoisasselineau

 

Et voilà également ce qu’ils aperçoivent quand ils veulent consulter la page de M. Asselineau :

URL : https://www.facebook.com/asselineau

 

Ceux qui pensaient la chose impossible vont donc devoir se réveiller : nous assistons, pour la première fois au monde, à une censure politique de Facebook, qui empêche les internautes hors réseau de venir consulter librement les pages publiques de l’UPR et de M. Asselineau !

C’est tout simplement du jamais vu !

Et bien évidemment, les pages FB de nos concurrents sont quant-à-elles accessibles normalement – sans obligation de connexion, avec toujours l’encart habituel à la con pour inviter les « infidèles du facebookisme » à rejoindre le plus rapidement possible la secte toute puissante !

Voilà donc encore un outil américain, qui se présentait comme le chantre de la démocratie, et qui devient l’outil même du totalitarisme qu’il était censé combattre !

Personnellement, j’y vois surtout une preuve supplémentaire que l’UPR dérange énormément les intérêts de Washington… On ne pourra que s’en féliciter !

J’ignore enfin si ce blocage va perdurer ou pas, mais quand bien même l’accès normal reviendrait, cet épisode aura eu le mérite de lever le tabou.

Car même si l’UPR s’est développée via FB, face à l’omerta entretenue des grands média francophones, il n’en reste pas moins que fondamentalement, comme tout autre outil de communication, les réseaux sociaux ne sont pas « neutres », et ne peuvent pas le devenir, qu’ils soient tenus par des intérêts publics ou privés !

Ceux qui les ont créé et les possèdent gagnent beaucoup d’argent en recoupant et en commercialisant les profils des usagers. Quant à utiliser les pages populaires de l’UPR et de M. Asselineau pour « rabattre » le gibier réfractaire, en empêchant l’accès libre aux informations publiques stockées, cela souligne, une fois encore, le manque total d’éthique des esclavagistes concernés !

On verra bien comment va évoluer la situation, mais il est clair que la forfaiture étant désormais connue, elle sera d’autant plus surveillée attentivement et dénoncée comme telle.

Vive le Frexit, et vive la France libre !

Quand le « diable » est apatride…

27/12/16 : en cette fin d’année, faisons un peu le point sur les stratégies euro-Atlantistes en cours pour tenter d’enrayer le Frexit qui s’annonce :

  • diabolisation de M. Trump qui continue de plus belle, alors que le sieur n’est pas encore en poste, mais qu’il a déjà annoncé vouloir remettre l’ONU et l’OTAN à leur place, rejoignant en cela (et sur quelques autres points) le programme et l’analyse de l’UPR.
  • diabolisation de M. Putin, qu’on accuse d’ingérence électorale à tort et à travers, en oubliant l’ingérence américaine mondiale qui n’est plus à démontrer, et dont le bordel militaire, partout sur la planète, a causé la mort de millions de civils (sans compter les blessés), en emmenant l’armée française dans des guerres illégales de surcroît.
  • diabolisation des réseaux sociaux qui nous manipuleraient « à l’insu de notre plein gré », et permettraient à ces « salopards de populistes » que nous sommes de prospérer et de se développer. Il est vrai que travailler pour le peuple doit être particulièrement insupportable pour une bande de fascistes déguisés en démocrates à col blanc.
  • diabolisation sciemment entretenue et mise en avant effarante du FN dans tous les média francophones, dans le but de s’assurer le second tour à coup sûr. Reprise à tour de bras d’une promesse bidon de Mme Le Pen concernant un éventuel référendum de sortie de l’Europe, comme si Mme Le Pen et son père allaient demain remettre en cause les 36000€ mensuels d’indemnités de député européen qu’ils touchent… Il serait vraiment temps que les partisans du FN comprennent que leur parti n’a jamais eu vocation à gagner une quelconque élection : le seul but de la dynastie Le Pen est de « baiser » 15 à 20% d’électeurs, en les menant droit dans une impasse ! Que certains n’aient toujours pas compris la manœuvre au bout de 30 ans, et le fait que le FN n’existe que pour faire gagner les copains de l’UMPS, est tout bonnement sidérant de naïveté !

Et pendant ce temps-là, l’omerta médiatique totalitaire sur l’UPR et son président M. Asselineau continue de plus belle, malgré 14400 adhérents au compteur, et une bonne trentaine d’adhésion/jour !

Tous ces indices mènent ainsi à la même conclusion : une « trouille » de plus en plus marquée du parti unique français, pour ne pas dire une panique de plus en plus palpable à la simple évocation de l’Union Populaire Républicaine ou de son président M. Asselineau !

Mais comme le souligne à juste titre ce dernier, dans l’élection de 2017, il ne s’agira plus seulement de sauver la France, mais bien de sauver la démocratie et les droits de l’homme – ni plus, ni moins.

Et c’est clairement notre dernière chance de récupérer notre pays et notre souveraineté.

Si les français reconduisent un parti traditionnel, celui-ci ne pourra que continuer à obéir docilement aux ordres de  Washington. Le NPA, les verts, M. Mélenchon, M. Dupont-Aignan, le clan Le Pen, M. Valls, M. Fillon, et tous les autres clowns de type Macron sont tous des voies de garage, dont on connaît déjà parfaitement le programme, dicté dans les GOPE (Grandes Orientations de Politique Économique) à Bruxelles.

Entre temps, les traîtres à la nation auront fini leur génocide silencieux de 20 000 communes sur les 36 000 que comptent notre pays. De sorte qu’il deviendra impossible, même pour un candidat sérieux comme l’est M. Asselineau, de décrocher ses 500 parrainages. Comprenez qu’il suffira au grand parti unique FNUMPS de verrouiller les 16 000 communes restantes, et toute future élection sera pipée d’avance !

Et en cette fin 2016, j’espère sincèrement que tous les français, de tous bords, qui n’ont pas encore rejoint l’UPR, feront l’effort d’aller voir les vidéos en ligne de M. Asselineau, et comprendront qu’ils font fausse route avec les partis « traditionnels », lesquels sont tous des valais de l’oncle Sam !

Vive le « Frexit », et vive la France libre !

TF1 et France Télévision : un faux débat ?

16 décembre 2016 : on peut militer pour un parti sans être d’accord avec l’ensemble de ses propositions. Et il y en a notamment une, dans le programme de l’UPR, qui me paraît absurde.

Autant la renationalisation des sociétés d’énergie, de transport ferroviaire, d’autoroute, ou d’abduction d’eau, comme le propose M. Asselineau dans son programme présidentiel, je suis pour : ce sont des biens publics qui n’auraient jamais du tomber dans des mains privées.

Mais la renationalisation de TF1, là, je dis non : ce serait de l’argent foutu en l’air pour rien !

La télévision ne cesse de perdre des auditeurs au profit d’internet, et ce n’est pas juste un dégoût de la propagande gouvernementale et des publicitaires par les nouvelles générations : le fait est que la télévision est aujourd’hui dépassée.

Le temps où le téléviseur rassemblait les membres de la famille devant un même écran est révolu. Désormais chacun veut voir son programme sur son appareil, en s’isolant dans sa chambre et sur… internet bien sûr !

Dans les nouveaux modes de consommation, l’ordinateur remplace ainsi le téléviseur, et youtube/dailymotion les chaînes publiques ou privées. Exit donc le téléviseur, même avec accès internet incorporé : l’objet est déjà condamné !

Ce qui nous amène au second point : trop de chaînes publiques en France !

Alors que nous avons désormais des centaines de chaînes internationales disponibles via box ADSL, à quoi cela rime encore d’entretenir plusieurs chaînes publiques noyées dans la masse du net – surtout quand on observe les programmes minables proposés par certaines ?

Arrêtons la langue de bois : il faudra tôt ou tard dégraisser le mammouth France Télévision, et si ça n’a pas été fait par les gouvernements précédents, c’est tout simplement parce que les « affinités » entre politiques et journalistes ne sont plus à démontrer, à la ville comme à la campagne…

Cela va même plus loin encore, puisque l’omerta totalitaire de TF1 et FT sur l’UPR nous prouve chaque jour l’inutilité même et la dangerosité de ce média pour la démocratie !

Qu’il soit tenu par des intérêts privés ou par un gouvernement, il n’en reste pas moins un outil de propagande, incapable d’assumer la moindre indépendance. Il n’y a donc aucune « sécurité » à (re)nationaliser des chaînes privées, bien au contraire : je pense qu’il serait plus simple de privatiser les chaînes publiques, et d’imposer par la loi des quotas et des règles sur certains contenus, notamment pour revenir à une égalité de temps de parole politique pré-électoral, étrangement supprimée par la loi Urvoas de 2015, laquelle permet aux fascistes du grand parti unique FNUMPS de monopoliser définitivement les média à leur seul profit…

Aujourd’hui, tout un chacun peut produire ses vidéos, faire ses montages, publier le tout sur le web. Même la création de contenus culturels ou éducatifs n’est plus l’apanage de chaînes spécialisées. Le téléviseur est déjà devenu un objet de musée dans de nombreux foyers, dont le seul rôle consiste à maintenir les papis et les mamies sous sédatif audiovisuel, et les endormir debout le soir venu !

Osons donc le dire clairement : la télé, c’est un truc de vieux !

Entre les émissions cultes de Michel Polac, le redoutable bâtonnier Pierre Desproges, un CANAL+ ultra-provocateur à ses origines, et des guignols de l’info, dont certains sketchs nous ont bien fait rire, la télévision a vécu. Vive la télévision !

Pour toutes ces raisons, je pense donc que la proposition de renationaliser TF1 est un contre sens évident du programme de l’UPR. La présence de qataris dans les actionnaires de TF1 ne justifie pas le rachat onéreux d’un medium dépassé.

Dans ce blog, je dénonce très largement les abus répétés des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) et des fabricants de matériels informatique, qui ont cumulé un pouvoir effarant sur nos vies et celles de nos proches, avec des conséquences largement plus néfastes qu’une chaîne de télé privée minée par 20% de qataris.

Se focaliser ainsi sur la télévision, c’est clairement se tromper de cible, alors que les enjeux réels de nos libertés et de notre souveraineté numériques se situent désormais dans nos ordinateurs et nos smartphones.

Plus globalement, il est impossible de sortir de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN, en continuant la soumission numérique béate aux GAFAM que l’on observe depuis 25 ans, via la vente liée/forcée en magasin, via les partenariats Éducation Nationale/Microsoft, via les contrats OpenBar de M. Le Dryan, et j’en passe (cf. reste de mon blog pour les détails).

Et là, si je n’attend pas d’un homme politique d’un certain âge qu’il se transforme par magie en ingénieur informatique chevronné, je pense qu’un minimum de culture informatique est quand même nécessaire pour pouvoir prendre les bonnes décisions le moment venu.

Or dans l’entretien d’actualité du 14 décembre 2016, réalisé en direct (exercice difficile et courageux s’il en est), restons honnêtes : sur la question d’un internaute qui voulait savoir si l’UPR prévoyait un OS souverain, comme les chinois le font déjà avec une distribution GNU/Linux basée sur la Ubuntu, on a bien senti au départ que M. Asselineau n’avait pas tout de suite su « traduire » la demande…

Pour moi, qui ait réalisé ce blog dans le but d’éviter précisément ce genre de « couac », c’est un peu énervant et lassant… J’espère donc que les prochaines questions en la matière seront mieux préparées par les conseillers en communication de l’UPR.

Personne ne peut aujourd’hui se payer le luxe de négliger la partie informatique, qui fait partie intégrante de la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN.

Sur ce, vive le « Frexit », et vive la France Libre !

Wikipedia : une encyclopédie fasciste ?

11 décembre 2016 : on rappellera d’abord que l’Union Populaire Républicaine est le seul parti politique à ne pas disposer d’une page wikipedia dédiée, malgré les protestations ouvertes de nombreux internautes. Seule la page de M. Asselineau est en ligne, sur laquelle on peut désormais lire le message suivant :

« Cette page est l’objet d’un important désaccord entre participants et ne peut temporairement pas être modifiée. »

Impossible donc d’y modifier ou d’y préciser des choses, et ce alors que le compteur du site http://upr.fr approche désormais les 14 000 adhérents réels (mi-décembre 2016), à comparer aux 60 000 adhérents « virtuels » (puisque non vérifiables par un organisme indépendant) d’un parti concurrent, malgré l’omerta médiatique des grands média qui continue de plus belle, et une campagne présidentielle qui n’est même pas encore officiellement lancée !

Ce faisant, wikipedia démontre le visage d’une encyclopédie totalitaire qui a définitivement perdu sa neutralité, et donc sa raison d’être.

Il suffit d’ailleurs de lire les propos de certains modérateurs de la page pour se rendre compte que non contents de prendre ouvertement parti contre M. Asselineau, le blocage est d’ors et déjà programmé pour durer au moins jusqu’à mi-mars 2017, sinon jusqu’à l’élection ! On croît rêver devant un tel parti pris, et ce d’autant plus que ce blocage est, une fois encore, le fruit d’un nombre restreint de personnes.

Considérant ces faits, j’ai logiquement décidé de ne plus donner un rond à l’encyclopédie, et ce quel que soit le résultat des urnes. Et j’espère bien que bon nombre d’internautes feront de même, et dénonceront ouvertement cette trahison assumée sur les réseaux sociaux, trahison qui – très étrangement -ne touche aucun autre parti politique !

Entre les 180 000 électeurs UPR en 2015, et les millions à venir en 2017, je laisse aux modérateurs le soin de calculer ce qu’ils vont perdre en jouant à ce petit jeu.

MAJ 8 janvier 2017 : je viens de découvrir que Wikipedia relaie des sondages sur la présidentielle de 2017, dans lesquels, très étrangement, M. Asselineau et l’UPR n’apparaissent qu’une seule et unique fois !

Chacun pourra ainsi se convaincre de la propagande évidente des sondeurs eux-mêmes, qui se gardent bien de citer leurs commanditaires ! Mais c’est surtout le fait de voir Wikipedia relayer cette propagande de bas étage qui démontre à quel point l’encyclopédie en ligne est devenue anti-démocratique.

Quoi qu’il en soi, après le Brexit ou l’élection de M. Trump, gageons que nous découvrirons encore bien d’autres chefs d’oeuvre de désinformation euro-Atlantistes dans les prochaines semaines ! De toute façon, si les peuples suivaient les sondages, on s’en serait aperçu depuis longtemps !

MAJ 3 juillet 2017 : le totalitarisme continue de plus belle – je vous lire le post en anglais de Cvrx que j’ai découvert : cf. https://en.wikipedia.org/wiki/User:Cvrx

Vive le « Frexit », et vive la France libre !

Une main de fer dans un gant de velours

13 novembre 2016 : je tiens ici à remercier France Maghreb 2 pour le débat radio accordé à M. Asselineau dans « Le Grand Forum ».

Dans cette interview plutôt « musclée » sur sa fin, M. Asselineau démontre sa capacité à tenir le « choc », face à un certain type de harcèlement (PNL?), que l’on retrouve très fréquemment dans les grands débats politiques. En répondant fermement à son interlocuteur, et en lui disant ce qu’il pense très justement sur le moment, en toute courtoisie (comme toujours), M. Asselineau a non seulement su garder le fil, mais reprendre immédiatement son calme après la tempête. Et ça, c’est clairement la marque d’un homme d’expérience, posé, clair, respectueux, mais aussi prêt à en découdre quand cela est nécessaire !

Après une telle démonstration de force, on comprend beaucoup mieux pourquoi ses opposants politiques ont une telle trouille de le laisser s’exprimer et de débattre avec lui !

En tout cas, je sens qu’on va bien et beaucoup s’amuser quand M. Asselineau annoncera ses 500 parrainages, et que les portes médiatiques seront obligées de s’ouvrir !

L’UPR et la « neutralité » suisse

17 novembre 2016 : dans mon article « les Tontons Flingueurs », je m’intéressais au cas de la presse française, largement phagocytée par l’oligarchie.

Mais comme beaucoup, il m’arrive quotidiennement de consulter la presse de nos voisins limitrophes, dont bien entendu la Suisse, et là, mon expérience est la suivante.

Pour avoir d’abord « redirigé » un journaliste suisse du journal Le Temps, apparemment intègre et sérieux, qui ne connaissait pas l’UPR, et avait consacré un article sur les partis politiques français en « oubliant » M. Asselineau et l’UPR, je me suis qu’il y avait peut-être un défaut d’information. Après tout, on ne pas non plus demander la lune à un journaliste étranger, qui a aussi son lot d’articles quotidien à faire sur son propre pays, et doit faire avec le temps et les informations qu’il a.

MAJ 27/11 : le journaliste en question a finalement accordé un article à M. Asselineau, preuve de son professionnalisme et de sa bonne foi – merci à lui. Je ne manquerai évidemment pas de mettre le lien ici si cet article est repris sur le site web du journal.

MAJ 16/12 : après une recherche, je suis tombé sur cet article récent : L’Union européenne, démon présidentiel français, où l’auteur cite explicitement M. Asselineau.

Ce cas à part, les choses se sont passées beaucoup plus mal chez bon nombre d’autres « canards déchaînés » en ligne…

  • sur arcinfo.ch : censure directe et intemporelle à la moindre allusion à l’UPR ou M. Asselineau. Il faut dire que ce journal semble très proche du journal le Monde, comme par exemple dans cet article appelant au boycott des réseaux sociaux, dont la similarité avec celui du journal français est quasi évidente…
  • sur lematin.ch : à chaque fois que je veux poster, j’ai droit à un « votre compte n’a pas été activé ». Pas moyen d’activer mon compte : j’ai donc envoyé un mail à la rédaction pour demander comment finaliser cette activation. Aucune réponse à ce jour, donc aucune possibilité de poster ! Où comment garder la tête bien enfoncée dans le sable en faisant semblant de ne rien voir…
  • sur tdg.ch (Tribune de Genève) : mes posts semblent passer normalement, mais soyons clairs : ce journal est la vitrine déclarée du FN, avec une photo de Mme Le Pen en page de garde qui remue l’estomac à chaque visite, et ce depuis des mois ! M. Asselineau a pourtant largement expliqué que le FN n’existe que pour gagner les élections au second tour à coup sûr. Dès lors, le but réel poursuivi par la rédaction devient évident.

La liste n’est bien entendu pas complète : je ferai au fur et à mesure de mes découvertes, mais une chose reste certaine : il serait temps que les citoyens  suisses balaient un peu devant leur porte, parce que de toute évidence, les problèmes de corruption et de contrôle absolu de l’information que nous connaissons en France sont aujourd’hui exactement les mêmes en Suisse !

En tout cas, si je vivais aujourd’hui en Suisse, je m’abonnerai d’urgence à Le Temps, puisque c’est le seul journal qui a au moins cité l’UPR et M. Asselineau suite aux remarques précédentes, comprenez qu’on y trouve encore quelques journalistes sérieux, honnêtes et indépendants, qui font réellement leur boulot !

Bravo donc à Le Temps de sauver l’honneur suisse !

Plus globalement, il est évident que le « grand ménage » devrait également être la règle pour tous nos autres voisins limitrophes : les mêmes qui crachaient sur le Brexit ou canonisaient mère Clinton-Theresa dans leurs torchons respectifs…

Il est ainsi évident que l’omerta médiatique sur l’UPR dépasse largement nos frontières, et vise d’abord les pays francophones. Mais il est quand même très surprenant, vu de France, que nos voisins suisses pourtant hors C.E., ne soient même plus capables de respecter la neutralité qui faisait leur réputation il a encore 20 ans…

En 2011, M. Asselineau proposait déjà de remettre à plat le financement des média français (voir la vidéo à la fin de l’article « Les Tontons Flingueurs »), nos grands média n’étant plus que des armes de désinformation massives, à la solde de quelques milliardaires véreux.

A l’UPR, nous voulons une presse « libre » pour nos enfants, respectant la charte du journalisme, et non une troïka à la solde d’une mafia de corrompus et de traîtres. Alors sortons de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN, et donnons à M. Asselineau les moyens de faire le ménage qui s’impose !

Vive le « Frexit », et vive la France libre !


Les « tontons flingueurs » de la presse et du web !

Novembre 2016 : alors que l’UPR continue à subir une omerta médiatique jamais vu dans notre bon pays, il est temps de séparer la bonne presse de la mauvaise, et de nommer explicitement tous ces journaux qui s’emploient à désinformer les français, que ce soit dans leurs colonnes ou sur leur site internet !

1 / Les « bons »

On trouve chez eux des articles présentant l’UPR de façon relativement neutre et objective. Bref, de vrais journalistes, comme on aimerait en voir plus souvent…

Agoravox
Le Courrier Picard
L’Est Républicain
La Dépêche
La Montagne
La Voix du Nord
Le Dauphiné libéré
L’Opinion
Marianne

2 / Les « brutes »

Ceux-là naviguent entre minimum de visibilité et désinformation.

Le Figaro (groupe Dassault) : a enfin accordé un article papier sur l’UPR et M. Asselineau et – fait rarissime – avec photo pleine page en une du magazine (numéro presse du vendredi 11 / samedi 12 novembre 2016). Côté web en revanche, c’est plutôt le calme plat. À part un article polémique sur l’UPR, rien d’autre pour le moment, même pas de trace de l’article papier…

Wikipedia (encyclopédie en ligne) : comme d’autres internautes, j’ai constaté assez effaré que l’UPR n’a même pas droit à sa page dédiée ! Une recherche sur le mot clé UPR dans Wikipedia donne déjà un bon nombre de résultats fantaisistes et dépassés, et quand enfin on trouve l’Union Populaire Républicaine, le lien redirige vers la page de M. Asselineau.

Je vous laisse lire mon autre article sur « Wikipedia, une encyclopédie fasciste ? » pour plus d’infos. Il est clair que l’omerta wikipédienne est désormais avérée, puisque les modérateurs sont même allés jusqu’à bloquer les changements sur le page de M. Asselineau…

3 / Les « truands »

Ceux-là déshonorent clairement la profession journalistique, en crachant ouvertement sur les principes de base de leur métier, et s’imaginent qu’on gobera demain l’excuse bidon du « je ne savais pas ».

Tout le monde pourra ici constater que tous ces titres sont aux mains de banquiers et d’industriels proches du pouvoir. On évitera quand même les placements politiques précis des personnes citées. D’abord parce que les partis politiques traditionnels sont tous de mèche dans l’omerta subie par l’UPR – pas la peine d’en viser un plus qu’un autre. Ensuite parce que comme les chiens, les grands industriels mangent dans toutes les gamelles – l’essentiel, c’est le contenu. Quant aux banquiers, qui soutiennent les millions de passifs des vieux partis et ont une peur bleue de devoir éponger les dettes, je pense que ça ne vaut même pas la peine d’en parler !

20 minutes : Spir Communication / Schibsted (norvégien)
Direct Matin : Bolloré
Le Monde : Mathieu Pigasse et Xavier Niel (Free)
Le Parisien : Bernard Arnault (LVMH)
Le Point : François Pinault (Artemis)
Le Progrès : Crédit Mutuel
Le Républicain Lorrain : Crédit Mutuel
Les Dernières Nouvelles d’Alsace : Crédit Mutuel
Les Echos : Bernard Arnault (LVMH)
Libération : Patrick Drahi (SFR)
Metro : groupe TF1
Ouest France : Spir Communication / groupe Sipa

4 / Autres sources précises

Le résumé d’Agoravox qui résume qui possède les média en France.

L’infographie du monde diplomatique qui démontre à quel point la presse libre est une espèce à protéger d’urgence !

5 / Conclusion

9 « bons », 2 « brutes » et 11 « truands ». On se croirait dans un mauvais western « spaghetti » à un petit détail près : seuls les « bons » survivront à terme, parce que dans le modèle économique payant, qui deviendra tôt ou tard la règle du net, les français n’iront pas soutenir les enfoirés et les manipulateurs.

Si on fait exclusion des « collabos » zélés de Vichy, M. Asselineau a aussi plusieurs fois reporté le fait avéré que de bons journalistes sont en fait « baillonés » par leur direction. Dans la vidéo suivante, il propose de nombreuses solutions pour remédier au problème :

Là encore, il ne faut pas attendre de l’oligarchie en place un quelconque changement : seule l’UPR et M. Asselineau ont la réelle volonté de « casser » cette « mise à genoux » des grands média. Et vu l’omerta médiatique qui continue sur l’UPR, nul doute que M. Asselineau aura à cœur de faire tout le nécessaire !

Bref, si nous voulons autre chose qu’une dictature, contrôlant d’une main de fer ce que le peuple doit entendre, croire et vénérer, il va falloir sérieusement nous remuer, et commencer bien entendu par voter UPR aux prochaines élections !

Trump élu – encore un bras d’honneur à nos média !

9 novembre 2016 : M. Asselineau peut légitimement pavoiser – son diagnostique était, une fois encore, le bon ; et la presse française et européenne de découvrir soudainement, après des mois de matraquage anti-Trump, qu’il va bien falloir faire avec l’intéressé !

Mais où sont donc passés les principes fondamentaux du journalisme, tels qu’édictés dans la Charte Éthique Professionnelle des Journalistes, issue de leur propre syndicat national ?

Qui sont donc ces pigistes qui, non contents de prendre parti, de désinformer les gens, en triant ce qui les arrange, et en omettant/déformant ce qui ne les arrange pas, s’emploient chaque jour à mener les français en bateau ?

On connaît bien entendu « libération », complètement enchaîné à ses actionnaires, ou « le Monde », qui ne regarde jamais plus loin que la porte de sa rédaction, ou encore Ouest-France qui – comme son nom l’indique très justement – est complètement à l’ouest, et bien d’autres encore qui n’ont jamais écrit le moindre article sur M. Asselineau et son parti en 9 ans !

Avec les banques et les capitaines d’industries qui dirigent ces titres, et dont les connivences évidentes avec le grand parti unique FNUMPS ne sont plus à démontrer, pas la peine d’attendre autre chose que de la désinformation et de l’anti-Trump primaire et gratuit – comme si Mme Clinton était une sainte vierge pudique et intouchable – M. Assange et Wikileaks en rient encore !

Côté grandes ondes et courtes, là encore, c’est le silence radio sur l’UPR. Car si M. Asselineau a, plusieurs fois déjà, été invité sur des radios locales modestes, aucune radio de Radio France ne lui a pour le moment ouvert ses portes.

Et puis on connaît enfin le CSA, dont on rappelle que les 7 membres sont élus comme suit :
– 3 sont désignés par le président de l’Assemblée nationale
– 3 sont désignés par le président du Sénat
– le président du Collège est désigné par le président de la République.

Tout ce beau monde travaille donc pour l’oligarchie en place, et n’a bien entendu aucune intention de laisser M. Asselineau présenter son programme politique aux français !

Pire encore : le CSA et ses maîtres s’emploient désormais à imiter le système américain, où tout le temps de parole est monopolisé par deux grands partis, qui se renvoient mutuellement la balle.

Ainsi en 2015, Ms Bruno Le Roux et Jean-Jacques Urvoas ont discrètement réussi à faire passer leur projet de loi visant à favoriser encore plus le temps de parole des grands partis ! Oui, oui : vous avez bien lu. Ils ont tellement les boules de perdre la cuvette de chiotte qui leur sert de trône, qu’ils se sont mis d’accord, tous ensemble, pour légiférer contre l’égalité du temps de parole !

On est ainsi passé – très discrètement – d’un système où tous les partis, quelques soient leur taille respective, avaient le même temps de parole, à un nouveau système où 6 mois avant l’élection présidentielle, le temps de parole n’est plus « égalitaire » mais « équitable » : si le parti A est 5x plus gros que le parti B, A aura 5x plus de temps de parole que B ! Ce n’est que 2 semaine avant l’élection que le temps de parole redevient égalitaire. Quoi ? Vous n’étiez pas au courant ? Vos chers média publics ne vous ont pas informé ? Quel dommage…

Bref, « l’équité » pour l’UMPS, c’est de monopoliser tous les média pour eux ! On est officiellement entré, en 2015, dans un totalitarisme pur et dur, complètement assumé par une bande de salopards qui, non contente de mener la vie dure aux challengers côté promesses de parrainage, s’emploie désormais à une main mise totale sur les outils de communication, parce qu’il ne faut surtout pas que que les français apprennent leurs petits combines d’enfoirés de service !

Voilà où on en est arrivé après plusieurs septennats et quinquennats du grand parti unique qu’est « l’UMPS » – car il est bien évident que ces gens travaillent ensemble, main dans la main, pour reproduire le système américain en France.

Quant au FN, il participe pleinement à jouer les soupapes du pouvoir. Il n’y a qu’à regarder le rapprochement fait entre M. Trump et Mme Le Pen pour se rendre compte de l’effet people recherché. Comme l’explique très bien M. Asselineau, le FN fait partie intégrante de l’oligarchie en place, et n’a jamais demandé la sortie de l’Europe ou de l’OTAN. Et vu que la famille Le Pen « caquette » désormais à plusieurs, on entend tout et son contraire dans la basse-cour : l’un va dire blanc, l’autre noir, et le troisième gris – l’embrouille est désormais totale, histoire de bien « enfumer » les français trop crédules !

« L’UMPS » sait de toute façon que tous les autres partis n’ont aucune chance de lui piquer sa place, sauf cette foutue UPR ultra-dangereuse, avec quelqu’un de réellement compétent à sa tête, qui propose un programme politique sérieux, qui fait l’effort d’aller parler aux français, et qui n’hésite pas à laver le linge sale européen en public, en informant le peuple français de ce qui se passe réellement en coulisse !

Et tant pis si M. Olivier Schrameck, président du CSA, trahit ici ouvertement son pays. Comme pour M. Le Dryan qui a vendu la souveraineté de notre armée à l’OTAN, on rappellera que le « crime de haute-trahison » a été supprimé de notre constitution en 2007, juste avant l’élection de M. Sarkozy. Là encore, M. Asselineau s’est engagé à le rétablir au plus tôt une fois élu, et nul doute qu’il y aura beaucoup de « ménage » à faire dans ce pays, en particulier du côté de France Television et Radio France, avec une redevance TV qui pourra enfin être redirigée vers des services publics utiles.

Conclusion

L’idiotie évidente des partis en place fait quelque part plaisir à voir, parce que ces gens n’ont toujours pas compris que l’internet est le véritable vecteur d’information aujourd’hui. Tous ceux qui ont une cervelle savent depuis longtemps que nos média nationaux sont des menteurs à la solde du parti unique « UMPS », et qu’il faut désormais chercher ses informations sur le web, c’est-à-dire sur le seul média qui échappe encore à la censure.

L’omerta sur l’UPR ne fera toujours qu’une chose : accroître la légitime frustration et la colère du peuple français, qui en à marre de voir des « collabos » et leurs complices le tromper ! Les mêmes têtes produiront toujours les mêmes effets, et les français en ont marre de voir des incapables et des incompétents mis en avant par leurs média complices.

Après le Brexit et la victoire de M. Trump, l’avenir est plus ouvert que jamais, et nul doute que l’UPR et M. Asselineau sauront en profiter pleinement !

Vive le « Frexit », et vive la France libre !

Quoi ma gueule ?

Octobre 2016 : je lisais encore récemment des commentaires de blogs dans lesquels les auteurs respectifs s’en prenaient au physique, à la tenue et à l’attitude de M. Asselineau, et je dois avouer que j’ai passé un excellent moment de détente !

Alors cher lecteur, posons-nous la question de savoir quels doivent être les attributs du « parfait » président – de ce mec providentiel qui va illuminer de sa simple présence tous ceux qui oseront l’approcher.

1 / L’attitude.

Celle de M. Asselineau me paraît plutôt franche et directe. Elle peut devenir agressive en cas d’attaque, ce qui paraît bien normal, considérant qu’un homme politique doit aussi être quelqu’un de caractère, capable de ne pas se laisser marcher sur les pieds, et de défendre ses idées haut et fort.

2 / La fierté

Certains disent M. Asselineau trop fier. Personnellement je n’aime pas la fierté : ça rend con et vaniteux. Mais je peux comprendre que quelqu’un qui en a bavé pendant des années, et qui voit enfin son mouvement s’agrandir et accélérer, puisse afficher une certaine satisfaction du travail déjà accompli.

Bref, je ne pense pas qu’on soit ici en présence d’un fierté de type « sans dents », ou de type « casse toi pauv’con », mais bien d’une fierté de reconnaissance, ce qui n’est pas du tout la même chose…

3 / La tenue

Concernant la tenue de M. Asselineau, elle me paraît tout à fait « standard » pour un candidat aux présidentielles de 2017. Et je doute fort, vu le CV du personnage et son âge respectable, qu’il portait encore des jeans ou sortait en tongues il y a 9 ans…

On est loin d’un ancien reportage sur un ex-directeur du FMI, grand adepte des Sofitel, filmé au pied du lit dans une tenue largement plus « dangereuse » !

4 / Le physique

Mais honnêtement : qu’est ce qu’on en à foutre du physique ?

On n’est pas à l’élection de Miss France ! Non, sincèrement : il faut vraiment être débile profond pour oser un argument de ce type !

Prenez ensuite le physique des grands hommes et femmes de l’histoire : vous trouverez à boire et à manger !

5 / Conclusion

C’est un classique en communication : quand on n’a pas d’arguments tangibles à opposer à un programme politique adverse, on finit toujours par s’en prendre à la personne, à son physique, à sa tenue ou à son attitude !

C’est mesquin et d’une bassesse absolue, mais il y a toujours quelques benêts pour tomber dans le panneau, et réagir sur ces torchons. On devine surtout des auteurs respectifs la trouille, la déception, et la rancœur de voir l’UPR réussir là où ils ont échoué. Mais ce n’est pas le fond du débat qui nous préoccupe.

La sortie de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN repose sur des arguments fiables, honnêtes et argumentés. L’énorme travail de recherche et d’éducation, mis en ligne et affiné par M. Asselineau au fil des ans, s’avère très difficile à miner pour ses détracteurs, parce qu’il est impossible de nier des évidences, et parce que non content de montrer que l’Europe ne marche pas depuis ses origines, ces travaux prouvent définitivement qu’elle ne marchera jamais !

Même élu, il faudra à M. Asselineau du temps pour bouger les lignes et remettre de l’ordre. La sortie de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN ne réglera donc pas miraculeusement tous nos problèmes du jour au lendemain d’un claquement de doigt ; il faut raison garder. Mais cette sortie offre la seule réponse logique au problème de fond qui nous affecte tous : cette certitude que notre propre pays ne nous appartient plus, et qu’on nous a volé notre avenir !

Plus que jamais, la France doit maintenant revenir dans les mains des français.

Vive le « Frexit », et vive la France libre !

Non : nous ne sommes pas anti-américains !

On voit sur la toile de nombreux blogs qui essaient de faire passer les militants UPR pour des anti-américanistes primaires.

Alors certes, nous avons un problème évident avec les dirigeants, les multinationales, et le complexe militaro-industriel américains, mais en aucune façon avec le peuple américain, qui subit, malheureusement tout comme nous, la folie et la corruption de ses élites !

Comme chez nous, les média et partis américain s’emploient ainsi à cacher les 20% de gens qui ne votent ni conservateurs, ni républicains, sans compter les abstentions de toutes sortes. On prive le peuple américain de l’information véritable, en lui laissant finalement le choix entre deux dictateurs, aussi pourris l’un que l’autre.

Et l’on est en train de faire exactement de même en France, avec une mafia gauche/droite qui pratique une omerta médiatique de fer sur l’UPR et son président M. Asselineau depuis plus de 9 ans, et qui est même allée, en 2015, jusqu’à changer les règles de temps de parole via la loi Urvoas, afin de s’octroyer le maximum de visibilité dans nos média !

Ce n’est pas cela la démocratie !!!

En tout cas, pas celle qu’on nous a enseigné, et dans laquelle les idées politiques sont sensées mener à des débats publics entre candidats, avec les français pour témoins.

Et sur ce point, la lâcheté évidente de nos adversaires politiques, à refuser le débat avec M. Asselineau, et la complicité patente de nos grands média, qui s’emploient à désinformer le peuple français au quotidien, démontrent à quel point notre pays est devenu une « dictature silencieuse ».

Enfin il serait quand même temps que ceux qui croient encore dans « l’American way of life » se réveillent et ouvrent leurs yeux ! Le modèle américain n’est clairement pas un exemple à suivre, ni pour sa partie civile, avec 1 américain sur 6 qui vit en dessous du seuil de pauvreté, ni pour sa partie militaire ! Personne de sensé ne peut aujourd’hui défendre les ravages de l’OTAN, avec mention spéciale pour la France en Lybie !

Si donc nous sommes anti-américains sur les points ici exposés, nous restons surtout, et avant tout, anti-européens, parce que nous voulons rendre à la France les clés de sa souveraineté et de son indépendance, lui rendre l’espoir qu’elle a complètement perdu, et lui bâtir un réel avenir avec des traités négociés et non subis  !

Vive le « Frexit », et vive la France libre !