Les « tontons flingueurs » de la presse et du web !

Novembre 2016 : alors que l’UPR continue à subir une omerta médiatique jamais vu dans notre bon pays, il est temps de séparer la bonne presse de la mauvaise, et de nommer explicitement tous ces journaux qui s’emploient à désinformer les français, que ce soit dans leurs colonnes ou sur leur site internet !

1 / Les « bons »

On trouve chez eux des articles présentant l’UPR de façon relativement neutre et objective. Bref, de vrais journalistes, comme on aimerait en voir plus souvent…

Agoravox
Le Courrier Picard
L’Est Républicain
La Dépêche
La Montagne
La Voix du Nord
Le Dauphiné libéré
L’Opinion
Marianne

2 / Les « brutes »

Ceux-là naviguent entre minimum de visibilité et désinformation.

Le Figaro (groupe Dassault) : a enfin accordé un article papier sur l’UPR et M. Asselineau et – fait rarissime – avec photo pleine page en une du magazine (numéro presse du vendredi 11 / samedi 12 novembre 2016). Côté web en revanche, c’est plutôt le calme plat. À part un article polémique sur l’UPR, rien d’autre pour le moment, même pas de trace de l’article papier…

Wikipedia (encyclopédie en ligne) : comme d’autres internautes, j’ai constaté assez effaré que l’UPR n’a même pas droit à sa page dédiée ! Une recherche sur le mot clé UPR dans Wikipedia donne déjà un bon nombre de résultats fantaisistes et dépassés, et quand enfin on trouve l’Union Populaire Républicaine, le lien redirige vers la page de M. Asselineau.

Je vous laisse lire mon autre article sur « Wikipedia, une encyclopédie fasciste ? » pour plus d’infos. Il est clair que l’omerta wikipédienne est désormais avérée, puisque les modérateurs sont même allés jusqu’à bloquer les changements sur le page de M. Asselineau…

3 / Les « truands »

Ceux-là déshonorent clairement la profession journalistique, en crachant ouvertement sur les principes de base de leur métier, et s’imaginent qu’on gobera demain l’excuse bidon du « je ne savais pas ».

Tout le monde pourra ici constater que tous ces titres sont aux mains de banquiers et d’industriels proches du pouvoir. On évitera quand même les placements politiques précis des personnes citées. D’abord parce que les partis politiques traditionnels sont tous de mèche dans l’omerta subie par l’UPR – pas la peine d’en viser un plus qu’un autre. Ensuite parce que comme les chiens, les grands industriels mangent dans toutes les gamelles – l’essentiel, c’est le contenu. Quant aux banquiers, qui soutiennent les millions de passifs des vieux partis et ont une peur bleue de devoir éponger les dettes, je pense que ça ne vaut même pas la peine d’en parler !

20 minutes : Spir Communication / Schibsted (norvégien)
Direct Matin : Bolloré
Le Monde : Mathieu Pigasse et Xavier Niel (Free)
Le Parisien : Bernard Arnault (LVMH)
Le Point : François Pinault (Artemis)
Le Progrès : Crédit Mutuel
Le Républicain Lorrain : Crédit Mutuel
Les Dernières Nouvelles d’Alsace : Crédit Mutuel
Les Echos : Bernard Arnault (LVMH)
Libération : Patrick Drahi (SFR)
Metro : groupe TF1
Ouest France : Spir Communication / groupe Sipa

4 / Autres sources précises

Le résumé d’Agoravox qui résume qui possède les média en France.

L’infographie du monde diplomatique qui démontre à quel point la presse libre est une espèce à protéger d’urgence !

5 / Conclusion

9 « bons », 2 « brutes » et 11 « truands ». On se croirait dans un mauvais western « spaghetti » à un petit détail près : seuls les « bons » survivront à terme, parce que dans le modèle économique payant, qui deviendra tôt ou tard la règle du net, les français n’iront pas soutenir les enfoirés et les manipulateurs.

Si on fait exclusion des « collabos » zélés de Vichy, M. Asselineau a aussi plusieurs fois reporté le fait avéré que de bons journalistes sont en fait « baillonés » par leur direction. Dans la vidéo suivante, il propose de nombreuses solutions pour remédier au problème :

Là encore, il ne faut pas attendre de l’oligarchie en place un quelconque changement : seule l’UPR et M. Asselineau ont la réelle volonté de « casser » cette « mise à genoux » des grands média. Et vu l’omerta médiatique qui continue sur l’UPR, nul doute que M. Asselineau aura à cœur de faire tout le nécessaire !

Bref, si nous voulons autre chose qu’une dictature, contrôlant d’une main de fer ce que le peuple doit entendre, croire et vénérer, il va falloir sérieusement nous remuer, et commencer bien entendu par voter UPR aux prochaines élections !

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