21 novembre 2017 : l’UPR vient tout juste de tenir son université d’automne, avec quelques 1100 participants, contre 800 l’an passé.
Ce nouveau succès, alors que le nombre d’adhérents UPR a doublé en l’espace d’un an , pour atteindre bientôt les 30000 (!), démontre une fois encore toute la vivacité et la hargne des militants UPR, laquelle tranche singulièrement avec l’omerta médiatique totalitaire que nous subissons !
Car à part deux courts torchons dans la Nouvelle République, lesquels ne méritent pas le qualificatif d’articles tant le ton utilisé est hostile et partisan (à se demander vraiment si le journaliste avait un flingue sous la tempe en écrivant sa prose), force est de constater qu’une fois encore, le bilan médiatique se résume très simplement : 0 couverture, 0 reportages !
Comme les trous noirs, d’où ne ressort jamais aucune information, nos grands médias sont devenus de véritables torche-culs en vente libre, dignes représentants de l’état totalitaire dans lequel la loi Urvoas et l’élection présidentielle truquée de 2017 nous ont précipitées !
Pire encore : les mêmes salopards, qui contrôlent ces grands médias, s’emploient sans relâche à ponctionner les internautes français pour (re)financer leurs complices télévisuels et radiophoniques ! Quoi de mieux en effet, pour des fils de Rothschild, qu’un esclave qui paye sa drogue, et qu’on peut spolier à loisir ?
Il ne faut pas non plus oublier le grand chantier en cours des fascistes européistes pour « réguler » les réseaux sociaux au nom d’une lutte contre des fake news ! Que sommes-nous chanceux de vivre dans un état libre et démocratique, où le ministère de la vérité nous guide et nous protège de l’abominable propagande communiste sino-russe !
Rappelez-vous encore de cet affreux article d’Historia, présenté par M. Asselineau durant la campagne de 2017, sur les liens établis entre la CIA et la construction européenne, article que ces braves européistes se sont empressés de mettre sous cloche hermétique et opaque. Il faut désormais réécrire l’histoire pour préserver le mythe européen !
Voilà où nous en sommes en cette fin novembre 2017 : une dictature à la Big Brother, où dire la vérité est devenu un acte de résistance.
Mais ce qui prête le plus à sourire, face à ces tentatives désespérées de l’oligarchie à vouloir cacher la vérité aux français, c’est le contexte actuel de désintégration que l’on observe dans tous les autres partis.
Entre le PS qui se retrouve forcé de vendre son siège après avoir licencié 50% de ses effectifs, le candidat malheureux de la droite qui se retire officiellement de la politique, la Société Générale qui vient d’annoncer qu’elle refusait de continuer à héberger les comptes du FN après que toutes les banques françaises aient refusé de faire crédit à la SARL Le Pen pendant la campagne, et enfin les petites mains de LREM qui quittent par paquets le navire, comprenant tardivement que le fou qui les a mené en bateau pendant des mois se tape royalement et ouvertement de leurs petites éjaculations cognitives et autres desiderata démocratiques, le bateau UPR reste quand à lui imperturbable, fidèle à son programme, fidèle à ses principes, fidèle au respect de sa charte fondatrice : le Frexit, le retour au franc, et la sortie de l’OTAN.
M. Asselineau peut donc afficher un sourire et un optimisme certains : l’UPR continue de gagner du terrain, et est le seul parti cohérent, qui garde son cap malgré vents et tempêtes.
Vive le Frexit, et vive la France libre !