Qui sème le vent…

27 mars 2021 : on apprend ce soir que des journalistes de France 3 se sont donc fait agressés dans une commune ardéchoise. Sauf que personne n’ira croire ici au geste d’un « forcené » – devant les tissus de mensonges, les omissions, les manipulations honteuses des merdias publics et privés de ce pays, qui osent encore prétendre – et là je cite l’article ci-dessus pour son culot évident : « donner la parole à tout le monde » – ce qui fera rire jaune les gilets du même nom, et bien entendu l’UPR qui fête ses 14 ans d’omerta médiatique fasciste, et dont le crime est d’oser vouloir expliquer aux citoyens le fonctionnement mortifère de l’UE, le délire de l’€, et le suicide de l’OTAN.

Merci encore aux nombreuses vidéos de M. Asselineau sur la toile, d’avoir brisé la Loi du silence qui règne dans cette mafia politico-journalistique, ou politiques et journalistes couchent à la ville, et de plus en plus souvent !

Alors certes : on pourra s’offusquer de la violence faite envers ces gens du terrain, qui ne sont peut-être pas les pires, et ne font pour leur majorité qu’obéir aux directives totalitaires de leur direction. Cela étant, collaborer avec « la dictature qui ne dit pas son nom » reste un choix personnel, et même s’il y a sûrement encore des gens de bonne foi et de bonne volonté chez les pigistes de l’AFP, dont le président est un copain direct du locataire de l’élysée, le divorce avec les français semble définitivement atteint !

Comme pour les journalistes de BFM WC, virés manu militari des manifestation GJ, le peuple en à marre de ce qu’il faut bien nommer des collabos, dont les plus zélés sont franchement à vomir ! On l’a bien vu en 2017, avec tous ces braves journalauds et journalopes de service, payés pour dénigrer l’UPR et son Président, à coup de « complotisme » et de « conspirationnisme ».

Gageons donc que ces incidents « locaux » vont devenir la « routine » des gens de terrain (ce qui ne signifie en rien que les autres seront à l’abri des balles…), tant la colère populaire, pour ne pas dire la haine cumulée par la frustration, la répression, et la désinformation, n’est plus tolérable.

L’affirmation mensongère de « donner la parole à tout le monde » prouve à elle-seule que les véritables responsables n’ont aucune intention de changer leur politique éditoriale fasciste pour sauver leurs soldats de premières lignes.

Le message de la Direction de France 3 est clair : cher ami journaliste de terrain, tu peux littéralement aller crever demain la bouche ouverte dans la rue – on s’en tape ! Ça nous fera de l’audimat, et en plus : on pourra continuer de jouer les victimes innocentes chez ces crétins de sans-dents, que nous sommes payés pour désinformer !

Ceux qui attendaient naïvement un mea culpa de France 3 peuvent donc aller se faire cuire un œuf. Le mieux qu’on puisse faire, c’est de boycotter toutes les chaînes et 99% des radios, et de jeter son téléviseur par la fenêtre. Parce qu’il vaut mieux s’informer soi-même sur le net, plutôt que de subir un lavage de cerveau permanent, où des pauvres cons s’imaginent toujours plus intelligents que vous !

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

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