MAJ 12 mai 2021 : juste après le bicentenaire de Napoléon, qui avait instauré le corps préfectoral, le petit écolier est donc venu démolir ce pan de la culture française (cf. vidéo plus haut). Ceux qui s’en réjouissent auront bien tort dans l’affaire, car toute la stratégie du fils de Rothschild est ici d’utiliser la « carte » du préfet lallemend – un pitre de LREM déguisé en préfet – lequel n’a rien à voir avec les vrais fonctionnaires de l’état, servant réellement le peuple, et assurant leur noble fonction de gestion des territoires.
Oui : tout a été fait depuis des mois pour que le préfet lallemend focalise à lui la haine des français : on se souviendra notamment de la célèbre phrase « Nous ne sommes pas du même camp… », ou encore de la méthode favorite du quidam, consistant à nasser les manifestants en bloquant les sorties, pour ensuite les « gazer » à l’envie, ou encore envoyer sa BRAV motorisée, lancé des lacrymos sur une foule défilant pacifiquement, histoire de provoquer. Le sadisme des camps de concentration n’a pas disparu, et comme sibeth, gageons que ce triste type a été simplement choisi pour son nom et son obéissance. Pas la peine de chercher des qualités imaginaires chez ce pauvre type.
Mais ce qui est encore plus inquiétant : c’est cette impression que le fils de Rothschild a compris qu’il ne serait pas reconduit par ses donneurs d’ordre, et s’est donné donc pour mission ultime d’accélérer la destruction de cette nation France qu’il déteste tant, lui et ses copains eurofascsites. Le désastre annoncé des régionales devrait en effet sceller le sort de LREM, que les « grandes coucheries » ne sauveront pas. Quant à savoir ce que nos mondialistes totalitaires ont dans la tête pour leur prochaine « créature », il est encore un peu tôt pour se prononcer.
Mais une chose est certaine : si l’UPR ne vient pas aux affaires en 2022, ce sera clairement un désastre nucléaire pour notre pays.
9 avril 2021 : M. EnMêmeTemps annonce ce jour que l’ENA sera remplacée par un Institut de la Fonction Publique. IFP donc, que chacun traduira selon ses humeurs… Éradiqué ainsi le terme « Nationale » de référence, que nos nazis mondialistes ne supportent pas, puisqu’il leur rappelle la notion même de nation, et l’autorité « naturelle » du peuple souverain !
En parallèle, on nous annonce « plus de diversité », ce qui semble de prime abord un progrès nécessaire, vu le clientélisme habituel des fils à papa et filles à maman, qui bénéficient de nombreux privilèges de la caste. N’ayons pas peur de le dénoncer.
Cela étant, en virant le concours d’entrée et le mérite propre, la discrimation positive risque aussi de baisser le niveau d’entrée d’une école, qui soulignait déjà publiquement, quelques années en arrière, le manque d’imagination et de réflexion des nouveaux candidats, de plus en plus conformistes. On comprendra par là, à moitié mots, que nombre des fils à papa et des filles à maman qui rejoignent l’école n’ont pas les qualités émérites de leurs parents, ce qui explique sûrement la gestion désastreuse de certains une fois parvenus aux affaires !
La parité obligatoire est un autre leurre patent du système, biaisant complètement le niveau. Il suffit de constater la nullité flagrante d’une Sibeth ou d’une Schiappah pour s’en convaincre – et ce n’est pas être mysogine que de le constater. Même les femmes de bon aloi le reconnaissent. On peut d’ailleurs être aussi complètement nul côté homme, comme Darmanin par exemple. Mais quoi qu’il en soit, la parité est une autre connerie majeure avec la discrimation positive, parce que là encore, elle ne mène pas les meilleurs au sommet – seulement les plus conformistes, pour ne pas dire les « petites crottes » du Roi, comme disait la marionnette de Foucas…
Gageons que l’IFP sera donc un désastre qui ne réglera rien, et ne fera qu’empirer les choses, avec de futurs diplômés qui joueront les parfaits petits soldats de la mondialisation heureuse, au détriment du peuple français, une fois encore bien baisé par le fils de Rothschild et sa clique de banquiers. Une réforme de l’ENA aurait suffit et aurait coûté moins cher – les copains des agences de comm adorent ces changements de nom débiles, pour se faire de l’activité à prix d’or sur le dos des contribuables.
8 avril 2021 : le locataire de l’élysée a donc décidé en bon petit dictateur de se débarasser des fonctionnaires trop gênants du corps de l’ENA. Comprenez qu’avec une France soumise à Bruxelles, qui dicte 90% de nos lois à coup de GOPÉ totalitaires, il n’y a effectivement plus besoin de haut fonctionnaires : des petits suffiront amplement, comme on le voit déjà, avec toute l’efficacité redoutable dans la gestion de la crise sanitaire, où la répression sanglante de nos amis Gilets Jaunes, dont certains n’ont malheureusement toujours pas compris que viser l’élysée est aussi utile que pêter dans l’eau.
Rappelons qu’il est stupide de viser ainsi l’ENA. D’abord parce que tous les haut-fonctionnaires ne font pas de politique, et qu’à l’inverse, beaucoup de nos politiques, dont un bon nombre au pouvoir, ne sont pas passés par l’ENA, où pire : ont échoué à y passer, démontrant au passage qu’ils n’ont ni le niveau de leurs prétentions, ni l’imagination qu’on attend de personnes qui doivent anticiper les changements majeurs à plus de 20 ans. Qui plus est : ce n’est pas parce que vous êtes diplômé que vous serez forcément compétents – arrêtons le mythe.
Cela étant, le cas de notre président Asselineau démontre que chez les énarques, on trouve aussi des gens biens comme partout, prêts à défendre le pays contre tous ces braves envahisseurs anglo-saxons qui ont troqué leurs canons contre des ordinateurs.
Soyons réalistes : le but ici pour LREM et ses collabos fascistes réunis est bien de détruire une « caste » concurrente, opposée majoritairement à la vision mondialiste. Car nombre d’énarques aiment d’abord leur pays, et se rendent bien compte des désastres produits par l’entité fasciste UE, et ses commissaires européens élus par leurs pairs.
Ceux qui utilisent l’ENA en bouc émissaire le font d’abord par pure idéologie, pour convaincre les cons de les suivre dans le « c’est la faute aux fonctionnaires », un peu à la Charles Gave, dont les discours et arguments sont parfois sympathiques, mais qui n’a toujours pas compris que ce monde des énarques n’est ni blanc ni noir. Juste gris comme les autres.
Et non : si nous en sommes là aujourd’hui, ce n’est pas la faute aux fonctionnaires : c’est d’abord et exclusivement la faute aux électeurs, qui votent les pantins surmédiatisés de l’UE, tout en ignorant superbement les vrais opposants politiques comme l’UPR, qui leur présente pourtant les vrais arguments et les vraies analyses depuis 14 ans !
Le fils de Rothschild utilise ici l’argument démagogique pour justifier de faire taire des haut-fonctionnaires trop dérangeants. Sauf que le mandat présidentiel et son impunité totale ne sont pas éternels non plus, et que l’heure des comptes viendra – avec les intérêts.
Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !