15 juin 2021 : qu’a apporté la fabuleuse parité homme/femme à la politique ? Soyons réalistes : rien du tout !
Loin d’être mysogine, reconnaissons que la mise en place quota de femmes dans la fonction publique n’a pas élevé le niveau, comme on l’espérait pourtant, que les femmes politiques sont toujours majoritairement les putes des hommes. Les déclarations de sibeth (celle qui ne sait pas porter un masque), déclarant haut et fort qu’elle mentirait pour son patron, ne faisant qu’afficher tout haut une dépendance homme/femme qui n’a jamais disparu.
On se souviendra également de la maternité de Mme dati, confondant « fellation » avec « inflation » dans un lapsus révélateur, lors d’une interview. Se taper un gosse en tant que ministre restera quand même dans les annales de la République. Il y a pourtant dans la vie des moments plus opportuns, et théoriquement plus calmes, pour assurer 9 mois de grossesse. Sans compter le procès en paternité qui a suivi, pour qu’un milliardaire bien connu assume sa coucherie.
Parce que victime est une face de la médaille. Mais agresseuse en est une autre, et c’est aussi cela le pouvoir de la gente féminine : utiliser son sexe pour faire chanter les mecs, vieille ruse épprouvée depuis la nuit des temps.
Il y a bien quelques femmes en politique qui sauvent l’honneur de la gente, mais quand une schiappah fréquente un darmanin accusé de viol, en jouant les féministes castratrices et redresseuses de tort, avouons qu’il y a franchement de quoi se marrer…
Et alors que l’expérience de la parité a éclairement échoué en politique, on voit le même mouvement absurde se dessiner dans les entreprises.
Sauf que dans le milieu privé, la corruption n’est pas la même que dans le public. Le copinage n’a pas sa place, et une incapable sera virée comme un incapable, les actionnaires n’ayant rien à foutre du sexe de leurs esclaves respectifs.
Globalement dans le privé, le sexe a donc moins de différence dans la réussite, même si, dans certains milieux, la relation de pute et soumise reste une réalité. La seule chose qui a changé, c’est que harcèlement et droit de cuissage ne sont plus l’apanage des seuls hommes : les dominatrices rendent désormais la monnaie.
N’ayons pas honte de le dire, on constate aussi sur internet ce changement « forcé » par les féministes et les homos : explosion du BDSM, de la domination féminine, de transgenres toutes combinaisons. On nous impose de nouveaux « genres » comme si c’était une mode à suivre, et quelque chose de « normal » naturellement. Désolé, mais non. Il y a toujours eu 10% d’homosexuels dans la population humaine, certes. Mais cela ne fait pas des homosexuels une référence, et qu’on le veuille ou non, la reproduction « naturelle » des gènes exige deux sexes différents.
Quant à la PMA, si c’est un progrès pour les couples stériles, l’étendre à tous serait quelque part enfreindre les lois naturelles. 2 papas ou 2 mamans, ça ne remplacera jamais l’équilibre homme/femme d’une coupe hétéro, et il est évident que l’enfant « produit » manquera d’une des deux références, avec toute la problématique mentale qui s’y rattache.
Mais revenons à notre parité homme/femme de départ.
Nombre de femmes ont parfaitement réussi leur vie professionnelle sans écarter les jambes, et bien mieux que de nombreux hommes ! Ce qui n’empêche pas ensuite de trouver là enocre des putes et soumises, ou des raclures congénitales de type blythe masters, etc. Mais globalement au niveau privé, il faut le reconnaître : le copinage est bien moins prononcé que dans le milieu public, où il est malheureusement devenu la norme, et où l’on colle des incapables et des imbéciles dans des postes clés, en leur faisant lever la papatte et jurer allégeance à la sainte europe monétaire toute puissante, en léchant les bottes de l’oncle Sam via la French American Foundation.
Bref, la parité est un échec flagrant en politique, parce qu’au lieu de virer les déchets qui y passent, on les déplace où on les promeut entre complices, surtout en France. Elle n’a pas sa place dans le privé parce que ce milieu exige des compétences que l’on a ou pas, et fait naturellement le ménage qui s’impose.
L’état est aujourd’hui gangréné par des fonctionnaires toujours plus corrompus vers le sommet de la pyramide. Et la crise sanitaire d’avoir montré que non content d’être des incapables finis, ces gens trahissent ouvertement, et toujours davantage, leur pays et les intérêts de leurs peuples respectifs.
Quand va t’on enfin faire le ménage qui s’impose, virer ces mafieux manu militari, et mettre en place des gens compétents, dignes de confiance, travaillant pour le peuple, comme notre bon président à l’UPR ?
Seul l’avenir nous le dira…
Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !