Négation conceptrice

14 mai 2021 : je suis tombé ce matin pantois sur un début d’article payant qui, pour une fois, n’est pas directement lié à l’UE, mais qui témoigne bien d’un problème de société dont il va falloir sérieusement s’occuper, où des gens qualifiés de « normaux », « adultes », et à priori « responsables », adoptent une attitude de gamin venant jouer les victimes innocentes, et demandant au reste de la société d’assumer leurs conneries, ce qui n’est pas tolérable.

On va donc parler de sexe, disons les choses crûment, et des coucheries d’un soir, dont Monsieur ou Madame ne veulent pas assurer les conséquences, à savoir : un gamin né dans le feu de l’action.

Que la société prenne en charge des enfants dont les parents sont décédés, mentalement instables ou dangereux, où dont les parents ne peuvent assurer financièrement les besoins primaires, parce que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, soit. Personne ne remettra en cause cette solidarité nationale – qui a existé de tout temps, et qu’on peut qualifier de « naturelle ».

Mais le problème qui courre depuis des années, et notamment avec l’immigration, et des gens provenant de pays dans lesquels la femme n’est rien d’autre qu’un poule pondeuse bonne à faire la cuisine et le ménage, c’est que de plus en plus d’adultes procréateurs ne savent plus tenir leur bite ou leur vagin, ce qui ne serait pas un problème en soi s’ils assuraient ensuite le fruit de leurs amours réelles ou supposées.

Arrêtons l’hypocrisie : Tinder et autres sites de rencontre ont rendu la baise d’un soir plus facile que jamais, et quand certains avancent le chiffre de 17 partenaires sexuels en moyenne dans une vie, il faut se poser des questions. On a quand même aujourd’hui des moyens de contraception efficaces, et tout homme/femme connaît les risques inhérents à une pénétration sans protection.

Pour en avoir croisé, il est vrai que certains hommes se plaignent de s’être fait avoir par une femme qui leur a fait un gosse soit de face, soit de dos, comme cela semble être le cas dans cet article. Mais même face aux « arguments » féminins les plus convaincants, baiser reste un choix personnel, et donc une décision à assumer.

Idem côté féminin : venir se plaindre de s’être fait engrosser n’est pas plus recevable dans le cas d’une relation conssentie. Et autant je peux concevoir que nombre de femmes sont victimes d’abus à sanctionner, autant je n’ai aucun doute que certaines exploitent habilement le filon du viol pour faire d’une pierre deux coups (c’est le cas de le dire…), et certaines plusieurs fois de suite pour toucher les allocs en sus.

Bref, il serait peut-être temps d’ajouter un gros chapître sur l’éducation sexuelle et les mœurs en France, autant pour les français de souche que pour des immigrés qui de toute évidence, n’ont pas compris que nous ne sommes pas dans un califat, et que si la France interdit la polygamie, c’est qu’il a aussi une bonne raison !

La drague de rue n’est pas plus acceptable sur le plan éthique, et démontre bien les problèmes psychologiques de certains hommes, qui confondent vagin féminin et trou de chantier à combler. On pourrait en dire autant de femmes qui confondent les hommes avec des bourses sexuelles ou pécuniaires, pour ne pas dire des retraites anticipées de 20cm.

L’éducation sexuelle ne devrait pas se cantonner à l’aspect « mécanique » de l’acte, mais expliquer clairement aux ados qu’un homme ou une femme sont un peu plus qu’un ensemble d’organes visant à se reproduire comme des lapins. Et là, les années passent, et on a vraiment cette mauvaise impression que l’éducation nationale n’a pas intégré ces schémas pourtant basiques dans l’éducation des ados. L’explosion des familles recomposées n’est pas juste un phénomène du à l’argent. Il est dû avant tout à des gens qui cèdent désormais trop facilement à leurs pulsions de séparation et relations adultères. Il serait peut-être temps d’y remédier ?

Quand aux adultes qui refusent d’assumer leurs actes, qu’ils aillent se faire foutre : c’est trop facile de jouïr sur le dos de la société, et il est tout à fait normal de payer les conséquences de ses actes, y compris quand on décide de refourguer son enfant à la DASS !

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

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