C’est un copain

12 mai 2021 : OCDE et FMI se rejoignent, pour une fois, en demandant ce jour aux pays de la planète de taxer un peu plus nos amis les riches, dont 10% détiennent 50% du capital en France, dans un article qui rejoint ce que tout économiste de base sait par essence : quand l’argent ne circule plus, et est détenu par une minorité, ça va ne peut que mal se passer pour la suite.

Rappelons en parallèle que notre fils de Rothschild a fait exactement l’inverse, en supprimant l’ISF au début de son mandat, et en nous expliquant qu’il ne faut surtout pas taper sur ces généreux et sympathiques investisseurs ! Et tant pis pour ces gilets jaunes qui défilaient en demandant de pouvoir vivre décemment. Il suffit d’observer ceux qui pointent à la soupe populaire : 50% d’augmentation en un an, à plus de 300% ! Faut-il en rajouter ?

La crise va pousser nombre de sociétés à mettre la clé sous la porte, ou à licencier en centaines de milliers. Tout le monde le sait. Mais ne touchons surtout pas à ces riches dont les intérêts des comptes bancaires suffisent à vivre toute l’année à la plage, et dont la seule préoccupation le matin en se levant est de savoir si leurs actions ont encore pris de la valeur dans la nuit.

Deux mondes différents dans une même société. Sauf qu’à l’inverse des anglo-saxons, qui trouvent normal ces disparités, le peuple français est fondamentalement égalitaire, et ne supporte pas qu’une bande de mafieux à cols blancs couvrent les agissement éthiquement honteux de cette caste de nantis. En outre, rappelons qu’on a demandé aux français de sauver les banques quelques années en arrière. Il eut été tout à fait normal de les privatiser dans la foulée, et de redonner aux français ce qui leur appartient.

Mais non : l’Absurdistan continue. On privatise les profits et on mutualise les dettes, vieille recette des années 80 post-glorieuses, qui n’a pas changé depuis, et explique aussi en bonne partie pourquoi les « sans-dents » en ont plus que marre des dirigeants eurofascistes et de leurs banquiers pourris.

Ne comptons pas sur les européistes pour changer la donne : ils sont les premiers à manger la bonne soupe.

Seule l’UPR a une chance de pouvoir nous délivrer de ce système, parce que l’absence totale de médiatisation et le boycott du CSA prouve bien que nous sommes le seul parti qui ne pas parti du sérail.

Sur ce vive le Frexit, et vive la France Libre !

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