How to fuck the EU ?

31 janvier 2020 : pour bien marquer son départ de l’UE, Nigel Farage a donc fait le bras d’honneur qui convenait devant le parlement européen, qui n’a pu s’empêcher de lui couper le micro une dernière fois, dans ce qui restera un discours historique, démontrant, une fois encore, toute la justesse des arguments de l’instigateur du Brexit !

Rappelant bien qu’il aime l’europe, mais qu’il déteste l’UE, nous saluons comme il se doit la victoire éclatante de Nigel Farage, qui aura donc mis près de 15 ans avant de parvenir à libérer son pays du joug eurofasciste, puisqu’il cite bien dans son discours le tournant historique du référendum français de 2005, trahit par Sarkozy en 2008 avec le Traité de Lisbonne !

La question qui se pose maintenant pour nous est de savoir combien de temps encore la France se rendra t’elle esclave de l’UE ?

Cela fait déjà 13 ans que l’UPR existe, et se bat dans le même but : rendre aux français leur démocratie, et le pouvoir réel de créer et d’appliquer nos lois chez nous. Et même si on a bien senti, depuis 2017, quelques améliorations dans le ton général de certains journalistes, la porte des grands médias publics reste toujours barrée par le CSA et son maître de l’élysée.

Contrairement à nos amis anglais qui ont eu droit à un vrai débat public pour ou contre le Brexit avant le vote final, ce côté de l’Atlantique reste marqué par une omerta honteuse et machiavélique dès qu’on touche au dogme de la construction européenne. Car oui : l’UE est bien devenue une religion intouchable pour ceux qui la défende !

Bon nombre de nos concitoyens sont tellement lobotomisés par leur télévision, leur radio et leurs journaux, qu’ils n’arrivent plus à se poser les bonnes questions : qu’est-ce que l’UE me coûte, et qu’est-ce qu’elle me rapporte ?

L’Euro ? À part les frontaliers, tout le monde s’en fout royalement : c’est juste un peu de temps gagné pour changer de monnaie aux frontières, mais côté bilan, l’euro est un désastre ! Tous les économistes le disent ouvertement !

Erasmus ? Airbus ? Ariane ? Rien à voir avec l’UE : les coopérations internationales existaient déjà bien avant Maastricht en 1992, et existeront bien sans l’UE demain ! Et même si la constellation de satellites Gallileo tourne depuis déjà quelques temps, personne n’a encore vu un seul appareil grand public l’utiliser ! Que d’argent foutu en l’air au sens propre du terme ! On ne peut même pas dire que ce projet servira la défense européenne ou française, étant donné que l’article 42 nous place de facto sous la tutelle de l’OTAN, donc de Washington !

Quand on commence à peser objectivement le pour et le contre de l’UE, on se rend vite compte qu’en fait, l’UE n’offre que des inconvénients ! Dépenser chaque année 10 milliards d’euros pour entretenir cette dictature est plus un signe de masochisme avancé que d’intelligence !

L’UE nous a juste ramené au Moyen-Âge, où des « roitelets » non élus décochent leurs GOPÉ annuelles sur les manants, condamnés à rester cons et ignorants derrière leurs écrans. Car c’est bien cela « leur projet ».

Au regard de tous ces faits, difficile de ne pas envier ce jour glorieux à nos voisins britanniques !

Rappelons enfin que nos voisins outre-manche étaient contributeurs nets au budget de l’UE, et que ce sont les autres contributeurs, essentiellement français et allemands, qui payeront la véritable ardoise du divorce sur le moyen et long terme.

Parce qu’en bon gérant, l’UE ne réduit jamais sa voilure pour s’adapter au vent. La soupe du fonctionnaire et parlementaire européen est trop bonne – sans parler des droits à la retraite de cette caste européiste qui sont totalement indécents ! Et ce au moment même où Bruxelles impose à sa marionnette française une uniformisation des régimes de retraites, avec leur privatisation en ligne de mire !

On aura enfin noté, dans le même article cité, que les drapeaux nationaux sont bien interdits dans l’hémicycle. Donc même au parlement, les peuples européens n’existent pas ! Et ce alors que les eurofascistes imposent leur étendard dans nos établissements scolaires, nos mairies, nos lieux de mémoire, et dans tous les projets où il redistribue un peu de l’argent de nos impôts !

Espérons que nos amis gilets jaunes, et autres français soucieux de défendre leur pays et leurs droits, finiront pas comprendre que l’abstentionnisme est une connerie monumentale, qui fait le seul jeu des eurofascistes. Avant l’UPR, on pouvait légitimement lancer le slogan « un pour tous, tous pourris ». Mais quand un parti de 38600 adhérents (janvier 2020) est blacklisté à ce point des médias, c’est bien qu’il dérange l’oligarchie en place ! Est-ce si difficile de mettre un peu d’eau dans son vin, de redescendre sur terre, et de prendre la solution réaliste qui se présente pour parvenir au RIC en toute matière ?

Quoi qu’il en soit, il faut impérativement, et le plus vite possible, quitter cette putain d’UE irréformable, nous menant à la ruine. Et il n’y a aucune autre alternative réaliste que d’élire l’UPR au pouvoir, tous les autres partis promettant une sempiternelle « autre europe », aussi irréaliste qu’irréalisable !

Rappelons que le Frexit n’est pas le programme de l’UPR, juste une condition indispensable pour pouvoir ensuite appliquer le programme présenté en 2017, et couvrant tous les domaines de la vie courante.

Ceux qui promettent la lune et veulent rester dans l’UE « oublient » systématiquement de préciser à leurs électeurs que les lois de l’UE s’appliquent et s’imposent (sinon groz-amende de la CJUE – Jawohl !), et qu’ils se retrouveront toujours face à 26 autres états dont certains leur diront « Nein » !

Et là, il faut l’unanimité des 27 états membres et 27 parlements pour changer la moindre virgule des traités fondateurs de l’UE, ce qui, mathématiquement parlant, n’a plus aucune chance d’arriver aujourd’hui – même en rêve ! On ne peut plus sauver le bateau – c’est trop tard !

Plus c’est gros, plus c’est lourd, plus ça n’avance pas, plus c’est impossible à réformer. Même un gamin de 10 ans peut comprendre ce raisonnement qui nous mène à la ruine et à l’esclavage !

Asselineau a donc parfaitement raison, dans ses nombreuses conférences en ligne sur la construction européenne, de décrier cette « stratégie des chaînes », imposée par les américains. Comme Farage a parfaitement raison de souligner le caractère anti-démocratique des institutions européennes. Il y a un moment donné où les faits parlent d’eux-mêmes !

Suivons donc l’exemple anglais, et continuons de faire comprendre à nos compatriotes que l’UE est un suicide collectif, car irréformable de fait.

On ne sauve pas un bateau qui coule : on s’en éloigne le plus rapidement possible pour ne pas finir noyé au fond de l’eau.

Le seul « vote utile », c’est le vote UPR – et vu la férocité du système à empêcher à tout prix Asselineau et ses lieutenants de s’exprimer dans les grands médias, devant les français, nul doute que l’UPR est LE SEUL parti réel d’opposition en France : c’est-à-dire celui qui oeuvre aujourd’hui pour le peuple, contre des féodaux non élus qui nous volent notre pain, notre terre, et nous ont déjà volé la majeure partie de notre démocratie !

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France libre !

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