La N !

24 janvier 2020 : Décidément, plus le temps passe, et plus celui qui se prend pour un président sombre dans la folie. Dans une récente interview, ce dernier nous gratifie de deux phrases clefs soulignant toute la psychose galopante de l’individu : « La dictature c’est un régime où une personne ou un clan décide des lois. Une dictature c’est un régime où l’on ne change pas les dirigeants, jamais. »

Reprenons donc les arguments avancés et analysons-les calmement !

Rappelons tout d’abord que les lois de l’UE l’emportent de fait sur les lois nationales. De ce fait, les commissaires à la tête de l’UE, qui n’ont jamais été élus par aucun peuple, sont bien des dictateurs en puissance, puisqu’ils imposent des lois supranationales depuis 1992, et ne peuvent être virés par les peuples souverains !

Quant à couper les têtes de commissaires pour faire un semblant de changement devant les caméras, comme l’a dit un jour un certain Richard Stallman dans le monde des Logiciels Libres : « Avoir le choix de son dictateur, ce n’est pas la liberté ! ».

Concrètement, les Grandes Orientations de Politiques Économiques annuelles s’appliquent à tout pays membre de l’UE, et sont « personnalisées » par pays, dans le but de détruire uniformément les états nations, pour les remplacer par une fédération européiste que 55% des français ont rejeté par les urnes en 2005 !

Mieux encore : l’UE sponsorise ouvertement syndicats et soutient les autonomistes, lesquels n’ont toujours pas compris qu’un état nation est, et restera toujours, plus fort qu’une petite région « autonome » sous la coupe directe de Bruxelles ! S’imaginer ainsi que les dictateurs bruxellois seront plus cléments que les dictateurs eurofascistes parisiens est juste burlesque.

Rappelons enfin que la dictature européiste nous impose déjà son drapeau infâme dans nos mairies et dans nos écoles, en Corse et Outre-Mer comme en Métropole – et ce alors que de plus en plus de gens, à l’UPR comme ailleurs, critiquent ouvertement le IVè Reich aux étoiles d’or, et que notre Constitution ne reconnaît que le drapeau français !

Et puisqu’on parle de dictatures, parlons seulement de la répression policière en France, avec des grenades offensives utilisées en temps de guerre, des gaz lacrymos toujours plus forts, des LDB qui continuent de faire leur lots d’éborgnés, et enfin la présence de fusils d’assault dans les manifestations de nos amis gilets jaunes !

Si c’est ça la démocratie chez LREM – putain : qu’est-ce que doit être la dictature ???

Et là, on ne parle même pas des discours LREM dans les médias : autant de nullité culturelle et intellectuelle, de mensonges entretenus, saupoudré d’un narcissisme toujours plus méprisant, difficile de faire pire ! On aurait envie de leur faire passer le « Ferme là ! » de Dieudonné en boucle et en continu, mais c’est trop dangereux : ça risquerait de les cultiver…

N’ayons pas peur de le dire : pour beaucoup de français, LREM est devenu le parti ennemi du peuple. Un parti inconsitutionnel de fait, qui bafoue ouvertement les lois fondamentales de ce pays, fabrique et couve ses barbouzes, et utilise tous les moyens et protections de l’état pour couvrir ses méfaits de plus en plus nombreux, dont le dernier en date consiste à truquer les prochaines municipales pour effacer les résultats de… 96% des communes françaises, ou si vous préférez, 52% des électeurs ! Excusez du peu – vous n’existez pas pour LREM si vous n’habitez pas une ville d’au-moins 9000 habitants !

Mais le plus beau, c’est que devant la branlée annoncée des municipales, LREM n’a rien trouvé de mieux que de conseiller ouvertement à ses candidats de cacher leur étiquette ! Et oui : « le parti qui mouille son slip » n’a même pas les couilles d’assurer sa propre politique devant les électeurs ! Que ces traîtres à la nation aient encore le simple culot d’oser se présenter dépasse l’entendement – espèrons seulement qu’ils se prendront les gifles électorales cinglantes qu’ils méritent tous !

Maintenant viser LREM comme seul responsable de la haine qui gangrène ce pays serait trop simpliste : rappelons que députés et sénateurs protègent ce parti en refusant d’enclencher l’article 68 de la Constitution pour la destitution de l’intéressé, et ce malgré le juteux dossier de l’UPR, régulièrement remis à jour avec les nouvelles atteintes flagrantes à notre Constitution.

En attendant, à l’UPR, nous espèrons à l’inverse de bons résultats pour nos 44 candidats officiels, conscients que ces élections visent d’abord la vie municipale locale, car être maire, c’est d’abord être au service de ses administrés, et devoir gérer des quotidiens difficiles.

Mais disons aussi les choses franchement : il y a clairement des maires sortants à foutre dehors par la peau des fesses, considérant le discours passé de François Asselineau devant l’AMF (Association des Maires de France) pour les présidentielles de 2017, où notre président expliquait à l’assemblée que s’il n’était pas élu, les GOPÉ s’appliquerait à tout autre parti restant dans l’UE, et viseraient à baisser les dotations d’état aux communes, ce qui s’est bien produit.

Honte aux maires imbéciles qui ont osé rire devant le propos, dont un haut responsable de l’AMF qui fit semblant plus tard de découvrir ces baisses de dotations, alors qu’il était bien présent lors du discours de FA.

Bref, on espère que ces municipales feront le ménage qui s’impose, et mineront durablement LREM et ses sbires.

Sur ce, vive le Frexit, et vive la France Libre !

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